Par bien des aspects, le Limousin pourrait faire songer à la Bretagne. Territoire resté longtemps à l’écart des problèmes des « villes », la région pouvait être sujette aux moqueries eu égard à un certain « retard » supposé vis-à-vis des grandes métropoles françaises. Autre point commun avec la péninsule bretonne, l’hégémonie de la gauche aux plans politiques et culturels depuis de nombreuses années.
Autant d’ingrédients qui ont formé, à Limoges, plus ou moins le même cocktail qu’à Brest, Rennes ou Nantes. Durant l’été 2023, la capitale du Limousin avait été le théâtre de plusieurs nuits de violences urbaines après la mort de Nahel Merzouk.
Un an plus tard, c’est cette fois le tournage d’un clip de rap (musique étroitement associée à la culture racaille) qui a dégénéré à Limoges. Vendredi 20 septembre dernier, le tournage d’un clip de rap place Denis-Dussoubs, dans le centre-ville, a tout d’abord donné lieu à un tir de mortier. Alertés, des policiers se sont rendus sur place vers 21h30, comme l’a rapporté France bleu Limousin. Mais le véhicule des protagonistes, un SUV de location, a pris la fuite, refusant d’obtempérer.
Une course-poursuite qui va se terminer dans la ZUP du Val de l’Aurence, un quartier « sensible » bien connu dans la région. Sur place, entre une trentaine et une cinquantaine de « jeunes » du quartier ont érigé des barricades. Les forces de l’ordre sont accueillies par des caillassages et des tirs de mortiers et répliquent en ayant recours au gaz lacrymogène.
Un peu plus tard, aux alentours de 23 h, les policiers de Limoges ont de nouveau été contraints d’intervenir tandis que des individus lançaient des projectiles sur les véhicules depuis un pont au-dessus de la RN141. La situation a été prise au sérieux puisque la route en question a été coupée et une déviation a été mise en place. Ce n’est qu’après 1 h du matin que le calme est revenu dans le secteur. Aux dernières informations, après l’ouverture d’une enquête, la police n’avait procédé à aucune interpellation.
Chaos et refus d’obtempérer en plein centre-ville de #Limoges cette nuit qui ont conduit à des émeutes de plusieurs heures dans un quartier sensible, avec des tirs de mortiers, allant jusqu’à bloquer la sortie ouest de la ville.
Il faut remettre la France en ordre, vite ! pic.twitter.com/2MImvxFmgs— Albin Freychet (@AlbinFreychet) September 21, 2024
En France, les tournages de clips de rap dégénérant en faits divers sont fréquents, comme nous le rappellent plusieurs exemples.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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5 réponses à “Culture racaille. À Limoges, le tournage d’un clip de rap se termine en attaque sur des policiers [Vidéo]”
on a bien fait d’acceuillir la famille pierrafeu on dirait !
La Haute-Vienne est une terre de gauche avec une large touche de franc-maçonnerie induite par les porcelainiers de Limoges et environs. Vous comprendrez ainsi plus aisément le pourquoi du comment de l’action des racailles et les effets de leur musique de dégénérés.
Les »Jeunes » de nos cités se comportent comme leurs ancêtres »Les Barbaresques » qui ne savaient que faire des razzias sur nos côtes et voler les marchandises des bateaux marchands en Méditerranée!…Le vol est dans »les gênes » des musulmans et ils s’attaquent toujours à des gens »pas armés »..il faut que nos gauchistes français apprennent à se faire respecter par ces islamo-racailes, qui sont des meutes de sauvages!..
puisque « la police tue » (ou synonymes) comme le suggèrent les LFI, ça n’est que de la légitime défense des racailles ; drole de pays
Tout à fait d’accord avec Yvette…Il faut lire les témoignages des rescapés de naufrages et des capturés européens et américains par les navires barbaresques aux XVII, XVIII, XIXè siècles pour comprendre ce qu’ils ont subis en Algérie, mais aussi en Mauritanie et au Maroc.
1er « traitement »: déjà arrivés à la cote, la moitié était dégommée par les autochtones lancés à la chasse à l’Homme.
2è « traitement »: Les rescapés de cette « thérapie » étaient parqués enchainés dans un parc fermé et le « jeu », sans doute une tradition locale, des villageois consistait à les prier de sortir de l’enceinte et de les bastonner, lapider à tour de bras par la foule en liesse.
Alors évidemment, 2 ou 3 restaient sur le carreau à chaque épisode et seuls quelques fous désespérés réussissaient à s’enfuir dans les déserts ou dans la végétation et la vgétation cotière.
Néanmoins, les « autorités » si l’on peut parler d’autorité dans ces contrées où règne l’anarchie et où voler son prochain même arabe ou berbère est un acte valorisant (!) arrivaient quand même à récupérer quelques-uns à échanger contre rançon.
C’est ce que négocia l’émissaire de la flotte britannique patrouillant au large d’Alger;
L’accueil par le Dey d’Alger avait de quoi refroidir l’ambiance: 23 têtes de « rescapés » européens plantées sur des piques décoraient l’esplanade. Les palabres s’éternisant, l’émissaire anglais menaça de bombarder Alger…Enfin, le Dey céda et les « libérés » hésitèrent longtemps à sortir de leur prison tant ils craignaient la bastonnade habituelle.
Etonnez-vous après çà que l’Amiral Français Bugeaud entama la conquète de l’Algérie et entreprit la politique de la terre brûlée en 1836 pour vaincre la révolte d’Ab del Kader.