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Troubles dans le Diocèse de Quimper. Une lettre ouverte d’un fidèle à Monseigneur Dognin

Nous vous proposons de découvrir la lettre ouverte adressée à un fidèle catholique à Monseigneur Dognin, évêque de Quimper et Léon, au sujet des troubles qui tourmentent le diocèse actuellement.

Éminence,

C’est sans grande surprise que je lis votre dernière lettre du 10 août, réitérant les mêmes arguments depuis plusieurs mois sur la situation délicate de la Fraternité Sacerdotale Saint Pierre (FSSP) en Finistère. Le problème, vous vous en doutez bien, n’est pas l’amertume ni la brutalité que nous laisse votre décision murit en à peine six mois, mais bien les raisons de cette décision injuste.

Votre décision de faire venir la Fraternité Sacerdotale Saint Pierre (FSSP) il y a 8 ans à Quimper et Saint-Paul-de-Léon vous honore et a porté beaucoup de fruit auprès des fidèles. En ce sens, vous avez accompli à merveille votre devoir en nous assurant des prêtres qui nous donnent les sacrements, et font grandir en nous la foi et notre communion au Christ. Elle a en effet répondu aux attentes de bon nombre de fidèles, assoiffés de la forme extraordinaire du rite romain, comme nourriture qui rassasie leur âme. De ce fait, lorsque les prêtres sont arrivés, seuls les messes du dimanche étaient célébrées. C’est, le plus souvent, à la demande des paroissiens, toujours plus désireux de tisser ce lien d’intimité avec le Christ, que les messes en semaine, les adorations ainsi que les confessions ont été rajoutées. C’est également dans cette soif de mieux connaître et aimer le Christ qu’ont été rajoutés les cours de catéchisme pour enfant, étudiant, jeune professionnel et même adulte.

Vous pouvez donc comprendre que nous, paroissiens, avons naturellement choisi les abbés, formés et disponibles, comme base solide, comme rocher, sur lequel nous nous sommes appuyés pour faire grandir notre lien intime au Christ. Il faut bien avouer que nous avons trouvé en eux des intermédiaires solides et exemplaires, qui ont su porter nos âmes à mieux aimer et servir le Christ. Nous n’en mesurons pas encore tous les fruits, tant ils ont été en abondance. J’en profite pour les remercier chaleureusement pour leurs huit années de services, pour nous avoir guidés dans une connaissance plus approfondie de la vérité, pour avoir fait fructifier notre communion au Christ. Nous leur assurons nos prières et tout notre soutien dans cette épreuve.

Cependant, mon Éminence, nous ne pouvons que dénoncer votre décision – contraire à votre intention originelle – consistant à nous retirer les prêtres qui réalisaient tant de bon travail pour transmettre et affermir notre foi. Cette décision ne peut qu’aboutir à freiner la dynamique vertueuse – puisqu’elle nous sanctifiait – liée aux paroisses qui leur étaient confiées.

Nous ne pouvons également que contester cet argument qui consiste à nous reprocher un manque de « communion diocésaine », pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, comme vous le faites remarquer dans votre lettre, les tensions dû à ce manque de « communion » n’ont pas été observés par les paroissiens, ni de Saint Matthieu, ni – nous semble-t-il, et vous semblez le confirmer – des autres paroisses du diocèse. De ce fait, les tensions semblent venir unilatéralement d’une partie du « clergé » et des « fidèles engagés dans la pastorale ».

Si nous définissons le terme « communion » comme le fait pour une communauté de se rassembler autour d’un certain bien commun, je crois comprendre que « communion diocésaine » désigne le fait pour le clergé et l’ensemble des fidèles du diocèse de se retrouver (ou être capable de le faire) autour du bien le plus profond qu’il soit : Dieu. Ce lien de communion doit alors être le lieu de la réconciliation, de l’écoute et de l’accueil des autres, dans l’exercice d’une vraie charité concrète qui s’ancre dans le Christ.

Si telle est bien votre vision de la « communion diocésaine », il semble que rompre le lien entre le diocèse et la FSSP pour « endiguer les tensions » (unilatérales), ne fera qu’aggraver la situation. Cette décision ne ferait qu’appuyer et satisfaire la volonté d’un nombre restreint de personnes hostiles – pour des raisons qui nous sont inconnues – aux activités menées par les abbés de la FSSP. Il eut été préférable de nommer le problème plus tôt, explicitement, et appeler les personnes méfiantes – peut-être hostiles – à faire preuve de force pour proposer un dialogue avec les abbés de la FSSP – puisqu’ils semblent n’avoir pas anticipé ni vue les problèmes que vous dénoncez certainement avec justesse.

