Alors qu’une partie du Royaume-Uni descend dans la rue pour exprimer son ras le bol de l’immigration et sa colère après le meurtre de trois jeunes filles à Southport par un enfant de l’immigration (fils d’une famille de Rwandais arrivée en 2002), il est intéressant de revenir sur un des scandales majeurs de ces dernières années, celui des Grooming Gangs, cette véritable traite des blanches qui a eu lieu avec la complicité tacite des autorités, qui ont fermé les yeux pour ne pas apparaitre comme raciste.
Le scandale des « grooming gangs » en Angleterre, et en particulier les cas de viols à Rotherham et Salford, ont révélé au grand jour des failles graves dans le traitement des affaires de crimes sexuels par les autorités britanniques. Ces crimes, qui ont touché des milliers de jeunes filles vulnérables, ont non seulement choqué l’opinion publique, mais ont aussi mis en lumière un dysfonctionnement systématique et un échec flagrant des institutions chargées de protéger ces victimes.
Le Scandale de Rotherham : Une Plaie Béante
Rotherham, une ville du Yorkshire du Sud, est devenue tristement célèbre en raison du scandale de l’exploitation sexuelle des enfants qui y a eu lieu. Entre 1997 et 2013, environ 1 400 jeunes filles, pour la plupart blanches et issues de milieux modestes, ont été systématiquement abusées sexuellement par des groupes organisés de criminels, principalement issus de la communauté pakistanaise britannique. Les faits rapportés incluent non seulement des viols, mais aussi des violences physiques, du trafic d’êtres humains et de l’intimidation.
L’ampleur des abus a été révélée au public en août 2014 à la suite de la publication du rapport Jay, un document indépendant rédigé par la professeure Alexis Jay. Ce rapport a non seulement détaillé les crimes atroces commis, mais a également mis en lumière l’échec total des autorités locales à protéger les victimes. Les forces de l’ordre, les services sociaux et même certains élus locaux ont été accusés d’avoir fermé les yeux sur les abus par crainte d’être accusés de racisme, étant donné que les auteurs étaient quasi exclusivement d’origine pakistanaise.
Telford : un scandale voisin
Le scandale de l’exploitation sexuelle des enfants de Telford est un scandale qui s’étend sur plusieurs décennies au Royaume-Uni et implique un groupe d’hommes pakistanais qui ont été reconnus coupables d’avoir eu des contacts sexuels avec des mineures locales entre 2007 et 2009 à Telford, dans le comté anglais du Shropshire. [Alors que les médias avaient fait état d’au moins 100 victimes et d’environ 200 suspects, le Sunday Mirror a rapporté en mars 2018 que jusqu’à 1 000 personnes pourraient avoir été touchées, certaines ayant même été assassinées, lors d’incidents remontant aux années 1970.
Selon le ministère de l’intérieur, en 2015, Telford avait le taux le plus élevé de cas d’exploitation de mineurs de toutes les villes du Royaume-Uni. Le rapport révèle également que de nombreux cas ont été signalés au conseil municipal, mais qu’ils ont été ignorés. [Telford compte un peu moins de 170 000 habitants.
Le rapport d’une enquête de trois ans sur le scandale a été publié en juillet 2022. Il révèle que plus de 1 000 filles ont été abusées sur une période de 40 ans, que les agences les ont blâmées pour les abus qu’elles ont subis, et non les auteurs, et que certains cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête en raison de la « nervosité liée à la race ». Le rapport contient 47 recommandations visant à améliorer la situation des organismes concernés. Lapolice de West Mercia a présenté des excuses « sans équivoque » pour les événements passés, de même que le conseil de Telford et Wrekin. Les victimes ont souvent été blâmées en prétextant qu’elles « se prostituaient volontairement » et les auteurs ont été enhardis par l’absence d’action de la police.
Rochdale : l’horreur
A la fin des années 2000 à Rochdale, dans le Grand Manchester en Angleterre, quarante-sept jeunes filles, principalement des Britanniques blanches, ont été identifiées comme victimes au cours de l’enquête policière Neuf hommes, pour la plupart Britanniques d’origine pakistanaise, ont été reconnus coupables de trafic sexuel et d’autres infractions, incluant le viol, la traite et le complot en vue d’avoir des rapports sexuels avec un mineur, le 2; dix suspects supplémentaires ont été reconnus coupables dans une autre enquête en . L’origine ethnique des coupables a conduit à un débat sur le fait que l’échec de leur inculpation était lié à la peur des autorités d’être accusées de racisme.
