L’affaire Mohamed Amra n’est toujours pas bouclé, 4 mois après les faits. Cet événement tragique s’est déroulé le 14 mai 2024, lorsqu’une attaque violente a eu lieu dans l’Eure, coûtant la vie à deux agents pénitentiaires et en blessant grièvement trois autres. Mohamed Amra, un détenu dangereux, est parvenu à s’évader dans des circonstances encore floues, provoquant une mobilisation nationale pour tenter de le retrouver.
Mohamed Amra, connu pour son implication dans plusieurs affaires criminelles, purgeait une longue peine lorsqu’il a orchestré cette évasion spectaculaire. L’attaque qui a permis sa fuite est rapidement devenue un symbole de l’insécurité régnant dans certaines prisons françaises. Les détails de l’événement demeurent partiellement couverts par l’enquête en cours, mais il est certain que cette évasion a été soigneusement préparée.
Les autorités ont immédiatement déclenché une chasse à l’homme pour retrouver Mohamed Amra. De nombreuses opérations de police ont été menées, notamment dans des zones considérées comme des refuges potentiels pour le fugitif. L’affaire continue de faire les gros titres, avec des interrogations sur l’efficacité du système carcéral français et la sécurité des établissements.
TF1 et LCI font le point sur la traque du fugitif et de ses complices, en dévoilant des éléments inédits de l’enquête.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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4 réponses à “Mohamed Amra, les secrets d’une traque, 4 mois après”
Il
est simplement reparti au bled comme le Diallo Abou le tueur de grenoble
Cette affaire démontre l’incompétence des différents ministre de la justice a faire mettre en place des systèmes de brouillages électroniques empêchant l’utilisation de drone autour des lieu de retentions.
De ce faite les détenues n’auraient plus aucunes possibilité de liaison avec l’extérieur ; reste le problème des visiteurs qui ne peux être fouillé totalement et de la transmission de message par voie oral par les visiteurs aux « amis » rester dehors.
De même le manque de communication entre les services pénitentiaires , la police , la gendarmerie au moment des transferts n’est pas normal , avec de tel détenue c’est le juge qui aurait du ce déplacer avec sa greffière pour l’interroger.
Ce salopard tueur de policiers est parti se planquer hors d’Europe. Il faut le chercher dans des pays comme l’Iran ou des pays arabes pro-iraniens. Il a sans doute rejoint le Hamas ou le Hezbollah pour jouer à la kalachnikov.
Ce petit mossieu est un entrepreneur. Il ne va pas risquer sa vie ou ses intérêts ! Il gère plutôt sa petite entreprise depuis Dubaï ou Abu Dhabi