De plus, si nous ne pouvons que regretter l’existence de tensions, la communion diocésaine ne doit pas être recherché comme absolu, comme raison d’éviter les tensions. Comme on dit : on ne trouve pas la paix en évitant la guerre. Autrement dit, dans le cas des tensions que vous dénoncez, on ne trouvera pas la paix en évitant le dialogue entre les différentes parties. À long terme, le risque est que votre réaction ne fasse qu’appuyer ces tensions, et que ces dernières s’ancrent davantage encore dans la vie du diocèse – chargé d’un passé déjà lourd et difficile. En ce sens, votre décision est regrettable.

De ce fait, il ne me semble pas ajusté d’utiliser la « communion diocésaine » comme raison de l’éviction de la FSSP des paroisses qui leur étaient confiées. Si la communion chrétienne consiste à s’unir dans la foi commune dans le Christ, alors il est très maladroit de nous retirer les prêtres qui savaient si bien nous faire communier à ce bien absolu à travers les sacrements et leurs enseignements.

Ainsi, je me permets de distinguer deux formes de communion distinctes : la communion à l’Église, la plus importante, qui nous unie dans une même foi et fait de nous des catholiques ; la communion diocésaine, que l’on peut entendre comme le lieu d’exercice des vertus chrétiennes au sein du diocèse dans le but de porter et de promouvoir la communion à l’Église. Dès lors, la communion diocésaine est hautement souhaitable, nous devons évidemment la rechercher. Je vous assure en ce sens que les fidèles attachés aux activités de la FSSP participeront à la concorde et la paix dans le diocèse. Cependant, il semble que la communion diocésaine perd sa légitimité lorsqu’elle devient contraire à notre pleine communion à l’Église, que nous savons nécessaire à notre salut.

Or c’est précisément le problème, puisque nous craignons qu’avec l’éviction de la FSSP, les prêtres du diocèse – déjà surchargé – ne puissent nous apporter les sacrements avec autant de facilité et d’entrain (par exemple pour les personnes âgées ou en difficultés que les abbés arrivaient à visiter régulièrement), ni qu’ils puissent offrir autant de disponibilité pour nous éclairer dans nos chemins de foi, ni nous apporter les enseignements qui nous font grandir dans notre lien intime au Christ, selon la forme qui nous nourrit le plus. De ce fait, votre réaction pour préserver la communion diocésaine nous semble maladroite, disproportionné, et même, en un certain sens, contraire à notre pleine communion avec l’Église.

En ce sens, et vous l’avez d’ailleurs reconnue, votre annonce a été un choc et est une douleur profonde, amenant certaines personnes à se demande pourquoi l’Église nous accueille si mal : pourquoi notre attachement à l’Église, à sa foi – dont le dépôt sont la Bible et la tradition –, et au sacrement est-il source de tant de problème ? Pourquoi les messages d’écoute et d’accueil que nous entendons tant dans vos paroisses ne sont-ils pas mis en œuvre à notre égard ? Devons-nous avoir honte de rechercher notre communion en Christ ? Voilà des questions que certains pourraient se poser… Voilà également une source de trouble qui pourrait pousser certains fidèles à se tourner vers la Fraternité Saint Pie X, aggravant ainsi le manque de communion à l’Église – nous espérons que personne n’en arrivera là, nous vous confions à vos prières.

