Attaquer sa femme à la machette, une pratique très peu répandue en Bretagne il faut le dire jusqu’à présent, mais la région voit ses mœurs évoluer…
Hasard de l’actualité (ou non), c’est de nouveau le quartier « prioritaire » du Blosne, à Rennes, qui est sous le feu des projecteurs. Mardi 24 septembre au matin, des policiers présents sur place afin de porter une convocation dans un immeuble ont entendu des cris dans un appartement voisin, selon Ouest-France.
Les fonctionnaires de police décident d’intervenir et entrent dans le logement : ils découvrent alors, en flagrant délit, un homme portant des coups de machette à sa femme.
L’individu âgé de 54 ans a été interpellé dans la foulée tandis que sa victime présentait plusieurs blessures sévères, au niveau des mains mais aussi au visage après avoir reçu un coup de machette sur la joue. Se trouvant dans l’appartement au moment des faits, le fils du couple a tenté d’intervenir. Une tentative qui vaudra au vingtenaire d’être légèrement blessé. La mère et le fils ont été transportés au CHU de Rennes par les secours.
🚨 RENNES (Oui je sais, encore) :
Des policiers, dans le quartier du Blosne pour une autre affaire, se retrouvent attirés par des hurlements dans l’appartement d’un immeuble. Se rendant compte d’un drame imminent, rentrent et tombent sur un individu qui attaque sa femme et son… pic.twitter.com/RMzTfW1cax— Le Jarl (@le_jarl) September 26, 2024
2 réponses à “Ensauvagement. Rennes : une femme grièvement blessée à coups de machette par son mari dans le quartier « prioritaire » du Blosne”
ben quoi ? le vivre ensemble avec des moeurs qui ont « évolués » encore que evolués n’est pas le mot que j’aurais employer
Normalement ça aurait pas du arriver ce truc là, parce que Darmanin en 2023 a mis en place le « SIA », le « Service d’Identification des Armes » (armes à feu et armes blanches) rendu obligatoire pour tous les détenteurs d’armes. Cette Loi devait assurer la sécurité en France. Pour marquer le coup, Darmanin avait fait saisir les armes d’Alain Delon dans sa propriété, au cas où elles tomberaient dans de mauvaises mains, comme des cambrioleurs par exemple. C’est bizarre que la machette ne soit pas déclarée ou amenée dans un commissariat si on veut pas la conserver.