Les parents d’élèves de l’école maternelle Trégain, située dans le quartier de Maurepas à Rennes, n’acceptent plus de laisser leurs enfants fréquenter l’établissement en raison d’une présence récurrente de rats. Vendredi matin, 20 septembre 2024, des parents, principalement des mères, ont organisé une action de protestation en bloquant l’accès à l’école. Des barrières de chantier ont été installées, ainsi qu’un antivol sur la grille d’entrée principale, afin d’empêcher toute entrée dans l’établissement.
La situation sanitaire de l’école inquiète depuis plusieurs semaines. Les parents réclament une réaction immédiate de la part des autorités municipales, estimant que la ville de Rennes n’a pas pris les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des enfants. La présence de rats, signalée dès la rentrée, n’a fait qu’empirer, avec plusieurs signalements de rongeurs aperçus dans la cour et les locaux de l’école.
L’anxiété est palpable parmi les enfants, qui redoutent de retourner à l’école, tandis que les parents s’inquiètent des risques sanitaires. Les rongeurs, porteurs potentiels de maladies, représentent une menace, d’autant plus que les jeunes élèves portent fréquemment leurs mains à la bouche. Malgré les interventions signalées par la municipalité, les rats continuent de rôder autour de l’école, ce qui alimente la colère des parents.
Un autre sujet de frustration pour les parents est l’état général de propreté dans le quartier de Maurepas. Ils estiment que l’accumulation de déchets dans les rues favorise l’invasion des rongeurs. Certains parents affirment même que le quartier semble négligé en matière de nettoyage urbain, comparé à d’autres zones de Rennes.
Face à cette mobilisation, la municipalité affirme avoir pris des mesures, comme la pose de pièges à rats et l’organisation d’un nettoyage approfondi de l’établissement. Toutefois, les parents restent sceptiques quant à l’efficacité de ces actions, réclamant des résultats concrets et des mesures plus strictes. La ville a également rappelé que la gestion des incivilités, comme le dépôt de déchets alimentaires, fait partie d’une démarche globale visant à limiter la prolifération des rats.
Ce conflit entre les parents d’élèves et la ville de Rennes montre l’importance des questions d’hygiène et de sécurité dans les établissements scolaires. Tant que le problème ne sera pas résolu, les parents de l’école Trégain semblent décidés à maintenir la pression.
Le gauchisme va-t-il nous ramener définitivement plusieurs siècles en arrière ?
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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6 réponses à “Tiers monde à Rennes : Les parents d’élèves en lutte contre l’invasion de rats à l’école Trégain”
A l adresse de popu, les veauteurs ,,outre « Dieu se rit de ceux qui se lamentent ,,Tu te fais avoir une fois je te plains ,,deux fois c est bien fait ,,trois fois pas assez ,, »Kroutchef .Popu ,ca fait combien de siecles ??Des la « »revolution « il s est fait embarquer dans les « guerres « ,,la machine a exterminer les sureffectifs ,cocus a répétition ,Bureau des pleurs fermé .
c’est généial, je me demadais comment on vivait dans les temps anciens, on va bientôt le vivre en direct !
A Rennes la délinquance a augmenté de 35% cette année dans le centre ville où les règlement de compte à la kalach et au couteau de boucher sont monnaie courante. En Plus maintenant c’est les rats.
Quel Bordel cette ville dirigée par des Gauchistes et des Écolos. Ceux qui ont voté pour cette clique d’incapables n’ont rien à dire.
pauvres bretons qui votent à gauche et qui voient le réel désastreux augmenter chaque jour
La plouc aux champs de Paris.
La ferme à Paris : Hidalgo joue à Marie-Antoinette.
Emmanuelle Ducros, 01 octobre 2024, Europe1.
Au prochain Salon de l’Agriculture peut-être que les gens de la campagne taperont vraiment du poing sur la table, rappelleront à Anne Hidalgo quelles souffrances ils doivent endurer pour nourrir les gens des villes, que jouer avec la nourriture devrait être interdit et qu’elle ferait mieux de s’occuper de la montagne de dettes qu’elle a contractées sur le dos de ses administrés.
L’ignoble caricature du triste sort qui a été réservé à Marie Antoinette affichée lors de la cérémonie d’ouverture des J.O. pourrait bien avoir des suites. Qu’elle nous explique comment on peut se réjouir à la fois que Robert Badinter soit au Panthéon et que l’on fête la décapitation de Marie-Antoinette.
La plouc aux champs des villes. (suite)
36 hectares pour de pareils résultats. A la campagne aucune exploitation agricole n’y survivrait, elle serait aussitôt déclarée en faillite.
Avec ces gens, pour les protéines animales, les Parisiens trouveront sur les étals du rat, de la viande de brousse et peut-être du poisson qui a nagé en eaux claires puisque la Seine est maintenant dépolluée.
(coût de la dépollution = 1 400 000 000 euros).
Bon appétit à eux.