Pour terminer, j’aimerais préciser que les différentes activités montées à Saint Matthieu n’étaient absolument pas concurrentes des activités du reste du diocèse, mais seulement complémentaire. Il est évident que si les paroissiens de Saint Matthieu et Sainte Sève avaient trouvé la nourriture dont ils avaient besoin au sein des activités déjà existantes dans le diocèse, nous nous en serions contentés, et aurions probablement apporté notre pierre à l’édifice. Il se trouve que, comme vous le faites remarquer, le diocèse doit faire face à différente « variété de sensibilités », ce qui est également vrai pour les enseignements. Les activités organisées par la FSSP suivaient donc une pédagogie traditionnelle, et a su trouver son public. Il est évident que si d’autres curés ou fidèles engagés dans la pastorale avaient voulu participer à l’organisation de ces activités suivant cette pédagogie, ils auraient eu toute leur place. De ce fait, ces activités n’étaient pas concurrentes, mais bien complémentaires, et nous nous sommes toujours sentis très libre de participer aux activités du diocèse, qu’elles soient organisées par les abbés de la FSSP ou par les autres paroisses. De même, nous pensons et espérons que les fidèles des autres paroisses se sont toujours sentis très libre de participer aux activités proposées pas la FSSP. En ce sens, il nous semble que les paroisses tenues par la Fraternité Saint Pierre ont toujours essayé, du mieux que possible, d’entretenir la vie diocésaine autour de la foi catholique qui nous unit.

J’aimerais ajouter qu’il est absurde de nous demander de participer aux sacrements du rite romain dans sa forme ordinaire dans le but de montrer un « signe de reconnaissance de la validité des sacrements ». Ce serait comme imposer à une personne de manger une glace à la fraise pour lui forcer de reconnaître qu’il s’agit bien d’une glace… Alors même que ce parfum ne correspond pas à la sensibilité de son palet. Si certaines personnes ont des doutes sur ce sujet, il serait nettement plus constructif de proposer des formations solides sur ces questions plutôt que de les forcer à participer à une forme qui ne leur parle pas, sapant ainsi leur liberté – l’un des plus grands bien que Dieu ait donné à l’homme. C’est une simple question de bon sens.

Pour conclure, nous espérons que vous trouverez des solutions plus solides pour allier communion à l’Église et communion diocésaine, pour proposer un cadre cohérent et porteur pour tous les fidèles dans les sacrements dispensés et les enseignements proposés. Nous espérons et prions vivement pour que vous trouviez des solutions solides pour ramener la concorde et la paix dans le diocèse, tout en renforçant la foi des fidèles dans le Christ.

Nous espérons également avoir des raisons plus convaincantes de vos décisions, pour vous aider à les mettre en œuvre et à atteindre les finalités que vous visez, sans jamais nous détourner du bien premier qu’est notre communion intime au Christ. Vous pouvez comprendre qu’en l’état actuel des choses, il est difficile pour nous de trouver la paix entre nos dispositions intérieures et extérieures pour l’accueil des changements imminents. Nous vous assurons cependant que nous refléterons autant que possible l’accueil, la bienveillance, la compréhension et la compassion que nous apporterons les prêtres remplaçants.

En ce temps de montée vers l’Assomption, nous vous confions à la Très Sainte Vierge Marie ainsi que tout le diocèse dont vous avez la charge. Qu’elle vous guide et nous aide à défaire les nœuds présents au sein du diocèse, et qu’elle vous aide à rapporter la paix afin que prospère la foi, l’espérance et la charité. Nous prions tout particulièrement pour que vous ayez la force d’apporter les solutions justes et bonnes afin de garantir à tous les fidèles du diocèse les sacrements et les enseignements dans le but de transmettre et de faire grandir la foi, dans la paix et la vérité.

En union de prière.

Un paroissien.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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14 réponses à “Troubles dans le Diocèse de Quimper. Une lettre ouverte d’un fidèle à Monseigneur Dognin”

  1. Durandal dit :

    Bonjour,

    Personnellement je ne participe plus trop aux célébrations Paul VI, non parce qu’elles me déplairaient profondément, mais à cause des personnes qui y assistent et qui ne vivent pas l’Evangile. Sous des atours tolérants, ces personnes sont très excluantes. Plus que de ne pas supporter les rites traditionnels, elles ne supportent pas la tradition chez une personne. Elles se méfient par exemple des personnes qui ne veulent communier qu’à la bouche.

    Sur ce point, l’auteur de cette lettre est d’ailleurs très maladroit, même s’il s’exprime avec mesure. Cette maladresse couplée à un manque de mesure d’autres paroissiens, vindicatifs, dans l’émotionnel, incapables d’un simple geste de fraternité envers leurs frères, hérissent le poil des Evêques, parfois de bonne volonté. Car ces tradis, pas plus que les gauchistes qui pourrissent les diocèses, ne veulent s’interroger sur leurs erreurs, et leurs manquements. Et tous en appellent à la vierge Marie pour je ne sais quelle raison d’ailleurs, eux, qui sont incapables de se parler. Tous feraient mieux de sortir des jupes de Marie et d’aller sur la croix de leurs propres manquements. Nous commencerions alors à avancer un peu.

