Comme toutes les grandes, moyennes et petites villes de France, La Roche-sur-Yon est devenue une cité empoisonnée par le trafic de drogue, les dealers ne se cachant plus pour effectuer leurs trafics en plein jour et en pleine ville. Dans la préfecture vendéenne, le square Bayard, en plein centre-ville, est devenu l’épicentre de tous les trafics et de toutes les bagarres. Malgré le travail des policiers (72 interventions entre 2023 et 2024 !), des bandes de drogués, de dealers encapuchonés et de racailles pourrissent la vie des familles qui fréquentent ce parc constellé de jeux pour enfants et skate park. Est-il seulement besoin de préciser le profil de ces individus ? Est-il seulement besoin de préciser à quel point la sociologie de la ville a changé de façon spectaculaire depuis quelques années ?
Face à cette situation, le maire Horizons, Luc Bouard, a décidé, lors du dernier conseil municipal du 19 septembre dernier, d’installer des grilles pour fermer le parc notamment la nuit.
Hurlement de l’opposition de gauche qui dénonce un « maire [qui] n’écoute pas les habitants, nie les problèmes, laisse les situations s’envenimer pour finalement mettre en place des solutions extrêmes. » mais propose une politique très « en même temps » pour régler la question du deal et de la délinquance: « il faut intervenir par une politique répressive (permettre à la police municipale d’être disponible de nuit par exemple) et une politique de prévention (augmenter les effectifs de médiateurs sociaux, déployer des éducateurs de rue, faire du lien entre les acteurs des maisons de quartier, des associations, augmenter les possibilités d’hébergement d’urgence, l’accompagnement social…). »
Des « médiateurs de rue » pour convaincre les dealers d’arrêter de gagner 3000€ par jour et des « hébergements d’urgence » sans parler de l’accompagnement social » payés par le contribuable français pour accueillir toute la misère du monde en hôtel 2 étoiles, voici bien des idées de gauche !
Aujourd’hui, La Roche-sur-Yon compte un mur entre une cité et un lotissement pavillonnaire pour empêcher les incivilités et le trafic de drogue (impasse Surcouf), une future clôture de 175m de long et des portails en aluminium électrifiés (231 366€ de coût total) pour entourer le square Bayard jusqu’ici ouvert et l’entrée d’une église (l’église Saint-Louis) grillagée pour empêcher les SDF et autres mineurs non-accompagnés de venir y dormir.
Quand on ne veut pas mettre des murs autour de l’Europe, on en retrouvé érigés autour de chez soi, mais ça, la Gauche ne veut pas l’entendre…
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5 réponses à “La Roche-sur-Yon (Vendée) : des grilles autour d’un square pour faire partir les dealers”
Ce sont les « normaux » qui finissent derrière les grillages, situation normale dans une société qui a inversé les valeurs.
Même à La Roche sur Yon! au pays des « ventre à chou »! Des campagnards toujours soumis!!!
ça a commencé comme cela à Rennes. Pour faire « fuir » les dealers en plein centre ville, à République, la municipalité a voulu fermer les arcades.
Depuis le nombre de dealers s’est multiplié dans toute la ville et pratiquement toutes les nuits, des tirs se font entendre à Maurepas.
Et à chaque nouveau mort, la maire de Rennes déclare que cette fois-ci cela suffit et réclame des moyens de l’état, à l’Europe, bref, aux autres. Et pendant ce temps là, Rennes accueille de plus en plus de mineurs étrangers parce qu’on est généreux…
La plupart de ces dealers sont des musulmans qui vendent de la drogue à nos enfants!…Pour les empêcher de CONTINUER à nous nuire, il faut leur dire (à notre tour): »La valise ou le cercueil »..et bon débarras!….
» gagner 3000€ par jour » qui refuserait? surtout que la répression policière est transformée par la « justice » en rien du tout, le nouveau garde des sceaux , macroniste de gauche, est d’accord pour ne rien changer