Au regard de ces condamnations, la police de Manchester s’est excusée de ne pas avoir su mener une enquête plus approfondie sur ces accusations de viols entre 2008 et 2010. Sara Rowbotham, la travailleuse sociale chargée d’éducation sexuelle, qui est la première à reconnaître des schémas d’abus sexuels sur mineurs dans la communauté, et à se battre inlassablement pour attirer l’attention de la police sur ces crimes, a été licenciée en 2017.
La Dissimulation des faits : un scandale d’Etat
Un aspect particulièrement troublant de ces affaires est la dissimulation systématique des faits par les autorités. À Rotherham, les responsables des services sociaux et la police ont ignoré les plaintes des victimes pendant des années. Les enquêtes menées par des journalistes indépendants et des défenseurs des droits des victimes ont révélé que de nombreux rapports de police concernant l’exploitation des enfants avaient été modifiés ou purement et simplement enterrés. Les autorités locales ont été accusées d’avoir minimisé l’ampleur du problème pour des raisons politiques et culturelles.
Le rapport Jay a souligné que la peur d’être accusé de racisme avait joué un rôle majeur dans cette dissimulation. Les responsables locaux craignaient que la dénonciation des crimes commis par des hommes d’origine pakistanaise ne provoque des tensions raciales au sein de la communauté. Cette crainte a conduit à un laxisme généralisé dans le traitement des affaires de viols et d’exploitation sexuelle.
À Rochdale, à Telford, la situation était similaire. Les autorités locales ont également été accusées de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger les jeunes filles, malgré des preuves accablantes d’abus. Comme à Rotherham, les responsables ont préféré ignorer les faits plutôt que d’affronter les réalités dérangeantes de ces crimes.
Ces affaires n’ont entrainé aucune mise en prison des responsables politiques et administratifs qui ont caché ces scandales. Certains sont membres du Parti Travailliste, qui gère aujourd’hui le pays et dont le Premier ministre affirme qu’il va mettre les manifestants anti immigration se livrant à des émeutes en prison. Pour rappel, lors des dernières élections générales, Keir Starmer, le Premier ministre travailliste actuel et son gouvernement ont été élus avec 9 millions de voix sur 66 millions d’habitants au Royaume-Uni. (28 millions de votants sur 48 millions d’inscrits). Ces gens n’ont aucune légitimité, ont baigné dans des scandales durant des années, et s’étonnent aujourd’hui qu’une partie de la population soit en colère.
Qui sème la détresse, la misère et le crime, récolte la colère…
« pourquoi la police a t’elle toléré les viols collectifs et les meurtres d’enfants pendant plus de 40 ans ? » #BritainBurning pic.twitter.com/hd2m9MukMu
— Breizh-Info (@Breizh_Info) August 6, 2024
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3 réponses à “Emeutes au Royaume-Uni. Ces autorités qui avaient fermé les yeux des années sur la traite des Blanches à Rotherham, Telford, Rochdale…”
Albert Einstein disait : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. »
Les coupables (ou complices, c’est comme vous voulez) savaient ce qui se passait mais ont tout fait pour cacher la vérité. Ne pas faire de vagues pour ne pas attiser les tensions, pour ne pas être considéré comme raciste et, on oublie de le dire, pour préserver un électorat.
Comment ne pas comprendre que les gens soient descendus dans la rue pour crier leur ras le bol.
Les 350 places de prison que le 1er ministre anglais vient d’ouvrir pour enfermer les papas, les mamans, les papy et les mamy doivent servir à enfermer toutes ces politiciens qui ont « regardé sans rien faire ».
le fait de voir le réel et le dire devient un crime en occident!
le suicide des européens par leurs élites est flagrant
De belles gueules de dégénérés avec la religion de sous-hommes qui va avec leurs tronches de racailles. On a les mêmes chez nous et ils ont la bénédiction du Patronat, du personnel politique toutes couleurs confondues.