Cambriolages en série : la détresse des commerçants de Nantes et sa périphérie

Alors que les fêtes de fin d’année devraient être une période propice à la prospérité pour les commerçants, la situation est bien différente à Nantes et dans ses environs. De nombreux professionnels du commerce se disent désemparés face à une recrudescence de cambriolages ces dernières semaines. Une tendance inquiétante qui vient s’ajouter à des difficultés déjà lourdes.

Une série noire qui frappe les petits commerces

À Saint-Herblain, en périphérie de Nantes, une dizaine de vols ont été recensés en seulement quelques semaines. Parmi les victimes, des petits commerçants.

Pour d’autres, les dégâts matériels et psychologiques sont bien plus lourds. Une responsable de salon a vu sa porte, d’une valeur de 3 000 euros, défoncée pour un vol de 500 euros en liquide. Un barbier a même été cambriolé trois fois en six jours.

La situation est similaire dans le centre de Nantes et sur l’île de Nantes, où plusieurs commerces ont également été ciblés. Face à cette vague de vols, certains commerçants ont adopté des mesures préventives en vidant leurs caisses et en affichant des messages en vitrine indiquant qu’il n’y a rien à voler.

Un contexte alarmant malgré une baisse globale des cambriolages

Selon les chiffres communiqués par la préfecture de Loire-Atlantique, les cambriolages dans les locaux commerciaux ont globalement diminué en 2024, avec une baisse de 20,3 % par rapport à 2023. Pourtant, la fréquence et la localisation des récents vols inquiètent les forces de l’ordre, qui soupçonnent l’implication d’une même bande, utilisant notamment des deux-roues comme outils d’effraction.

Malgré les efforts de la police nationale et municipale pour renforcer la présence sur le terrain, les commerçants se sentent abandonnés. Si la ville a déployé des patrouilles de nuit et installé des caméras de vidéosurveillance, ces mesures semblent insuffisantes pour dissuader les malfaiteurs.

Cette série noire met en lumière les défis auxquels font face les commerçants de Nantes et des environs, particulièrement en cette période de fêtes. Alors que ces petites entreprises jouent un rôle clé dans la vitalité économique locale, elles appellent à des actions plus efficaces pour assurer leur sécurité et préserver leur activité.

Crédit photo : DR

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8 réponses à “Cambriolages en série : la détresse des commerçants de Nantes et sa périphérie”

  1. sympathisant44 dit :

    « Une responsable de salon a vu sa porte, d’une valeur de 3 000 euros, défoncée pour un vol de 500 euros ».
    Cela nous rappelle qu’il existe aussi un marché très lucratif de la sécurité !
    (mais pas toujours efficace…)

  2. loic ruello dit :

    en matière de sécurité aujourd’hui en france je ne vois que : balle a sanglier calibre douze

  3. Gaï de Ropraz dit :

    … et ce n’est qu’un debut !
    Vous verrez Francais, ce qui adviendra dans vingt ans, lorsque la parité entre les insurgés, ou envahisseurs de masse, volera aux eclats, et que ces foules humaines supplantront les Francais de souche !
    Et dites vous bien que, malheureusement, c’est immuable au devant de l’apathie et de l’abandon de toute velléité par la majorité du peuple Français !!!

  4. marco dit :

    Popu ,,50 ans a prevennir et se faire traiter de facho, Bureau des pleurs fermé . »Dieu se rit des hommes qui se lamentent de choses dont ils cherissent les causes « ,Jacques Benigne Bossuet

  5. Cheg dit :

    Excellent!

  6. Charles Caminero dit :

    Beaucoup d’agents pour assurer la SÉCURITÉ des Français

    Ne vous inquiétez pas, l’État s’en occupe. Il a récemment mobilisé 1700 agents de l’OFB pour contrôler les chasseurs, ces « assassins en puissance » cible privilégiée des écolos de salon, animalistes extrémistes, antispécistes etc.. dont les plus virulents font le buzz dans les médias ou sur les plateaux TV auprès de crédules à qui ils bourrent le crâne de mensonges: Hugo Clément, Sardine Rousseau, Nagui n’oubliez pas les parole, Julien Courbet etc. Sans parler des Associations animalistes dont le but ultime est de détruire la chasse, héritage de la Révolution, ancrée dans le Patrimoine de la France.
    Vous vous rendez compte, 1700 agents pour traquer des chasseurs dont l’activité est tout à fait légale et strictement encadrée. Manque de bol, les agents de sécurité auront seulement dressé quelques rares PV pour «transport de l’arme hors de son étui dans le véhicule» ou pour «panneau de signalisation de chasse mal placé à la croisée d’un chemin».

    Pour ce qui des test d’alcoolémie, transport et usage de drogue, détention illégale d’armes, chasse sans permis, défaut d’assurance, refus d’obtempérer etc. : NÉGATIF SUR TOUTE LA LIGNE.

    Donc, 1700 agents motivés par leur importante mission, pétard à la ceinture, chargés de traquer chasseurs et agriculteurs, des agents qui arpentent les campagnes, payés à ne rien faire à bord de véhicules de service alors que la racaille sévit tous les jours dans notre beau pays.

    Donc, 1700 agents à la «chasse aux chasseurs», dans toute la France alors que des milliers de Français sont chaque jour victimes de la racaille dans des villes où il faut raser les murs et savoir courir pour sauver sa peau.

    Donc, 1700 agents motivés pour faire de la « pédagogie» alors que la France souffre tous les jours d’attaques au couteau, de règlements de comptes à la kalachnikov, de cambriolages, de viols de femmes esseulées, d’agressions de policiers, de refus d’obtempérer, de tabassage de personnes âgées etc.. etc..

    Un récent article de Breizh-Info rappelait le nombre de morts à la chasse pour l’année 2013: 6 victimes. Même si 6 morts c’est 6 morts de trop, l’État français qui mandate ses cowboys de la sécurité et de l’environnement, se trompe de priorité.

    Triste.

  7. patphil dit :

    « Une série noire qui frappe les petits commerces » voilà du racisme: série « noire »

  8. John Smith dit :

    Mettre du bleu partout dans les rues est un coup d’épée dans l’eau, si la submersion venant du sud n’est pas inversée. Devenue une extension de l’ afrique du nord et subsaharienne à la criminalité galopante, cette région en est aussi le laboratoire européen de la créolisation.

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