Il est temps de mettre un terme au mythe qui gangrène nos sociétés : celui de l’égalitarisme. Depuis des décennies, la gauche, aidée par les élites globalistes, nous vend l’idée absurde selon laquelle tous les hommes seraient égaux, que les différences biologiques, culturelles et historiques entre les individus n’existeraient pas, et que nous devrions tous aspirer à une société où règne une égalité parfaite. Cette idéologie gauchiste n’est pas seulement une illusion, elle est une machine de destruction massive qui sape les fondements mêmes de notre civilisation.
L’égalité homme-femme : un mensonge qui déstructure nos sociétés
Parmi les plus grandes aberrations de ce mythe égalitariste, figure l’idée selon laquelle hommes et femmes seraient identiques en droits, en capacités et en rôles sociaux. Ce mensonge, devenu mantra féministe, nous a menés à la déstructuration complète des rôles traditionnels, fondement de nos sociétés depuis des siècles.
Depuis la nuit des temps, l’humanité a prospéré grâce à la complémentarité des sexes. Ce n’est pas en niant la réalité biologique que nous améliorerons notre société. Les hommes et les femmes sont différents. Ils sont complémentaires. Le rôle protecteur et bâtisseur des hommes et celui de nourricière et d’éducatrice des femmes ont été les piliers sur lesquels se sont construits les plus grandes civilisations. Mais aujourd’hui, en prônant une égalité absolue et absurde, nous avons déraciné ces rôles. Résultat : désordre familial, délitement de l’autorité et effondrement des structures sociales. Cette négation de la complémentarité des sexes ne mène qu’à la confusion et à la décadence.
La vérité est simple : hommes et femmes ne sont pas égaux. Pas parce qu’une catégorie est supérieure à l’autre, mais parce qu’ils ont des rôles naturels différents qui, ensemble, garantissent l’équilibre et la prospérité de la société. Vouloir gommer ces différences est une entreprise suicidaire.
L’éducation : un nivellement par le bas au nom de l’égalité
L’égalitarisme a également frappé de plein fouet l’éducation, ce qui entraîne une tiers-mondisation généralisée de nos sociétés. Au lieu de promouvoir l’excellence, de pousser les individus vers le haut, on nivelle par le bas. Le système éducatif, autrefois orienté vers l’excellence et le mérite, a été transformé en un terrain où l’on favorise les moins bons au détriment des plus capables. Pourquoi ? Pour que tout le monde soit « égal ». Le résultat est sans appel : un effondrement du niveau général, un rejet des exigences académiques et une production de citoyens ignorants et inaptes à affronter les défis de la modernité.
Les réformes éducatives successives, dictées par une idéologie égalitariste, n’ont eu pour effet que de détruire la transmission du savoir. Ce qui était autrefois une source de fierté et d’accomplissement personnel, la réussite scolaire, est aujourd’hui dénigré sous prétexte de « lutte contre les inégalités ». Il n’y a pourtant rien de plus naturel que l’inégalité dans l’apprentissage : tous les enfants n’ont pas les mêmes aptitudes, et ce n’est pas un crime. Vouloir ignorer cette vérité conduit inexorablement à l’échec collectif.
L’immigration et l’assimilation : un autre échec de l’égalitarisme
Le mythe de l’égalitarisme va encore plus loin en tentant d’assimiler l’idée que tous les peuples seraient également aptes à s’intégrer de la même manière au sein des nations européennes. Il faut le dire sans détour : tous les peuples ne sont pas assimilables de la même manière. L’idée que l’on pourrait créer une société homogène à partir de cultures fondamentalement différentes est une chimère dangereuse.
L’Europe, bâtie sur des siècles d’histoire, de tradition et de valeurs, est confrontée à une immigration de masse qui, loin de renforcer la cohésion sociale, la fracture de plus en plus. Les faits sont là : un Africain, un Asiatique, un Européen ne partagent pas les mêmes codes culturels, les mêmes visions du monde, les mêmes comportements sociaux. Pourquoi s’acharner à vouloir fondre ces différences dans un même moule alors que les conséquences de cette folie égalitariste se font sentir chaque jour : montée de l’insécurité, communautarismes, tensions ethniques.
