Le week-end dernier, Nantes a de nouveau été le théâtre de violences qui semblent désormais s’inscrire dans le quotidien de la ville. Samedi, deux individus ont été blessés par balles dans le quartier sensible de la Bottière, tandis que des tirs ont retenti à Bellevue. Ces incidents font suite à une série d’événements similaires survenus la semaine précédente, laissant penser que les autorités sont dépassées par la situation.
Une escalade de la violence inquiétante
Aux alentours de 18h, dans le quartier de Bellevue, des coups de feu à blanc ont été tirés depuis un scooter, semant la panique parmi les habitants. Plus tard dans la soirée, deux hommes âgés de 27 et 28 ans ont été blessés par balles à la Bottière, l’un touché à l’abdomen, l’autre au bras. Selon des sources policières, ces victimes étaient déjà connues des services de police, suggérant un possible règlement de comptes.
Ces événements s’inscrivent dans une vague d’incidents qui secoue Nantes depuis plusieurs jours. Mercredi, le RAID est intervenu à Malakoff pour interpeller un homme retranché après avoir tiré des coups de feu. Jeudi soir, des tirs ont également été signalés dans les quartiers du Pin-Sec, de la Bottière et des Dervallières, avec des balles perdues retrouvées dans des immeubles d’habitation.
Des autorités locales impuissantes
Face à cette recrudescence de violences, la maire de Nantes et les autorités semblent impuissantes. Les politiques menées depuis trente ans dans la ville, axées sur une gestion laxiste des quartiers sensibles, mais aussi sur l’installation massive de populations venues d’ailleurs, montrent aujourd’hui leurs limites. Les habitants expriment leur inquiétude tandis que les forces de l’ordre peinent à contenir ces phénomènes.
Le syndicat Alliance Police Nationale a d’ailleurs réclamé « l’arrivée rapide de renforts d’effectifs afin de pouvoir assurer la sécurité des personnes et des biens ». Cette demande souligne la gravité de la situation et le sentiment d’abandon ressenti par les agents sur le terrain.
Ce qui autrefois aurait suscité une indignation générale semble aujourd’hui devenir banal. Les tirs en pleine rue, les interventions du RAID, les balles perdues dans les habitations : autant de faits graves qui ne provoquent plus la même réaction de la part des autorités. Cette normalisation de la violence urbaine est le résultat d’années de politiques inefficaces.
Sans un changement rapide de logiciel, Nantes sera un Marseille bis demain, en plus petit, en plus concentré, en plus violent. Ce ne sera pas faute d’avoir prévenu, et ceux qui dirigent aujourd’hui en porteront la lourde responsabilité.
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5 réponses à “Nantes : Les autorités dépassées face à la banalisation des violences urbaines et des fusillades”
Nantes aujourd’hui, drogues , vols , armes lourdes et légères, agressions en tous genres le tout teinté de remplacement d’une population autochtone par une extra-europeene que le pouvoir islamo-gauchiste en place, accueille à bras ouvert a des fins électoralistes. Nantes sera bientôt baptisée le Nantonistan .
Il faut autoriser les forces de l’ordre à se servir de leurs armes afin qu’elles puissent exercer leur mission de défense du citoyen, sinon le citoyen finira par reprendre le droit de se défendre lui-même.
Autoriser les policiers à tirer et même abattre l’agresseur pris en flag, c’est pour quand? Ils ont une arme…pour quoi faire? De la déco ?…la peine de mort a été abolie. ?
Attendez, vous n’avez encore rien vu ! « Il faudra changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus et leur très nombreuse progéniture ….ou quitter notre pays ! » « L’insécurité est partout, dans les villes, dans les campagnes, dans les transports, dans les écoles ». suivant récit love story « les corps indécents » : deux jeunes gens d’origine Russe, vivant en France, bien décidés à fuir au plus vite la France pour aller s’installer en Russie et échapper ainsi aux problèmes du vivre ensemble qui s’annonce être mortifère.
banalité qui continue , les zélites n’étant pas touchées