La faillite de l’Etat Providence [L’Agora]

« Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?

Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne ?

Ohé partisans ouvriers et paysans, c’est l’alarme ! »

(Le Chant des partisans ou Chant de la libération. Paroles écrites le 30 mai 1943 par Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon)

Ohé citoyens, c’est l’alarme ! Le temps de la libération du pays qu’on enchaîne !

La France est en danger, en grand danger, enchaînée par les liens de l’assistanat social, détournée de son passé par les leçons de culpabilité données par les wokistes sur son histoire, ses racines chrétiennes, une interprétation outrancière de la laïcité. Les Français sont manipulés par l’islamo gauchisme, des objectifs expansionnistes de l’islamisme politique, la destruction d’Israël, l’éradication de la religion juive, l’étouffement de la démocratie Occidentale, confondre la France dans ses contradictions démocratiques, politiques, la laïcité.

Le constat de la déchéance de la France en cette fin de 2024, tout le monde le fait avec ses mots, ses maux, ses convictions, son idéologie, ses idées. C’est la traduction d’une espérance dans le futur, l’espoir de la réaction éclairée des citoyens par une vision renouvelée de la vie politique, dans l’esprit du Siècle des Lumières et des idées de changement.

Si tu as une pomme, que j’ai une pomme, et que l’on échange nos pommes, nous aurons chacun une pomme. Mais si tu as une idée, que j’ai une idée et que l’on échange nos idées, nous aurons chacun deux idées” (George Bernard Shaw).

Pourquoi la France est-elle en danger ? La population française ne représente que 1% de la population mondiale, son histoire, son modèle d’économie libérale et les valeurs de la République sont transgressés et bafoués par des pseudo-progressistes, manipulant les électeurs qui veulent croire au « grand soir », le mythe liberticide et révolutionnaire de mai 1968 « il est interdit d’interdire ». Mais il ne peut y avoir de liberté sans ordre social, tout en sachant que “l’ordre est une tranquillité violente” (Victor Hugo).

La crise civilisationnelle que traverse l’Occident par le risque d’islamisation du monde, est une réalité au quotidien. Elle s’aggrave particulièrement en France par une politique d’immigration incontrôlée irresponsable, une crise institutionnelle, financière, démocratique, éducative. La Nation se divise en communautarismes, les Institutions flirtent avec la corruption, le pays s’enfonce dans le narcotrafic et la criminalité, l’ordre public est bafoué et la police insultée, l’autorité judiciaire s’est faite l’avocat général de la société délinquante, l’autorité de l’Etat est dévalorisée par la politique spectacle du Président de la République, devenu le « guide suprême » de l’Etat. L’injure et la violence verbale sont tristement devenues le langage de l’intolérance, le manque d’indulgence, la provocation, l’arrogance, et trop souvent de la haine. La protection judiciaire des mineurs est le gage constitutionnel d’une jeunesse… sans foi ni loi ! La politique sociale des avantages acquis par des décennies de démagogie de la part des gouvernements successifs de la Vème République, confirme la théorie d’Engels s’adressant à Karl Marx «…/…Le prolétariat anglais s’embourgeoise de plus en plus et cette nation, la plus bourgeoise de toutes, veut donc apparemment en venir à posséder une aristocratie bourgeoise et un prolétariat bourgeois à côté de la bourgeoisie ». Une référence qui a traversée la Manche, s’adaptant aussi au prolétariat français.

Cet embourgeoisement du prolétariat justifie la célèbre citation de Joseph de Maistre, homme politique, philosophe, magistrat et écrivain du 18ème siècle : « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite ». Cela se traduit concrètement aujourd’hui… par la notation des agences financières. Mais les Français ne peuvent pas simplement accuser la classe politique. Comme peuple souverain, les électeurs glissent un bulletin dans l’urne pour élire les élus de la nation avec souvent le fil conducteur… de l’assistance de l’Etat, attirés par les prestations sociales de l’Etat « demain, on rase gratis ». Une supercherie politique qu’à chaque élection les candidats brandissent et promettent en toute impunité à leurs électeurs, se référant à l’astuce d’un barbier qui installa à l’entrée de son salon une pancarte sur laquelle il avait écrit : « Demain, on rase gratis« , mais tous les jours il laisse la pancarte affichée. Lorsqu’une personne proteste au moment de payer, en évoquant la publicité affichée, le barbier répond alors de bonne foi qu’il est bien précisé que la gratuité c’est demain ! Aujourd’hui on se contente d’en sourire et de revenir se faire « raser » à chaque élection.

