Une affaire complexe s’est déroulée au Royaume-Uni, où un couple homosexuel a cherché à empêcher une mère porteuse de maintenir des contacts avec son fils biologique, né par gestation pour autrui (GPA). Ce dossier, porté devant le tribunal des affaires familiales, a suscité beaucoup d’attention médiatique. Selon The Telegraph, les deux hommes avaient rompu tout contact avec la mère, malgré un accord initial qui lui permettait de voir l’enfant toutes les six semaines.
Un conflit judiciaire autour des droits parentaux
L’affaire a débuté lorsque le couple a intenté une action en justice pour supprimer le droit légal de la mère de voir son fils, conçu avec son ovule. À une occasion, lorsque la mère, désignée sous le pseudonyme “G” dans les documents judiciaires, s’est présentée chez eux pour une visite prévue, les hommes ont menacé d’appeler la police. Cependant, le tribunal, représenté par la juge Mme Theis, a statué en faveur de la mère biologique, confirmant son droit de voir son fils dans ce qu’elle a qualifié de “décision historique”.
L’enfant, appelé “Z” dans la procédure, est né en septembre 2020. Le couple homosexuel, qui a été nommé “X” et “Y”, avait reçu la garde de l’enfant sept heures après sa naissance et la mère avait accepté une ordonnance parentale leur confiant la responsabilité principale. Cependant, les relations se sont détériorées au fil du temps, et le couple a affirmé que la mère créait une “relation déstabilisante” avec l’enfant, alléguant que cela provoquait des troubles émotionnels chez le jeune garçon.
Tentative d’effacer la mère biologique
En février 2022, juste avant une visite programmée, le couple a déposé une demande pour révoquer l’accord juridique permettant à la mère de voir son fils. La situation a dégénéré lorsque l’un des hommes est devenu violent, menaçant d’appeler la police lorsque la mère est arrivée pour la visite convenue. Un enregistrement de cette altercation, jugé “horrible” par la cour, a été utilisé comme preuve lors du procès.
Les deux hommes ont ensuite tenté d’adopter l’enfant en tant que beaux-parents, dans le but de supprimer tout lien juridique entre la mère biologique et son fils, ce que le tribunal a rejeté. Un psychologue pour enfants a témoigné que le couple tentait “d’effacer la mère” de la vie de l’enfant, une action qui, selon la juge, pourrait causer des dommages émotionnels à long terme à “Z”.
Mme Theis a finalement décidé que l’enfant devait continuer à vivre avec le couple, mais que la mère devait maintenir des contacts réguliers avec son fils. Bien que l’enfant semble s’épanouir avec ses pères, la juge a averti que d’autres batailles judiciaires risquaient de nuire à son bien-être. Elle a encouragé toutes les parties à rechercher un soutien thérapeutique pour rétablir une relation saine et équilibrée entre la mère biologique et le couple parental.
Cette affaire illustre tout le scandale autour de la gestation pour autrui, une pratique soutenue à la fois par les gauchistes, comme par ceux qui comptent bien s’enrichir sur le ventre des femmes. Le juge a insisté sur l’importance de mettre l’enfant au centre des préoccupations, afin de garantir son épanouissement à long terme.
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Une réponse à “GPA au Royaume-Uni. Un couple d’homosexuels a tenté d’empêcher la mère porteuse de voir son fils biologique”
Soyons clair et allons jusqu’au bout des choses. Lorsqu’une personne reçoit de l’argent en contrepartie d’un travail ou de la réalisation d’une commande, quand c’est terminé, elle la livre. Par exemple, il ne viendrait pas à l’idée d’une couturière qui a confectionné un tailleur ou une robe, de demander à sa cliente de porter le vêtement de temps en temps. Dans ce cas qui nous intéresse tout n’est que problème de fric ( et, toujours hélas au détriment de la mère porteuse mais par pour ceux qui organisent ce trafic )
Au lieu de se perdre en Conjecture, la première chose à faire est d’INTERDIRE cette pratique de mère porteuse.