    Cdt.

    M.D

  2. Bohanne dit :

    Merci d’avoir relayé cette admirable lettre, ce cri du coeur et de la raison.

  3. A.Q. dit :

    Hélas! que de fautes de français et de grammaire dans ce texte conciliant et juste sur le fond!… Et que de longueurs et de redites inutiles!… ce qui nuit, encore une fois: hélas!… à la crédibilité du propos!

  4. Philippe Marie dit :

    N’avez vous pas honte de parler ainsi de la dévotion à la sainte Mère de Dieu ?
    « Tout ce qui va à la Mère, arrive au Fils », c’est vrai de nos prières , et je crains que ce le soit aussi de vos blasphèmes…
    En méprisant Marie, vous méprisez Jésus qui l’a placée au pied de sa Croix.
    Je n’aimerais pas être à votre place.

  5. Roland Greuzat dit :

    Il est évident que cette lettre comporte un certain nombre de points très pertinents notamment sur la dichotomie entre communion à l’église et communion diocésaine. Mais le problème n’est pas là, Mgr Dognin semble être entrainé vers l’irréversibiité de sa décision, très certainement par la camarilla qui l’entoure.
    La communication épiscopale est à cet effet significative, répétitive, (troisième ou quatrième lettre aux fidèles, on ne compte plus), logorrhéique et surtout faute d’être un dialogue ouvert, c’est un monologue complètement fermé, hermétique à toute contre proposition, s’appuyant tantôt sur le pontificum summorum de Benoit XVI avec, oserais-je, une certaine forme de perversité, pour en revenir bien vite aux dispositions les plus radicales de traditionis custodes.
    Loin d’appeler notre estimable évêque à faire machine arrière dans le cadre d’un dialogue non pas retrouvé, puisqu’il n’y en a jamais eu, mais simplement établi, l’auteur se laisse aller à la soumission et alors c’est nous qui devrions nous rendre à Canossa, « pieds nus,en chemise,la hart au col ».
    Je confesse volontiers un certain penchant pour la rébellion, pas suffisant toutefois pour aller vers la FSSPX, même si cela semble être envisagé par nombre de nos amis plus l »échéance fatale approche. Tout en étant persuadé que la solution que Mgr Dognin, dans sa paternelle bonté, nous impose, sera, à terme plus ou moins court, vouée à l’échec pour mieux nous faire revenir dans l’orbe de nos paroisses, il conviendrait de continuer à assurer une permanence de la pression pour qu’il revienne à résipiscence.
    Les perspectives ne sont guère joyeuses, aussi, sommes nous redevables à Breizh Info, de relayer nos efforts pour tenter de revenir au statu quo ante.

  6. Castel dit :

    Le fond de cette lettre est plutôt bien argumenté. Et on en ressent une envie réelle de dialogue afin de comprendre les vraies raisons ayant poussé Mgr Dognin à de telles décisions, le tout dans un but de communion.
    Dommage que sur la forme, tout ceci soit truffé de fautes d’orthographe,voire de syntaxe.
    Le paroissien en question qui utilise le « nous » dans sa lettre, n’a-t-il donc trouvé personne pour la relire, et de facto, la corriger ?

  7. Gérard PAUL dit :

    Etrange formulation que celle-ci : « les personnes qui y assistent et (qui) ne vivent pas l’Evangile ». S’agit-il de personnes connues de tous ? De telle ou telle connue de l’auteur de la lettre ? En quoi cette ou ces personnes ne vivent-elles pas l’Evangile ? QUI donc a t-IL le pouvoir de sonder les reins et les coeurs ? Est-il un humain sur terre qui ait le pouvoir d’affirmer vivre pleinement l’Evangile ? Et, au fait, en quoi l’assistance – la participation – à telle ou telle célébration dans tel ou tel rite, l’accomplissement de tel ou tel geste liturgique, seraient-ils de nature à fortifier la vie évangélique de celle/celui qui les accomplit.

