Ce reportage de ’I-Média” sur TV Libertés enquête sur l’ARCOM, l’autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique en France, accusée de censure et de propagande par les auteurs. Le reportage examine les méthodes et les objectifs de l’ARCOM, l’influence du pouvoir politique sur l’organisme et ses liens avec le progressisme, et analyse ses décisions et ses omissions, mettant en évidence un double jeu et un parti pris idéologique.
On y apprend que l’ARCOM, accusée de censure et de propagande, aurait supprimé C8, la première chaîne de la TNT en terme d’audience, pour la remplacer par des chaînes plus alignées sur le politiquement correct. Mais aussi que m’ARCOM est composée de neuf membres nommés par le pouvoir en place, ce qui soulève des questions sur son indépendance et sa légitimité démocratique. Le président de l’ARCOM perçoit un salaire élevé, financé par l’impôt des Français, et l’organisme est dirigé par des technocrates avec des affiliations politiques progressistes.
L’ARCOM utilise des méthodes graduelles pour sanctionner les médias jugés non conformes, allant de l’avertissement à l’amende, et peut intervenir de manière indirecte en attribuant ou en retirant des fréquences. Le reportage met en évidence un double jeu et un parti pris idéologique de l’ARCOM, avec des décisions discriminatoires et des omissions concernant les médias du service public, jugés plus conformes à la pensée dominante.
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8 réponses à “L’ARCOM : censure et propagande – Le Nouvel I-Média”
Tout comme son premier parti politique ‘En Marche’ était basé sur ses initiales, l’ARCOM est, à une lettre près, l’anagramme de son nom : Macron, le pire tyran que la France ait connu depuis la restauration.
L’arcom le voyou de la démocratie aux ordres du président autoproclamé président à vie
Très intéressante émission ; à ce titre, une manifestation devant son siège sera peut-être proposée par « les Patriotes » à Paris pour protester contre la menace de remise en cause de nos libertés d’expression, la liberté de la presse en faisant partie.
À part pour les miros ou les neuneus, l’ARCOM est un outil de dictature pour réprimer la liberté d’opinion et ramener les mal pensants dans le droit chemin du politiquement correct.
L’ARCOM ne garantit pas les libertés, elle les piétine, c’est une « Autorité de Répression » au service de la dictature d’Etat.
On censure le groupe Bolloré mais on ferme les yeux sur France Inter qui débite sa propagande gauchiste 24h/24, voilà l’ARCOM.
Il faudrait rapidement couper le cordon ombilical qui unit l’ARCOM au pouvoir. Pour cela, ne PAS compter sur la droite « républicaine » timorée en permanence à l’idée de déplaire à la gauche.
Il faut revenir à l’ARCEP qui se contentait de gérer le cadre réglementaires des télécoms en France, tout en restant agnostique sur les opinions des uns et des autres.
Une manifestation devant le siège de l’A.R.C.O.M pour protester contre cette interdiction serait effectivement une bonne idée.
Petit à petit l’étau se resserre contre les citoyens dont, hélas une proportion non négligeable ne se rend compte des manoeuvres du pouvoir ou s’en fout totalement des libertés qui s’amenuisent chaque jour un peu plus. En outre, sans leur jeter la pierre, certains élus locaux, notamment dans les communes éloignées de la gent parisienne, se laissent bercer par les belles paroles distillées par les relais du pouvoir. Qu’ils pensent à leurs descendants ?