Eric Morillot reçoit Anne-Laure Bonnel pour une discussion sur son parcours de journaliste et sa vocation. L’épisode explore sa vision du journalisme actuel, l’importance de l’investigation et les effets de la médiatisation, incluant la censure et l’autocensure. Anne-Laure Bonnel aborde le wokisme et les accusations de propagande, tout en discutant de la liberté d’expression et des controverses au Canada.
Elle partage son intérêt pour le Donbass, analyse la politique occidentale et la compréhension des actions russes. La conversation s’étend sur l’évolution du conflit, le risque de guerre nucléaire, et la position de la France, tout en critiquant la manipulation médiatique et l’ostracisation des voix dissidentes.
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4 réponses à “Anne-Laure Bonnel sur le conflit russo-ukrainien : « On est dans une m*rde folle ! »”
Bonsoir entretien essentiel si on veut entendre une autre version que celle des médias mainstream ; la chanson du groupe STING de 1988 je crois est à écouter « Russians » traduit par « les russes aiment aussi leurs enfants » ; bonne soirée
J’ai eu une mère russe et la mère de mes enfants est russe .Ce sont des mères extraordinaires. Cultivées, musiciennes souvent, et attachées à leurs enfants telles des louves à leurs petits.
Sans vouloir vous contrarier Ronan, et vous avez raison de rappeler la chanson de Sting, c’était en 1985 et les paroles exactes étaient « I hope the Russians love their children too » J’espère que les Russes aiment aussi leurs enfants. C’était en pleine guerre froide et Sting faisait surement référence à la menace d’une guerre nucléaire. La menace n’est pas retombé et madame Bonnel a raison de voir avec l’Ukraine une passerelle ou une continuité entre la guerre froide et celle actuelle. La différence c’est les morts. Vivement un retour aux négociations, sinon elle a tout juste en disant qu’on est dans une merde folle.
a.l.b., une vraie journaliste