Or depuis des décennies «…/… le trouble dans l’État a pour conséquence inéluctable la désaffection des citoyens à l’égard des institutions. Il suffit alors d’une occasion pour faire apparaître la menace de la dictature » (déclaration du général de Gaulle à Bayeux le 16 juin 1946).

Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?

Français, républicain, laïc, démocrate :

  • Je dénonce l’effondrement de la démocratie quand des minorités politiques, sociales, culturelles, religieuses, s’opposent par la menace et la violence  à la libre expression de la majorité constituée ;

  • Je dénonce et m’attriste quand les mouvements wokistes vilipendent l’histoire de la France, ses origines chrétiennes, les valeurs de la République, la laïcité, la sanctuarisation de l’école, engagent les jeunes à s’interroger sur leur véritable genre ;

  • Je condamne le terrorisme intellectuel mené par l’islamisme dans les écoles, menaçant les enseignants de faire apprendre La Marseillaise, travailler les élèves sur l’époque coloniale, la shoah, d’étudier la laïcité… aboutissant à la décapitation d’un professeur d’histoire ;

  • Je déplore de voir l’autorité judiciaire devenue ouvertement politisée à travers le syndicat de la magistrature. Un mépris de l’indépendance de la justice et de l’impartialité des magistrats ;

  • Je dénonce le harcèlement contre les forces de l’ordre légalement constituées par l’article 12 de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 ;

  • Je dénonce l’irresponsabilité des parents qui abandonnent l’éducation de leurs enfants mineurs, livrés à la violence et aux trafics en tout genre. Bien entendu, l’extrême difficulté des femmes seules vivant dans la pauvreté, étant le plus souvent au chômage ou occupant un emploi à temps partiel, est une circonstance atténuante mais le délit de parent responsable de l’éducation de ses enfants existe. Dans les années 1970, le parent élevant seul ses enfants représentait moins d’une famille monoparentale sur dix. En 2024, elle représente près d’une famille sur quatre.

« Ne comptez pas sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre ». (Albert Einstein)

Un peuple existe par sa nationalité, son identité, la souveraineté nationale et territoriale, sa langue, sa culture. Cela s’adresse aux citoyens Français historiques, aux Français majeurs issus du droit du sol nés de parents étrangers, aux étrangers naturalisés, et aussi aux étrangers francophiles qui aiment la France, son histoire, son peuple et sa culture. « La culture ne s’hérite pas, elle se conquiert » déclarait André Malraux. Être Français ou marié « en secondes noces » avec la France est un engagement personnel, sincère, une attestation morale d’adhésion à un Etat de droit, du respect de la dignité humaine tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite, xénophobe, antireligieux.

L’Etat est la courroie de transmission de la légitimité des droits des citoyens, mais aussi de leurs obligations et de leurs devoirs. L’ordre et la fermeté n’empêchent pas la solidarité, le dialogue ni l’exercice de la démocratie.

Outragés du mépris de la parole du peuple par les Pouvoirs publics, conscients de l’impérieuse nécessité de revenir aux fondamentaux de la démocratie, de l’ordre, de la séparation des pouvoirs, de l’autorité de l’Etat, de l’équilibre budgétaire, les Français constituent une nation indivisible. Comment accepter le discours séparatiste de la cohabitation de plusieurs France, comme il y a plusieurs religions ?