Là encore, le rêve égalitariste échoue à affronter la réalité. Une société forte n’est pas celle qui cherche à tout prix à niveler les différences, mais celle qui valorise ce qui la rend unique, et qui comprend que l’assimilation de certaines populations est non seulement difficile, mais parfois impossible.
L’inégalité : moteur de la réussite
En vérité, l’inégalité est non seulement naturelle, mais bénéfique. Ce sont les différences entre les individus qui ont permis l’essor de notre civilisation. L’inégalité pousse chacun à se surpasser, à atteindre l’excellence. C’est grâce à elle que nous avons produit des esprits brillants, des inventeurs, des leaders, des bâtisseurs. L’égalitarisme, à l’inverse, tue l’ambition, éteint le génie, et entraîne une homogénéisation vers la médiocrité.
Ce n’est qu’en réhabilitant la notion de mérite, de hiérarchie et de responsabilité individuelle que nous pourrons redresser notre civilisation, plongée dans un déclin accéléré par cette utopie gauchiste de l’égalitarisme.
Il est temps de mettre un terme à cette dangereuse illusion. L’égalitarisme n’est pas un idéal à atteindre, mais une idéologie destructrice qui mène nos sociétés à la ruine. Hommes et femmes ne sont pas égaux, mais complémentaires. Tous les individus ne sont pas faits pour les mêmes choses, et tous les peuples ne s’assimilent pas de la même manière. Reconnaître ces vérités, aussi impopulaires soient-elles, est la première étape vers la reconstruction de notre civilisation.
Julien Dir
Illustration : DR
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6 réponses à “Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice [L’agora]”
Les hommes ne sont PAS EGAUX à leur naissance!.. Nous pouvons essayer de diminuer les »différences » en donnant de l’argent aux pauvres, en soignant ceux qui ont des malformations, etc…Coluche disait: »Des hommes naissent beaux et riches tandis que d’autres naissent pauvres et laids! »…
Cet amalgame entre égalité et égalitarisme est bien utilisé par la gauche depuis toujours….on abaisse depuis 30 ans le niveau du peuple pour mieux le manipuler. Les » sans dents » les beaufs et les imbéciles vont rejoindre les idiots et les ignares qui ne comprennent rien aux discours extraordinaires de nos élites ! Ces derniers envoient leur progéniture dans les meilleures écoles privées ou universités étrangères hors de prix pour ne pas se mélanger à la masse ignorante qu’ils ont eux mêmes crée pour mieux la contrôler
Depuis la révolution française et sa chanson (la carmagnole ) » tous à la même hauteur, c’est ça le vrai bonheur », notre société confond l’égalité en droit, l’égalité des chances, c’est à dire l’équité qui est souhaitable et nécessaire, avec l’égalité qui n’a absolument rien d’équitable.
Idem pour l’intégration des immigrés qui a été confondue avec l’assimilation. Ce n’est pas du tout la même chose. Il faut assimiler les immigrés assimilables, mais il ne faut pas chercher à « intégrer » les immigrés car cette notion recouvre des situations très variables dans sa réalité et dans sa durée.
A la suite de Yvette, dans le commentaire de Coluche: « Tout le Monde sera « égau », mais ce ne sera pas facile…Et pour certains, noir, petit et môche, ce sera très dur ! »;
Quelle que soit sa situation « naturelle » bonne ou mauvaise, il faut évaluer l’individu à son mérite à se battre et progresser malgré tout avec courage. Dès lors, la société lui prodiguera aide et respect.
Il faut aussi en finir de tout ce qui va avec : relativisme…humanitarisme ….droit de l’hommisme …. universalisme …
Kaeling dit :
« A la suite de Yvette, dans le commentaire de Coluche: « Tout le Monde sera « égau », mais ce ne sera pas facile…Et pour certains, noir, petit et môche, ce sera très dur ! »;
Quelle que soit sa situation « naturelle » bonne ou mauvaise, il faut évaluer l’individu à son mérite à se battre et progresser malgré tout avec courage. Dès lors, la société lui prodiguera aide et respect. »
parfait ! cela pourrait faire une définition officielle . je partage totalement.