Les éleveurs d’ovins du Pays Nantais n’en peuvent plus et se sont regroupés dans un collectif appelé « Collectif des éleveurs pillés de Loire-Atlantique« . Ceux-ci dénoncent le vol régulier de leurs bêtes, « qui ont lieu toute l’année mais particulièrement en mars-avril ». Mars-avril : Etrange, quel évènement religieux ou autre peut-il avoir lieu durant cette période ?
Pour lutter contre ces vols, les professionnels de l’élevage ont tout essayé : rondes de nuit, drones, « voisinage vigilant », caméras, groupe Whatsapp. Malheureusement, tout cela n’empêche pas les vols. Et le collectif de rappeler chez nos confrères de l’Echo d’Ancenis que « des enquêtes auraient permis de condamner les auteurs, tous issus de la communauté rom de Nantes, « à des peines de prison avec sursis… » Or, il y a 60 bidonvilles de rroms de recensés autour de Nantes…
Aujourd’hui, le département de Loire-Atlantique est le plus touché de France par des vols d’ovins ! Pourtant, les éleveurs ont également tenté « la médiation » en collaborant avec des associations comme CFR 295 de Saint-Luce par exemple, association « accompagnant le projet de vie de familles migrantes roumaines de l’agglomération nantaise, et ayant pour objet de défendre l’accès au droit commun pour tous et de favoriser le « vivre ensemble ». Mais rien n’y a fait, malgré des tracts distribués dans les bidonvilles mentionnant qu’il « fallait respecter la loi, les éleveurs, et de n’acheter aucun animal volé sous peine de recel », les éleveurs sont toujours spoliés. Pire, ils ne peuvent même pas compter sur le soutien de la préfecture qui botte en touche.
Face à la catastrophe de l’immigration, la petite paysannerie comme le reste de la population, est abandonnée par l’Etat.
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