S’il est logiquement correct de dénoncer la baisse du pouvoir d’achat, justifié pour la population déshéritée, il est politiquement irresposnable de vouloir poursuivre l’escalade infernale des prestations sociales, sans prendre le risque de se casser la g… Pour la 7e année consécutive, la France se situe en tête des dépenses de protection sociale en Europe avec 32,2% du PIB soit 849 milliards d’euros de prestations sociales, représentant le tiers du budget de l’Etat. En parallèle, il est réconfortant de savoir que la France fait partie des pays de la zone euro où le taux d’épargne, publié par la Fédération Bancaire Française au 2ème trimestre 2024, est l’un des plus élevés (Allemagne : 20,0%, France : 17.60%, Espagne : 13,1%, Italie : 12,9%). Pour autant, faut-il s’en servir comme « pompe à fric » pour les finances publiques ? Quel épargnant peut l’accepter ? La démagogie de certains partis politiques laisse entendre que cet argent serait prélevé dans la poche des riches. Qui peut croire que les « riches » placent leur épargne sur un livret d’épargne à la banque du quartier ?

Il y a également d’autres raisons d’être très inquiet pour l’indépendance nationale, au regard d’une Fédération européenne, et aussi de la civilisation occidentale en cours d’islamisation. Il appartient à chaque Français de fréquenter le chemin d’un engagement responsable pour la Nation, en toute liberté d’opinion, sans se trouver obligé demain de porter la Arwa des hommes ou le Tchador des femmes.

Le général de Gaulle considérait que si l’Algérie n’avait pas accédé à l’indépendance, la population française serait majoritairement musulmane. Aujourd’hui, si les Français ne préservent pas les valeurs de la République et de l’Etat de droit, la laïcité, leur identité, demain la crainte du général de Gaulle deviendra une réalité… que son village s’appelle Colombey-les-Deux-Mosquées.

Au moment crucial que vit la France, les paroles lénifiantes et les discours sur le diagnostic du déclin ne suffisent plus. La passivité n’est pas de mise, encore moins le renoncement. Il faut absolument redresser une situation politique qui s’enlise et une économie qui s’effondre. Ce ne sont pas les incantations du « chamanisme » politique prononçant des paroles magiques qui vont aider à transgresser la réalité. Il faut du courage, de l’abnégation, l’effritement de certains avantages personnels, au profit de tous, jusqu’au retour à meilleure fortune, freiner la distribution des avantages sociaux indus et inéquitables payés à crédit depuis cinquante ans par les Français, bailleurs de fonds d’un Etat en faillite. L’infamie pour la Vème République gaulliste, attachée à l’indépendance nationale, serait de remettre les clés de la France à l’administrateur judiciaire, le FMI.

Quel serait le chemin à prendre pour empêcher cette humiliation ?

Il n’y a pas de miracles ! La première obligation est celle du respect de la Constitution :

Article 3- La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Donc consulter les citoyens sur une question essetielle : « Etes-vous pour ou contre la constitution d’une nouvelle république» ? Une réponse positive entraînerait la démission du Président de la Vème République.

Article 5- Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il est le garant de l’indépendance nationale. La transaction politique d’Emmanuel Macron avec les chefs des partis politiques, à l’exclusion du Rassemblement National, LFI ayant refusée l’invitation du chef de l’Etat, négociant avec eux l’abandon de l’article 49-3 de la Constitution contre l’assurance du non-recours à la censure du gouvernement, est un parjure à son serment constitutionnel.

Article 20- Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation. Le Premier ministre est le chef du gouvernement. Il est responsable de la politique de la nation devant le Parlement. C’est lui qui engage la responsabilité de l’Etat et soumet son gouvernement à la censure de l’Assemblée Nationale.

La deuxième nécessité consiste à purger le nombre pléthorique des agences et instituts divers de l’Etat, qui coûtent plus de 80 milliards d’euros par an. A titre d’exemple, les 18 Agences régionales de santé. Elles sont chargées d’assurer un pilotage unifié de la santé en région, de mieux répondre aux besoins de la population et d’accroître l’efficacité du système. Ont-elles prouvées leur efficacité ? L’hôpital public et l’organisation de santé ne se sont jamais si mal portés ; les médecins ne veulent plus s’installer en campagne, les hôpitaux publics ne disposent pas de moyens financiers pour investir dans les équipements, d’autres ferment leur service de maternité, le service des urgences est parfois réduit, par manque de personnel soignant.

La troisième nécessité est de s’interroger sur l’utilité réelle du Conseil économique, social et environnemental, le CESE, dont la mission consiste à conseiller les pouvoirs publics. Un rôle qui coûte près de 50 millions d’euros par an aux contribuables dont l’utilité est à prouver… sinon cela se saurait !

