Vendredi 25 octobre 2024, un incendie a éclaté dans une maison de la rue du Docteur-Corson, à Guingamp, allumé délibérément par un étudiant sénégalais de 23 ans, résidant dans ce logement en colocation. Son acte, pour le moins surprenant, révèle une réalité : certains étrangers prennent conscience que leur avenir ne se trouve pas en Europe, mais bien sur le sol de leurs ancêtres.
Un incendie délibéré pour quitter la France
Après avoir mis le feu à sa propre chambre, l’étudiant a informé son propriétaire par SMS avant d’errer dans le quartier. Son geste était calculé : le jeune homme cherchait à provoquer son expulsion vers le Sénégal, espérant que cet acte criminel le ramènerait directement dans son pays d’origine. Face à l’impossibilité financière de rentrer par ses propres moyens, il a ainsi mis en place un plan pour quitter la France de manière forcée.
Si l’incendie n’a heureusement causé aucun blessé grave, plusieurs colocataires ont subi des gênes respiratoires dues à la fumée. L’un d’eux, ayant une incapacité de travail de 45 jours, a déposé plainte, tout comme le propriétaire des lieux. Ces faits, graves en eux-mêmes, ont conduit la justice à ouvrir une information judiciaire sous l’accusation de « destruction de bien par moyen dangereux », avec des conséquences juridiques sévères pour l’accusé.
Une enquête pour comprendre les motivations
Présenté devant le parquet de Saint-Brieuc, l’étudiant a été mis en examen et placé en détention provisoire en attendant une enquête plus approfondie. Ce drame à Guingamp souligne une réalité : pour certains étrangers, la promesse d’un avenir radieux en Europe est une illusion, et il arrive que ceux-ci comprennent que leur place se situe dans leur pays d’origine, auprès de leurs racines. Cet incendie volontaire est l’illustration d’un choix de vie pour cet étudiant sénégalais, qui a préféré tout risquer pour quitter la France et retourner au Sénégal. Qu’est-ce qui empêche la Justice française de lui permettre de rentrer chez lui une fois les dégâts commis réparés ?
Crédit photo : DR
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5 réponses à “Guingamp. Un étudiant sénégalais met le feu à son logement…pour pouvoir être expulsé vers le Sénégal !”
N’est-il pas étonnant que les Albanais soient le premier contingent d’étrangers expulsés de France et les Roumains le second ? Les Albanais clandestins arrêtés en France ne s’opposent presque jamais à leur expulsion. Corrélativement, à en croire la Cimade, la police arrête de préférence les Albanais pour améliorer les statistiques d’expulsions. (Et on peut imaginer que s’ils reviennent quinze jours plus tard après être allés embrasser papa-maman aux frais de la princesse, le cycle « vertueux » sera relancé !)
Il a peut-être compris que la France n’était plus la France….et que bientôt ça va peut-être chauffer…. et il a le mal du pays. Il faut lui trouver une place dans un bateau ou dans un avion mais peut-être que le Sénégal pourrait l’aider ? non ? c’est leur enfant ? non ???
OU suis je§ dans quel étagère !! on y comprend plus rien !les OQTF ! ça marche pas ! ils veulent partir !on les retiens !! plutôt qu’ils restent là à nous couter très cher, aidons les à faire certaines choses dans leur pays ! en plus il y aura de meilleurs relations entre nos pays!
Prenons les paris : dans 20 ans, il sera encore là ! Et il aura trouvé les moyens de retourner au Sénégal…….pour les vacances.( Ne doutons pas de l’ingéniosité de nos frères africains )
Nul doute que cet énergumène, nous aura enrichi !