En Afrique du Sud, la population blanche (afrikaners + anglophones) est montée jusqu’à 22,7% de la population totale en 1911. Aujourd’hui, elle ne représente plus que 7% des habitants d’Afrique du Sud. Il est loin le temps où les femmes afrikaners pouvaient avoir jusqu’à 20 enfants au fin fond du Veld…
Car le taux de fécondité des Blancs s’est effondré comme dans l’ensemble du monde occidental. En 1960, celui-ci était de 3,5, en 2011, il n’était plus que de 1,7, c’est à dire en dessous du seuil de renouvellement naturel. En 2025, ce taux doit encore avoir chuté.
Les Noirs, quant à eux, affichaient en 2011 un taux de fertilité de 2,82 (2,57 pour les Métis), ce qui, mathématiquement, amène ces populations à constituer des majorités écrasantes. Et l’actualité sud-africaine bruisse régulièrement des affaires de grossesses précoces chez les jeunes Noires. Ainsi, à l’occasion des fêtes de Noël, le ministre de la santé du KwaZulu-Natal Nomagugu Simelane-Mngadi a fait part de son inquiétude face à l’augmentation des grossesses chez les adolescentes zoulous, population dont la démographie est très dynamique. Mais le phénomène est également présent ailleurs : ainsi dans le Limpopo (province peuplée principalement de Sotho et de Tsonga), près de Tzaneen une jeune de 16 ans vient, par exemple, de donner naissance à son premier enfant. A l’hôpital Seshego, près de Polokwane/Pietersburg, c’est une enfant de 13 ans qui vient de devenir mère !
Même si la démographie des Noirs sud-africans n’a rien à voir avec celle de pays du continent noir particulièrement « productifs » (Nigeria, Niger, Mali et RD Congo notamment) où l’on peut arriver à plus de 7 enfants par femme, leur vitalité condamne, à moyenne échéance, la minorité blanche. A moins que celle-ci choisisse de se regrouper dans un territoire où elle constituera la majorité, comme essayent de le faire les pionniers d’Orania.
Notons également que l’Afrique du Sud connaît un phénomène d’immigration puisque de nombreux ressortissants des pays alentours (Zimbabwe ou Angola notamment) immigrent au pays de Nelson Mandela, ce qui accentue le basculement démographique en faveur des Noirs.
3 réponses à “Afrique du Sud : Démographie en berne chez les Blancs, naissances précoces chez les Noirs”
Cette irresponsabilité de faire des enfants sans aucune limite et après de venir se plaindre où de s’en prendre au blancs colonialistes relève d’une intelligence qui pose question !
Inutile de revenir sur l’Afrique du Sud.
Ce pays, qui se prétendait -et l’était !!!- le plus prospère de tout le continent africain au temps des Blancs Afrikaners, est devenu une bombe à retardement pour le monde occidental.
Le mal est fait.
A qui la faute sinon à nous, les Européens et le reste du monde occidental Blanc, qui n’avons jamais porté aide aux Blancs de l’Afrique du Sud, et au contraire, avons encouragé (souvent par jalousie) l’émancipation et la prolifération des Races Noires.
le futur de la race sombre est assuré . il faudra des reserves pour quelques années . a moins du virus tres contagieux ebolla ..