Les 175 membres du CESE, la troisième chambre constitutionnelle de la République avec l’Assemblée Nationale et le Sénat, sont nommés pour 5 ans, dont 52 représentants des salariés, désignés par les syndicats de salariés, 52 représentants des entreprises, exploitants agricoles, artisans, professions libérales, mutuelles, coopératives et chambres consulaires, 45 représentants au titre de la cohésion sociale et territoriale et de la vie associative, 26 représentants au titre de la protection de la nature et de l’environnement désignés par des organisations environnementales.

Faut-il une Chambre constitutionnelle composée de « conseillers », n’ayant aucun pouvoir législatif, sans relation directe avec les citoyens, quand les députés sont les représentants du peuple, élus au suffrage universel direct, et les sénateurs élus par le vote des «Grands électeurs » eux-mêmes des représentants du peuple ? Quelle peut-être alors l’influence du CESE sur la politique de l’Etat, d’autant plus que l’Exécutif, les ministères et les Administrations font appel à des cabinets de conseil qu’ils paient à prix d’or, dont la justification est d’ailleurs mise en cause par la Cour des comptes. « Aucune explication d’ensemble, cohérente et générale, ne peut être fournie de l’augmentation du recours à des cabinets privés au cours de la dernière décennie », recommandant de faire appel à l’expertise interne à l’administration (inspections générales, hauts fonctionnaires en attente d’affectation) ou de recruter des agents spécialisés en « contrat de projet« . La Cour des comptes s’est donc chargée de prouver l’inutilité de la CESE qui n’a d’ailleurs pas été défendue par le Conseil constitutionnel !

La crise politique, sociale et financière que traverse la France, le bilan d’un demi-siècle de déficits budgétaires et d’endettement public extravagant, nécessite une réforme structurelle des institutions, le dégraissage des aides financières distribuées à hauteur de près de 2 milliards à certains pays étrangers… dont la Chine, au regard des besoins nationaux que l’Etat n’arrive pas à assurer. L’exemple le plus flagrant et choquant est la misère, l’insalubrité d’un habitat en tôle de la majorité de la population à Mayotte, une situation mise en exergue par la catastrophe vécue par les Mahorais en ce moment. Elle est le révélateur d’un abandon de l’Etat par l’insuffisance des équipements et installations publics, , une politique d’immigration incohérente et incontrôlée, l’incapacité de financer des aides suffisantes aux collectivités territoriales de Mayotte… car l’argent de ces subventions a été versé aux Comores pour… l’aide à son développement durable. L’AFD, l’agence française de développement, accompagne cet effort depuis 60 ans, en faisant des secteurs de la santé et de l’éducation, de l’insertion, de la formation professionnelle, et la construction d’infrastructures, les principaux bénéficiaires de ses interventions.

Une reconsidération de la politique sociale, l’adaptation de la politique pénale à la hauteur des enjeux de la société, une sélection drastique des dépenses de l’Etat par la suppression des rentes de situation des agences publiques, la réduction massive de la politique de subventions aux pays étrangers et aux organismes publics et privés dont l’activité ne relève pas d’une utilité publique nationale, et bien d’autres dépenses très contestables, font que toutes ces dizaines de milliards sont financés par les contribuables français. Auxquelles s’ajoutent le financement absurde du CESE, le Conseil économique, social et environnemental, témoin silencieux et impuissant de la faillite économique et sociale de la politique de l’Etat.

Quel est l’homme d’Etat à la hauteur des enjeux de la France, capable de rassembler les Français place de la République, le haut lieu de la renaissance de la République ?

« Il faut laisser le passé dans l’oubli et l’avenir à la providence » (Bossuet).

