La Bretagne, souvent perçue comme un havre de paix, est confrontée à une montée en flèche de l’insécurité et du trafic de drogue, mais aussi plus globalement des violences, et cela depuis des années. Des villes comme Saint-Nazaire et Rennes, jadis épargnées par les problèmes associés à certaines banlieues françaises, sont aujourd’hui le théâtre de cambriolages, de violence et de narcotrafic. Si les autorités locales commencent à reconnaître la gravité de la situation, les réponses restent timides, là où Breizh-Info alerte depuis des années sur cette dérive inquiétante.
Saint-Nazaire : entre cambriolages et narcotrafic
À Saint-Nazaire, l’insécurité atteint des sommets. Depuis octobre, les cambriolages se multiplient dans les quartiers périurbains, de Saint-Marc à Méan-Penhoët. Les habitants, autrefois tranquilles, vivent désormais dans l’angoisse.
Mais ces cambriolages ne sont qu’un symptôme d’un problème plus profond : le trafic de drogue gangrène certains quartiers comme Penhoët, où les halles historiques sont devenues un épicentre du narcotrafic. Malgré des descentes de police régulières, les dealers continuent leurs activités, renforçant un sentiment d’abandon chez les habitants.
Rennes : la capitale bretonne sous pression
À Rennes, la situation est tout aussi alarmante. La ville compte plus de 30 points de deal actifs, répartis dans des quartiers comme Cleunay, le Blosne ou Maurepas. Dans certains cas, le trafic se déroule au vu et au su de tous, y compris devant des écoles primaires. Les grilles de l’école Champion-de-Cicé, par exemple, ont été recouvertes de bâches opaques pour que les élèves ne voient pas les transactions qui s’y déroulent.
Les policiers, bien qu’actifs, peinent à enrayer le phénomène. Les dealers, habitués aux contrôles, dissimulent leurs stocks et reprennent leurs activités quelques minutes après une intervention. La maire socialiste de Rennes, Nathalie Appéré, mise sur des initiatives de prévention, et donc dérisoires face à l’ampleur du problème. A chaque fois, l’idéologie prend le pas sur le réel. Le gauchisme ne peut pas admettre qu’il faille utiliser des méthodes violentes, radicales, dissuasives, contre ces individus sans foi ni loi.
Ce constat dépasse largement Saint-Nazaire et Rennes. Dans d’autres villes bretonnes, de Nantes à Brest, de Vannes à Saint-Brieuc, des phénomènes similaires se manifestent : des cambriolages en hausse, une délinquance de plus en plus visible et un narcotrafic qui ne cesse de croître. Ces fléaux, bien qu’historiquement moins marqués en Bretagne, prennent racine dans l’importation de modèles urbains défaillants et dans une gestion locale souvent trop permissive.
Un réveil tardif des autorités et des médias
Si la presse mainstream commence enfin à documenter ces problèmes, elle arrive bien tard. Breizh-Info, depuis plus d’une décennie, a dénoncé ces dérives, envers et contre tous, insistant sur le rôle de l’immigration incontrôlée, de l’idéologie progressiste et du laxisme institutionnel dans l’aggravation de l’insécurité.
Les autorités, quant à elles, semblent dépassées, prisonnières d’une bureaucratie lourde et d’une idéologie gauchiste qui freine les réponses fermes nécessaires. Les descentes ponctuelles et les campagnes de sensibilisation ne suffiront pas à enrayer une crise qui s’enracine profondément.
Face à cette situation, des solutions existent, à la fois visant les consommateurs, comme les trafiquants. Encore faut-il avoir la volonté politique, et les possibilités juridiques, de mettre cela en place.
Arrêtez de vous droguer ! Plaidoyer contre la consommation de drogue en Bretagne [L’Agora]
La Bretagne doit refuser de sombrer dans le chaos qui gangrène déjà certaines régions de France. Les habitants, longtemps protégés, méritent une action ferme et immédiate pour restaurer la sécurité et la tranquillité dans leurs villes et quartiers. Alors que les autorités et les médias traditionnels semblent enfin ouvrir les yeux, il appartient à chacun de veiller à ce que cette prise de conscience se transforme en actions concrètes. À défaut, la Bretagne pourrait bien perdre ce qui fait son identité : une région de vie paisible, loin des dérives qui gangrènent déjà tant d’autres territoires.
Illustration : DR
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2 réponses à “Saint-Nazaire…Rennes…Brest…Insécurité, violences, trafic de drogue en Bretagne : le réveil tardif et timide des autorités et des médias mainstream”
Déchéance de nationalité française pour les binationaux délinquants.
Et expulsion définitive des étrangers délinquants .
Le problème est l’immigration
Le véritable problème, c’est que ‘ces binationaux’ n’ont, pour la grande majorité, qu’une seule nationalité ! La plupart d’entre eux sont Français de père en fils depuis au moins trois générations et n’ont plus aucun lien avec leurs pays d’origine