En France, le coût de l’immigration sur le système de santé constitue un véritable tabou. Pourtant, une étude publiée par l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) met en lumière des données édifiantes sur l’impact financier et organisationnel de cette pression migratoire. Entre recours accru à des soins coûteux, contribution insuffisante au financement du système et saturation des infrastructures, le constat est sans appel : l’immigration alourdit dangereusement la charge du système de santé français.
Une population plus malade et un recours accru aux soins coûteux
Les immigrés présentent un état de santé globalement plus dégradé, avec une prévalence accrue de maladies graves comme le diabète (2,5 fois plus fréquent chez les personnes originaires du Maghreb), la tuberculose (10 fois plus élevée), ou encore l’hépatite B chronique. Ces pathologies nécessitent souvent des traitements longs et onéreux, dépassant les 5 000 € par an pour le diabète, et atteignant jusqu’à 1 million d’euros pour certaines thérapies innovantes.
L’étude pointe également une concentration des besoins dans des secteurs sous tension tels que la pédiatrie, la psychiatrie et les greffes d’organes. Par exemple, au CHU de Toulouse, 20 % des lits d’hémato-pédiatrie sont occupés par des enfants étrangers, privant ainsi des patients français de soins critiques.
Un financement disproportionné : qui paie réellement ?
Sur le plan financier, les immigrés contribuent bien moins que les natifs au financement du système de santé. En moyenne, le revenu médian des immigrés est inférieur à celui des natifs (17 000 € contre 22 880 €), limitant leur contribution aux cotisations d’assurance maladie. Par ailleurs, une proportion importante de cette population bénéficie de dispositifs comme la Complémentaire santé solidaire (CSS), financée par la solidarité nationale. Les étrangers en situation irrégulière profitent également de l’Aide médicale d’État (AME), dont le coût a explosé de 45 % en dix ans.
Les dispositifs spécifiques pour le séjour pour soins, quasi uniques en Europe, permettent à des étrangers de bénéficier gratuitement de traitements coûteux en France, sans obligation de contribution. Ces traitements, souvent chroniques, pèsent lourdement sur les finances publiques. L’étude cite des cas emblématiques comme les greffes d’organes, où des patients étrangers en urgence absolue peuvent passer avant des résidents français déjà sur liste d’attente.
Le tourisme médical et la dette hospitalière : une bombe à retardement
L’immigration légale et clandestine a également favorisé l’émergence d’un véritable tourisme médical. En 2022, 24 183 demandes de titres de séjour pour soins ont été enregistrées, avec un taux d’acceptation de 57,6 %. Ces chiffres incluent des pathologies nécessitant des traitements lourds, souvent financés par la Sécurité sociale. En parallèle, la dette hospitalière due aux patients étrangers non remboursés continue de croître, atteignant des sommets dans des établissements comme l’AP-HP.
Le système de santé français, déjà fragilisé par une offre saturée, se retrouve sous une pression croissante due à l’afflux migratoire. Les conséquences sont dramatiques : allongement des délais de prise en charge, pertes de chances pour les patients natifs, et aggravation des tensions dans des services hospitaliers déjà débordés.
Quelles solutions pour l’avenir ?
L’OID appelle à des réformes profondes pour restaurer l’équilibre financier et organisationnel du système de santé. Parmi les recommandations figurent une révision stricte des conditions d’accès aux soins pour les étrangers, un meilleur contrôle des dispositifs comme l’AME et la CSS, et une réduction des accords bilatéraux avec les pays débiteurs. Sans action rapide, la soutenabilité du système de santé français risque d’être compromise à long terme.
L’étude de l’OID révèle l’ampleur d’un scandale trop souvent ignoré. Alors que les Français subissent une pression fiscale croissante pour financer un système de santé à bout de souffle, l’immigration représente un coût difficilement justifiable. Plus que jamais, une prise de conscience collective et une action politique déterminée sont nécessaires pour sauver ce qui reste du modèle social français.
Avec des chiffres précis et une analyse implacable, cet article démontre pourquoi le coût de l’immigration sur le système de santé n’est pas seulement une question d’équilibre budgétaire, mais un enjeu de justice sociale et de souveraineté nationale.
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6 réponses à “Immigration et santé : le scandale d’un système sous pression en France”
moralité : retour au bled pour les migrants avant la faillite totale !
J avais donné mon exemple il y a quelques jours ,,pharmacie de l hopital pour traitement myelome ,,2500 le mois ,en generique ,avant c etait 5000,,salle d attente=1/4 « europeen « ,,Serait ce erroné de parler de « patients « musulmans ,,Quid des pays riches islamiques ,,Eux qui ont tant de vertue a coté des koufars ,mécréants ,,,
La question est simple : pourquoi se faire soigner chez les mécréants, blancs, colonialistes alors que le Qatar, les Emirats et autres plein de pétrodollars ont des hôpitaux ultra modernes ? Parce que le RSA, l’AME et autres avantages sociaux sans jamais avoir cotisé est bon à prendre chez ces infidèles. Et puis voler un mécréant n’est pas un vol au sens religieux de cette religion ! Si la France veut continuer à soigner le monde entier gratuitement je crains que la faillite soit en préparation….
Tant que la France et son gouvernement formé en grande partie d’iconoclastes sans la moindre pudeur refuseront de reconnaître que l’apport massif d’émigrés, légaux ou clandestins, plombe totalement le système de Santé Français, et tant que les français, par lâcheté ou j’m’en foutisme laisserons faire, d’evidence la France s’enfoncera de plus en plus, dans un marasme pour le moins extremement dangereux.
Les faire payer….les allemands font fonctionner les cliniques privées a Munich avec le tourisme médical, payé par les pays du golfe
Le coût de l’immigration est estimé a 55 milliards d’euros par an