Par Louis-Marie Guénégan. Légaliste, je m’attache au sens des mots. Le vocable droit, s’associe au mot obligation, l’assistanat à soumission, des liens de cause à effets.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

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5 réponses à “La faillite de l’Etat Providence [L’Agora]”

  1. Durandal dit :

    Bonjour,

    On dirait un texte produit en 1788 par une personne de l’ancien régime. Le droitard français nous propose d’en revenir à son cher ordre face à l’effondrement de la gauche. Allez, quelques mesures de bon sens, et le pays ira mieux ! N’est pas de Gaulle qui veut. Je suis en train de lire les mémoires d’espoir du général, qui par exemple, n’aurait jamais, absolument jamais, légitimé une division de la france sous prétexte ethnique ou religieux, comme la doxa hébraïque nous le propose ici (que cette personne en ait conscience ou pas). Il est trop tard pour avoir un pays blanc, catholique (je précise que je suis catholique limite tradi). Comme il était trop tard selon le général pour intégrer l’algérie à la france. Car oui, le général a envisagé cette solution. Mais elle n’était plus praticable parce que des crétins avaient cultivé la division sur ce sujet à droite et à gauche pendant des décennies. M de Gaulle était avant tout un homme pragmatique. L’auteur ferait bien de s’en inspirer. Il critique une bourgeoisie de gauche qui a échoué. Mais que dire de cette bourgeoisie de droite bête et complètement déconnectée des réalités qu’elle croit connaître, et qui, en toute dernière instance, finit par légitimer la gauche quand ses intérêts sont menacés (la belle rigolade). Mais essayez d’avoir une vraie réflexion ventre bleu. Nous en sommes à essayer de survivre en tant que blancs catholiques. Nous n’en sommes plus au stade de régner ! A moins que justement, nous commencions à prendre en peu en compte la réalité démographique ou spirituelle terriblement défaillante de notre pays, de nous, pas des autres. Pour avancer un peu et éviter de proposer des solutions irréalistes à droite, merci de commencer par lire ceci : https://aimeles.net/la-demande-dordre-pour-elle-meme-renouveau-dun-cancer-occidental/

    Un peu de sérieux ne nous ferait pas de mal.

    M.D

  2. gilles dit :

    Exposé intéressant, des dénonciations bienvenues, mais totalement contradictoires car ce texte qui déclare « la France est un engagement personnel, sincère, une attestation morale d’adhésion à un Etat de droit, du respect de la dignité humaine tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite, xénophobe, antireligieux. » exprime fondamentalement une xénophobie salvatrice, la haine d’une religion importée, etc…

  3. gaudete dit :

    Trop long je n’ai relevé que deux citations les valeurs de la république et l’autre le respect de la Constitution. Alors les valeurs de la ripoublique c’est quoi: l’avortement érigé en totem, l’euthanazie bientôt obligatoire pour certaines catégories de la population. Non depuis la révolution c’est la guerre qu’on le veuille ou non. Les Fm ont menti sur toute l’histoire de notre peuple, quand on est obscurantiste comme ils prétendent que l’étaient les gens du Moyen Age, on ne construit pas des cathédrales, donc leurs idées tordues sont fausse et toute l’histoire est à l’aune des mensonges de cette secte satanique. L’histoire de notre peuple doit être revisitée de fond en comble par des gens sérieux non par des idéologues et des menteurs. De plus les Lumoières si chères aux laïcards ne sont rien d’autres que les ténèbres amenant le chaos dans notre pays, il faut réfléchir à tout cela: massacre des innocents pendant la révolution, génocide de la Vendée, guerres de Napoléon etc etc Quant au respect de la Constitution, quand on voit ce que le guignol de l’elysée y a fourgué, non merci, le génocide des enfants à naître, les nazis ne sont pas loin Et d’abord que le conseil constitutionnel avec ses repris de justice et ses assassins la respectent parce que ces gens-là ne respectent pas le peuple parce qu’ils croient qu’ils peuvent faire n’importe qui et le peuple il y a belle lurette qu’il n’est plus souverains, ce sont des tyrans qui dirigent ce pays

  4. Yves Le Goc dit :

    Très bon article

  5. JMAD dit :

    Qui pourrait contester la pertinence de ces propos ? Le problème est que les Français ont été décérébrés et déculturés par la « Déséducation Nationale depuis 60 ans , par les media complices aux mains de l’état profond et par la lâcheté de la plupart des politiues ,ce qui explique le vote des Français et la survie de l’oligarchie qui parasite la France depuis trop longtemps.

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