Depuis quelques jours, la France découvre, avec le livre de François Ruffin, ce que tout le monde savait déjà : la Gauche, et particulièrement LFI, a abandonné la classe ouvrière blanche pour les « quartchiers » et les LGBT.
LFI a donc axé tout son amour électoral sur les immigrés. Et la Droite de se rouler par terre d’indignation.
Mais qu’en est-il de ces sociétés, compagnies, banques, investisseurs et autres qui misent de faon évidente sur une « nouvelle clientèle » ? La publicité ayant pour but de mettre en avant le profil des clients qu’on souhaite conquérir, il apparaît évident qu’un certain capitalisme ne veut plus de l’argent des Blancs. Tête de pont de cette tendance : Le CMB (Crédit Mutuel de BRETAGNE) qui avait la réputation d’être « la banque des campagnes bretonnes ». Ce n’est donc visiblement plus le cas au regard des publicité qu’elle diffuse abondamment ou alors, elle est désormais la banque des « nouvelles campagnes bretonnes ». Eh bien, si l’argent des Blancs est devenu « uncool », que les Blancs changent de banque…
Et que dire de toutes ces marques de fringues bon marché qui ont, de toute évidence, trouvé une « nouvelle clientèle, telle Jules
La Halles aux Vêtements :
ou des produits de grandes consommations comme les couches Pampers :
Et la liste ne s’arrête pas là puisque le wokisme a pénétré la publicité et la « communication d’entreprise » a grande échelle depuis au moins 10 ans.
Mais le message est bien passé, c’est d’ailleurs la fonction de la publicité : l’argent des Blancs n’intéresse plus ces marques ou, seulement, à la marge. Eh bien que les Blancs aillent voir ailleurs ou même s’organisent, à travers des marques identitaires, pour ne plus souiller les comptes des marques « inclusives » avec leur sale argent blanc.
Le clientélisme de LFI, mélange de calcul politique cynique et de fascination pour la figure de l’immigré de quartchiers, n’est que la partie gueulardante de l’iceberg. C’est un système global qui s’est mis en place, système autant politique, médiatique qu’économique. En résumé, on pourrait même dire que LFI est le bras politique du CMB et de Pampers qui en sont les débouchés économiques naturels.
Face à cela, il est grand temps que les Blancs, les Français et les Bretons de souche s’organisent autant politiquement qu’économiquement et médiatiquement. Au niveau politique, le RN et Reconquête sont les voix naturelles de ces Blancs (en Bretagne, il est cependant misérable qu’aucune formation politique nationaliste n’occupe le créneau); au niveau médiatique, la réinfosphère et ses têtes de pont (Breizh Info, FdeSouche, Boulevard Voltaire, …) et l’empire Bolloré (CNews, le JDD, …) auxquels s’ajoutent quelques indépendants genre L’Incorrect constituent désormais un contre-narratif tout à fait convaincant et conquérant. Mais qu’en est-il du monde économique ? Nous avons parlé plus haut de la marque de vêtements APER, celle-ci se partage aujourd’hui un marché de niche avec d’autres marques. Marché réduit aujourd’hui mais qu’en sera-t-il demain face à cette radicalisation désormais affirmée du wokisme politico-économique ?
C’est à nous, consommateurs, de faire grandir ces marques et d’en susciter d’autres afin de mettre en place un contre-pouvoir économique au wokisme et au Grand Remplacement. En 2024, même l’argent est révolutionnaire !
Mathurin Le Breton
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Crédit photo : publicités Jules, CMB, Pampers, La Halles aux Vêtements
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3 réponses à “Et si le Crédit Mutuel de Bretagne et Pampers étaient le bras économique de LFI ? [L’Agora]”
Il est grand temps que je quitte le CMB. Je repousse toujours le moment par fainéantise. Il va falloir que je m’y mette.
une solution gratuite: le boycott de ces banques
Banques, grandes marques, assurances, supermarchés ont bien compris qu’il fallait de la diversité dans leur pubs avec familles mixtes, personnages LGBT, des gens moches, des obèses, des handicapés pour que personne ne se sente discriminé. Ce ne sont pas des bons sentiments, c’est juste du marketing pour cibler les nouveaux acheteurs de façon la plus large possible ! Même Dior a changé sa blonde superbe au profit d’une autre beaucoup plus typée. Les nouvelles populations sont en train de changer le monde d’avant et malgré quelques résistances la loi du nombre est implacable….