Après des résultats décevants aux élections législatives, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a annoncé la sortie de son livre, Ce que je cherche. Reformaté sous une approche plus introspective, l’ouvrage, qui retrace son parcours, se veut une réflexion sur l’avenir du Rassemblement national (RN) et sur les défis politiques auxquels il fait face.
Une collaboration tendue avec Fayard
La publication du livre n’a pas été un long fleuve tranquille. En premier lieu, Bardella souhaitait que l’ouvrage paraisse avant les élections européennes, mais plusieurs désaccords ont retardé le projet. Lise Boëll, nouvelle directrice de Fayard, a hésité à avancer sur cette collaboration en raison de différends éditoriaux. Plusieurs éditeurs parisiens, contactés en parallèle, ont manifesté des réserves à l’idée de publier un livre signé par une figure de la droite nationale.
Finalement, c’est Fayard qui publiera l’ouvrage. La maison d’édition, marquée par des départs de plusieurs éditeurs et traversant une période de turbulences, a confié ce projet à Lise Boëll, une figure de l’édition à Paris. Connue pour avoir collaboré avec des auteurs de droite comme Philippe de Villiers et Éric Zemmour, Boëll a accepté de publier l’ouvrage malgré un climat tendu.
Une publication à fort potentiel politique
La sortie de ce livre, suscite déjà une grande attention dans le paysage politique. Bardella, qui s’interroge dans le texte sur sa position au sein de la droite nationale et l’avenir du RN, pourrait, avec cet ouvrage, attirer une partie de l’électorat indécis et se positionner dans un débat sur les valeurs de la droite. Ce type de publication entre la réflexion personnelle et l’analyse politique a souvent des retombées variées en France, où les mémoires politiques captent un lectorat curieux de connaître les coulisses des partis.
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5 réponses à “Dans un livre à paraître, Jordan Bardella se livre sur son parcours et l’avenir du Rassemblement national”
D’abord cette maisaon d’edition ne respecte pas les valeurs des droits de l’homme en ce qui concerne la liberté d’expression et met des entraves d’ordre »bidon » ,une censure gratuite heureusement aujourd’hui il y a une multitude d’autres maisons d’edition …en ce qui concerne le livre de Bardella est plus commercial car les valeurs du Front National et que Bardella devrait respecter est l’expulsion de plus de 4 millions de marocains et autant d’algeriens et d’egyptiens etau moins le double des subsahariens afin de donner un coup d’air à cette »douce France »comme chantait ,autrefois,Trainé …et puis aujourd’hui la commission européenne vient de donner son accord à ce que les pays européens peuvent et donc un droit tellement defendu par la ligne dure de Viktor Orban, de commencer à expulser sans demander l’avis des pays concernés et de ne se deroger des valeurs des droits de l’homme que les Européens cherissent et ne savent plus quoi faire que ces immigrés sont plus intéressants chez-eux et quelque soit la durée de leur sejour et il semble que Bardella n’est pas la bonne personne et la bonne place et à temps de be pas aborder ces points son livre devient de la » com » et donc plus plus argent sonnantes et trebuchantes et une faiblesse des politiques
Hoya Rachid, je n’ai pas bien compris votre plaidoyer… en faveur de qui ? Et je ne sais où placer politiquement Bardella dans votre texte. Quant à traiter la question des expulsions des Etrangers, moi je commencerais par chercher comment éviter les invasions. L’Europe, comme tout pays dans le monde a besoin de main-d’oeuvre, c’est sûr ! Mais je ne vois pas l’obligation de piocher dans les hordes de va-nus-pieds qui nous innondent, et dont personne n’a besoin. Quant à mettre en parallèle les colonisations au siècle dernier en Afrique, par rapport aux invasions actuelles, pour la grande majorité de ces pays colonisés, cela a été un immense bienfait pour eux. Ne fusse que l’apport d’une langue commune face aux divers dialectes de chaque tribu. En revanche, qui a besoin aujourd’hui d’une larve humaine qui ne cherche qu’à s’accaparer de ce que le « Blanc » possède, et que lui est incapable de se l’offrir par manque de moyens humains ? Bref, c’est un débat qui peut-être long et fastidieux mais il en resulte une vérité : Les envahisseurs modernes cherchent à s’accaparer de ce qu’ils sont incapables de produire, et qui plus est, la violence est souvent leur arme première. D’où mon rejet inconditionnel de toute invasion humaine de MON Europe.
Passer de quelques députés, de 20% à plus de 30% et présenter cela comme décevant…..je sais qu’en France depuis Waterloo nous avons le culte de la défaite, mais quand même.
@ Rachid, vous nous donnez des informations qui vont en ravir plus d’un si elles se vérifient, malheureusement c’est loin d’être la réalité c’est plutôt l’inverse qui est en train de se produire. Oui nous voulons garder notre « douce France » comme vous dites si bien. Personne ne vous demande de partir si vous respectez toutes les règles.Malheureusement de tous ces gens qui soi-disant vont être rapatriés combien les respectent,combien sont là pour profiter d’un système trop généreux, ce que je ne comprends pas pourquoi ne vont-ils pas dans des pays plus riches avec la même culture la même religion les mêmes moeurs, comme l’Arabie saoudite, le Qatar et d’autres , tout simplement parce que là-bas pas d’argent payé par le contribuable, si tu veux de l’argent tu travailles etc etc. Il y a un proverbe qui dit ,: chacun chez soi et les vaches seront bien gardées. Dommage qu’il ne soit pas plus en vigueur et que chacun développe son propre pays
Entièrement d’accord avec votre propos, M. Gaï de Ropraz. Encore que je me serais abstenu de répondre à une personne qui, de toutes façons, ne doit pas être en mesure de comprendre le bien-fondé et les subtilités de notre conception-du-monde occidentale. Les prétendus droits-de-l ’homme, effectivement lui sont chers et il a bien raison. Car ils sont une arme politique redoutable qui se retourne systématiquement contre l’autochtone sur son sol ancestral. Nous en recueillons d’amères conséquences. Tout cela pour dire, qu’en résumé, l’adage « Faites du bien à un vilain, il vous fera dans la main » est, encore de nos jours, nullement démenti.