Une étude récente révèle que les « vaccins » COVID-19 à base d’ARN messager (ARNm) ne génèrent pas des cellules productrices d’anticorps durables, contrairement aux vaccins contre le tétanos ou la grippe. Cette recherche, menée par des scientifiques de l’Université Emory d’Atlanta, explique pourquoi les anticorps des vaccins COVID-19 disparaissent plus vite que prévu.
Un manque de cellules plasmatiques durables
Les « vaccins » à ARNm COVID-19 poussent le corps à produire des cellules plasmatiques à courte durée de vie. Ces cellules ne produisent des anticorps que pendant un certain temps avant de mourir, d’où la perte rapide de protection. En comparaison, les vaccins contre le tétanos et la grippe stimulent la production de cellules plasmatiques à longue durée de vie, qui restent actives pour défendre l’organisme pendant des années.
Actuellement, des vaccins ARNm pour d’autres virus respiratoires, comme le virus respiratoire syncytial (VRS), sont en cours de développement. Selon les chercheurs, ces « vaccins » pourraient apporter des réponses sur la capacité de cette technologie à générer une immunité durable.
L’immunité : pas toujours à vie
L’étude souligne que, contrairement à une idée reçue, l’immunité acquise après une infection ou une vaccination n’est pas toujours permanente. Le Dr Stanley Perlman, professeur de microbiologie et d’immunologie à l’Université de l’Iowa, rappelle que certains virus, comme le VRS, continuent d’infecter les gens malgré la présence d’anticorps.
Publiée en septembre dans Nature Medicine, l’étude a suivi 19 volontaires ayant reçu des vaccins contre la grippe, le tétanos et plusieurs doses de vaccins COVID-19. L’analyse de leurs cellules immunitaires, extraites de leur moelle osseuse, a montré des cellules plasmatiques durables pour le tétanos et la grippe, mais peu ou pas pour le COVID-19.
Booster et anticorps durables : un lien limité
Certains participants ont reçu plusieurs doses de « vaccins » COVID-19 au cours de l’étude, mais cela n’a pas favorisé la formation de cellules plasmatiques durables. Dr. Joseph Varon, professeur de médecine à l’Université de Houston, a précisé que les rappels ne renforcent que temporairement les anticorps.
Pour les personnes à haut risque, il n’est pas inutile de suivre le calendrier vaccinal, même si la protection est de courte durée. Bien que les anticorps disparaissent rapidement, d’autres cellules immunitaires comme les lymphocytes T peuvent conférer une certaine protection à long terme. Pour les autres publics , pas grand intérêt. De quoi permettre de s’interroger lourdement sur les campagnes de propagande et de restrictions folles menées, en France notamment, mais plus globalement dans de nombreux pays du monde.
Infection naturelle et immunité
L’étude a également observé que certains participants, ayant probablement contracté le COVID-19 pendant la période de recherche, n’ont pas développé de cellules plasmatiques durables en réponse à l’infection. Cela corrobore d’autres recherches indiquant que le COVID-19, qu’il soit contracté naturellement ou via le « vaccins », ne génère pas d’immunité à long terme.
Les vaccins contre la grippe offrent une protection saisonnière, tandis que ceux contre le tétanos peuvent offrir une immunité de plusieurs années. Cependant, pour le COVID-19, la protection anticorps s’estompe rapidement, souvent en trois à six mois, ce qui entraîne des infections post-vaccinales.
Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pourquoi les « vaccins » COVID-19 ne fournissent pas une immunité prolongée. Il est possible que la protéine de pointe (spike) utilisée pour stimuler la réponse immunitaire ne soit pas suffisamment durable pour induire une production de cellules plasmatiques à vie.
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5 réponses à “Une étude explique pourquoi les anticorps des « vaccins » COVID-19 s’estompent rapidement”
cela sent l embrouille
Les vaccins contre la grippe offrent une protection saisonnière, tandis que ceux contre le tétanos peuvent offrir une immunité de plusieurs années.
Cela fait 60 années que je ne suis plus vacciné, ni contre la grippe, ni contre le tétanos ! Mais, c’est sûrement une erreur de la nature car je n’ai eu ni grippe, ni tétanos !
La grippe offrirait une protection saisonnière ? Quand éclosent les perce-neiges, vaccinés et non-vaccinés n’ont plus à se soucier de la grippe, bizarre …
Ceux contre le Tétanos « peuvent » tout est dans ce « peuvent »
Mais il est marqué dans le marbre et cela est une vérité intangible, les vaccins ont sauvé l’humanité de la disparition, à tel point qu’à contrario il semble logique que la disparition des dinosaures n’est pas le fait d’une météorite, mais justement parce qu’à l’époque on n’a pas trouvé d’aiguilles assez solides pour leur percer la carapace ! Tout s’éclaircit, vive la science !
en plus que cette saloperie de vaccin ne protège de rien ! il accélère les cellules défaillantes, cancer, maladie auto-immune etc. qui seraient restés dormantes sans jamais gêner une personne !! le nombre de cancer et crises cardiaques augmente de jour en jour, le pire sans épargner la jeunesse !
Je ne suis pas anti-vaccins , mais il faut arrêter de vacciner pour tout et n’importe quoi , en faisant cela on affaiblie les défenses immunitaires.
A une époque qu’en un enfants avait la rougeole, on donnait a manger aux restes des enfants de la famille avec la même cuillère quelque soit l’age, résultat tout le monde étaient malade en même temps et ensuite on était tranquille.
Maintenant on vaccine a tour de bras , résultat si une personne n’avait pas eu la rougeole dans sont enfance et oublier de ce faire vaccine, elle la chope avec des conséquence plus importante pour l’adulte que si elle l’avait eu dans sont enfance.
Pas question de me faire vacciner covid , pas confiance du tout en ce « vaccin » seul la grippe et c’est tout.
L’ARN messager n’est connu que depuis une cinquantaine d’années et son fonctionnement complexe n’est pas encore entièrement compris. A quelque chose, malheur est bon : l’épidémie de Covid-19 a permis d’en apprendre beaucoup plus, en particulier sur son instabilité. Le problème est sans doute que certains laboratoires ont voulu brûler les étapes en lançant des « vaccins » qui n’en étaient pas vraiment, peut-être pour de bonnes raisons (proposer une solution, même imparfaite), peut-être pour de mauvaises raisons (profiter de l’occasion pour se remplir les poches)… et peut-être à la fois pour de bonnes et de mauvaises raisons. Ce qui n’a fait qu’aggraver les envolées complotistes qui accompagnent classiquement les pandémies.