L’affaire Gisèle Pélicot, tragique et sordide, a permis une fois de plus à certaines figures du féminisme de gauche de déployer leur discours obsessionnel : tous les hommes seraient des prédateurs, potentiels Dominique Pélicot en puissance. Leur diatribe est connue, leur cible tout autant : la masculinité en tant que concept et réalité. Mais au-delà des slogans et des condamnations à sens unique, c’est l’hypocrisie crasse de ces militantes qui saute aux yeux.
Car dans cette affaire, un fait demeure obstinément étouffé par leurs cris d’orfraie : au moins 14 des 51 agresseurs condamnés, soit 27 %, sont des immigrés extra-européens. Cette surreprésentation – que dénonce des féministes de droite comme Némésis depuis des années – ne relève pas d’un hasard statistique, mais bien d’un problème systémique qu’elles refusent de voir en face. Pourquoi ? Parce que pour ces féministes, l’ennemi, le vrai, n’est pas l’agresseur ou le criminel. Non, leur obsession est bien plus insidieuse : détester l’homme blanc occidental.
Quand le féminisme devient une arme contre l’homme occidental
Soyons clairs : toute agression, tout viol est une horreur qui doit être dénoncée et punie. Mais pourquoi ce silence gêné dès qu’il s’agit d’évoquer l’origine des agresseurs ? Pourquoi l’affaire Gisèle Pélicot n’a-t-elle pas déclenché une vague de questionnement sur le fait que les extras européens sont surreprésentés parmi les condamnés ?
La réponse est simple : ces féministes, qui se targuent de défendre les femmes, sont avant tout animées par une haine viscérale de l’homme occidental. Pour elles, chaque agression est une opportunité de condamner le « patriarcat blanc » et d’ignorer commodément les réalités sociologiques lorsqu’elles contredisent leur idéologie. Les hommes immigrés extra-européens, eux, bénéficient d’une indulgence incroyable, car dénoncer leur responsabilité reviendrait à briser le totem sacré de l’antiracisme.
Les chiffres qui dérangent
Regardons les faits. Dans l’affaire Pélicot, un quart des condamnés minimum sont des immigrés extra-européens, une proportion largement supérieure à leur poids dans la population. Ces statistiques ne sont pas nouvelles : les immigrés non européens sont surreprésentés parmi les auteurs de violences sexuelles en France, et ce depuis des années. Pourtant, cette réalité est systématiquement passée sous silence par les féministes de gauche, trop occupées à conspuer un « patriarcat blanc » imaginaire.
Pire encore, ces militantes n’hésitent pas à utiliser des tragédies comme l’affaire Pélicot pour alimenter leur guerre idéologique contre les hommes en général. Leur discours réduit chaque individu à son sexe, effaçant toute nuance, toute réalité. Tous les hommes seraient des prédateurs en puissance, et chaque femme une victime potentielle. Une vision aussi caricaturale que dangereuse.
En refusant de nommer le problème de l’immigration massive et ses conséquences sur la sécurité des femmes, ces féministes se rendent complices. Complices d’un système qui tolère l’arrivée de populations aux pratiques parfois profondément misogynes. Complices d’une idéologie qui sacrifie les victimes sur l’autel de l’antiracisme.
Et pendant qu’elles hurlent à la « culture du viol » occidentale, des quartiers entiers échappent à la loi. Ces zones où les femmes n’osent plus marcher seules, où les lois patriarcales importées supplantent les droits fondamentaux. Mais chut ! Parler de cela serait raciste, paraît-il.
Reprendre le contrôle de la narration
Il est temps de sortir de cette hypocrisie. L’affaire Gisèle Pélicot doit être un électrochoc, non pas pour condamner tous les hommes, mais pour ouvrir les yeux sur les véritables causes de l’insécurité des femmes. Oui, le féminisme a sa place dans notre société, mais pas ce féminisme-là. Pas ce dogme qui préfère accuser en bloc les hommes blancs plutôt que de regarder la réalité en face.
Ce féminisme est un outil d’oppression, une arme idéologique utilisée pour détruire les fondements mêmes de notre civilisation. À nous de reprendre la main et de défendre un féminisme enraciné, qui protège réellement les femmes sans sacrifier la vérité sur l’autel de l’idéologie.
Les masques doivent tomber. L’affaire Pélicot n’est pas seulement le symbole d’un drame individuel. Elle est le miroir déformant d’une société malade de ses mensonges. À nous de refuser ces silences complices et ces discours dévoyés. La vérité, toute la vérité, doit être rétablie, coûte que coûte.
Julien Dir
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6 réponses à “Les féministes à géométrie variable : l’affaire Gisèle Pélicot et le silence sur l’immigration [L’Agora]”
Très bien dit !
Tout à fait d’accord
Tout à fait d’accord
On ne les a pas vues ces féministes manifester devant l Ambassade d’ Iran par exemple ou quand l’étudiante a été violée et tuée par un extra européen libéré trop tôt et sous OQTF….ces gens là devraient régler leur problème perso chez une psychologue plutôt que perdre du temps à guerroyer contre le méchant mâle blanc. Si l’homme blanc est le pire de tous les maux, il leur reste les trans et autres LGBT pour épanouir leur identité sexuelle !!
Bonjour,
A mon avis, et sans aucune méchanceté de ma part, les féministes ne comprennent pas la notion de statistiques. Les statistiques, ce sont des mathématiques, des portions de réalité. Et ces femmes là n’ont pas eu de vrai père. Elles ne comprennent rien au monde du quantitatif. Pour elles, seules les personnes comptent. Un homme blanc = homme extra européen dans leurs raisonnements (mais pas dans leur psyché).
Pourtant, elles ont raison sur un point : c’est bien notre rapport à la féminité qui est interrogée à travers le viol. Moi, j’y vois plutôt une forme de misère masculine en matière de sexualité. Elles, chargent les hommes et refusent d’envisager les responsabilités d’une femme.
Cdt.
M.D
Soyons clairs : C’est un probleme feminin. Par consequent j’aurais aimé que ce soient des femmes qui interviennent dans un tel débat ubuesque.