Après le terrible meurtre de la jeune Philippine, nombre de journalistes ou de responsables politiques ont évoqué le fameux « Etat de droit ». Le plus souvent, pour justifier la mise en liberté d’un individu dangereux dans la nature. Mais que cache réellement cette expression très galvaudée ? A-t-elle encore un lien avec la primauté du droit sur l’action politique et institutionnelle ? Décryptage de l’emploi d’une expression dont le sens semble bien avoir été raflé par l’idéologie dominante.
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2 réponses à “Affaire Philippine, ce que dissimule « l’Etat de droit » – Contre-enquêtes”
Etat de droit je t’en foutrais. Les violeurs doivent être émasculés première peine, s’ils sont sous OQTF direction le pays d’origine sans tambour ne trompettes, on le décharge à l’arrivée de l’avion point barre , s’il est français direction Cayenne où on remet le bagne en vigueur l’envie de violer leur paassera
fichez la paix aux guyanais, victimes d’une immigration non controlée depuis des décennies. cayenne n’a jamais été un bagne, st laurent du maroni et aux iles du salut en face de kourou