Il est toujours utile de rappeler à quel point le rap et la culture racaille à laquelle cette « musique » est liée sont des fléaux pour la société française.
Encore une fois, le tournage d’un clip de rap a viré à l’émeute. Dans la soirée du dimanche 22 décembre, des « jeunes » ont décidé de tourner un clip de rap dans le quartier de Beauval, à Meaux, en Seine-et-Marne. Il va sans dire que ce quartier est classé « prioritaire », engloutissant année après année l’argent des contribuables français.
Concernant les faits de dimanche soir, rien de bien nouveau par rapport à des scènes similaires observées par le passé dans différentes villes françaises : le tournage du clip, non autorisé, a donné lieu à des rodéos de motocross. Arrivés sur place pour y mettre un terme, les policiers de Meaux ont été pris à partie et visés par des mortiers d’artifice et d’autres projectiles. Des tirs auxquels ils ont répondu avec des grenades de dispersion.
Durant ces émeutes, deux fonctionnaires de police ont été blessés selon CNews. En face, pas moins d’une cinquantaine d’individus étaient présents lors du tournage. Pour rétablir l’ordre dans le quartier, les policiers ont dû s’y prendre à deux fois et sont rentrés une première fois au commissariat. Avant de devoir de nouveau intervenir après que les « acteurs » du clip de rap aient commencé à dresser des barricades et incendier des poubelles.
Ce n’est finalement que vers minuit que le calme est revenu dans le quartier. Sans qu’aucun protagoniste de ces attaques contre les forces de l’ordre ne soit interpellé.
Les gauchistes et autres amateurs de rap diront encore que leur musique est « stigmatisée » mais, pas plus tard qu’au mois de septembre dernier, c’est cette fois la ville de Limoges qui voyait le tournage d’un clip de rap dégénérer avec des scènes d’émeutes et des attaques contre la police dans la ZUP du Val de l’Aurence, un quartier « sensible » de la capitale du Limousin.
En 2022, dans la région lyonnaise, à l’occasion du tournage d’un clip du rappeur Lacrim, un cortège de voitures sportives et de motocross avait temporairement bloqué l’autoroute A43. Le temps pour Lacrim et ses comparses de se filmer au volant de voitures sportives, de motocross et de buggies en effectuant des drifts (entendez par là « dérapages ») et des roues arrières sur la voie publique. Une scène qui n’avait donné lieu à aucune interpellation, là non plus.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Une réponse à “Culture racaille. À Meaux (Seine-et-Marne), le tournage d’un clip de rap se termine en émeute avec 2 policiers blessés”
La remigration droit être rendue désirable par des incitations de toutes sortes