  8. hugues dit :

    l’article et le commentaire sont solides

  9. Raymond NEVEU dit :

    Belle réponse à n’en pas douter rédigée par un profane bien instruit et non par un membre du clergé de St Pierre ainsi que nous en sommes tous convaincus. Ce qui a fait réagir l’épicier Dognin c’est sans doute le nombre de fidèles de la FSSP et l’affreuse raréfaction d’épices dans les corbeilles à pain des églises du père François, la raréfaction de la Sainte Oseille a toujours fait réagir comme ce fut le cas lors de la Covid! Il lança un vibrant appel aux dons. A St Matthieu ma très vieille soeur était assurée de trouver une messe…depuis c’est encore une course à l’échalotte le prêtre désigné n’arrivant plus à suivre les directives, parfois arrivant avec 30 mn de retard!!! Eglise de Rome en pleine déshérence! Allez Pilsuski envoie-nous une petite phrase gazeuse pour nous faire rire…

  10. gaudete dit :

    La communion sur la langue plus exactement au départ était obligatoire, celle dans la main n’était qu’une tolérance pour certaines occasions, mais certains petits malins l’ont fait devenir presque obligatoire.Le Seigneur ne devraitêtre touché que par le prêtre. Bref ceci dit il n’est pas au courant de beaucoup de choses. Est-ce qu’un prêtre qui pr^che le ciel, l’enfer et le purgatoire est-il plus ou moins en communion avec l’église que celui qui dit que tout le monde va au ciel, il n’y a plus de péchés(ça sert à quoi d’aller se confesser? et d’ailleurs avec de tels arguments le sacrement de pénitence n’a plus lieu d’être) et comme certains évêques même le disent la présence réelle n’a lieu que quand les fidèles sont présents. Moi je dis que celui qui prêche l’Evangile sans l’édulcorer est en pleine communion avec la véritable Eglise celle qu’a fondée Jésus-Christ même s’il est à la Fraternité St Pie X, par contre celui qui prêche une version édulcorée de l’Evangile, il est peut-être en communion avec l’église conciliaire mais certainement pas en communion avec la véritable Eglise de Jésus-Christ Le Concile est un concile pastoral donc on n’est pas obligé d’y adhérer contrairement à ce que distillent en permanence les évêques qui ont là leur pré carré.Quant à la Messe conciliaire elle ressemble trop au culte protestant et quand on voit ce qui s’y passe on fui s’il nous reste un minimum de Foi. Enfin qu’est-ce que c’est que ce système où ce sont certains fidèles qui dirigent l’église alors que le prêtre devrait être patron chez lui.

  11. patphil dit :

    les zélites cathos sont comme les autres, nous imposer leur loi, on est prié de la fermer et d’obéir

  12. Raymond NEVEU dit :

    Pas mal la remarque de GP…j’ai écouté un interview (KTO) genre monologue de Dognin, bof le verbiage habituel d’un fonctionnaire genre ENA sûr de lui et dominateur qui plane au-dessus de ses certitudes et des réalités du terrain. Le clergé diocésain remplacera la FSSP ok mais ils sont où les prêtres diocésains, surbookés, ne comprenant pas toujours ce qu’il leur est demandé car d’origine africaine…mais ce sont les fidèles qui pâtissent des querelles de diablotins et du diablotin en chef Dognin!

  13. Durandal dit :

    @Philippe Marie (la fonction « répondre » ne fonctionne plus pour moi, ni pour lui apparemment) :
    commentaire qui est un parfait exemple d’aveuglement marial. Vous vouez un culte à maman, pas à Marie.

  14. Rene HENRI dit :

    Je crois qu’il faut dépasser le problème de Quimper et avoir une vision plus générale. Mgr Dognin n est somme toute que l’exécuteur d une politique voulue par la conférence épiscopale qui refuse une partie de l enseignement traditionnel de la doctrine sociale de l Église : Le règne social du Christ sur les nations. Il s agit avant tout d un problème de foi et la guerre des rites n est que la face immergée de l iceberg. Le pdt de la CEF l a rappelé aux séminaristes diocésains, le problème c est la tradition catholique. Je crains dans ce contexte que la FSSP ne commence qu un vaste mouvement de repli en France. Les évêques courageux qui essaient de résister subissent une visite apostolique et peuvent se retrouver sous tutelle…L avenir de la Fssp de par son statut de soumission à l egard des évêques qui veulent la réduire ne soit bien sombre dans notre pauvre pays.

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