Quiconque affiche ses positions contre les dérives du transgenrisme est immédiatement taxé de bigot réactionnaire. Mais ce n’est pas vraiment le sobriquet que l’on peut réserver au trublion transhumaniste fondateur de SpaceX qui a juré que sa prochaine femme serait un robot et a fait appel à une mère porteuse pour concevoir un de ses enfants. Si cet étrange personnage n’a jamais caché son antagonisme au wokisme, ce que l’on sait moins, ce sont les raisons d’un tel engagement. Il s’en est expliqué dans une interview avec le psychologue vedette Jordan Peterson lundi dernier.
« On m’a menti, on m’a forcé à signer les papiers pour sa transition. On m’a dit que sinon, il allait se suicider. Aujourd’hui, mon fils Xavier est mort. Il a été tué par ce virus qu’est le wokisme. J’ai fait le voeu de détruire le wokisme » : Elon Musk (@MarionMarechal) pic.twitter.com/TiIHmUthEn
— Frontières (@Frontieresmedia) July 23, 2024
Sur la chaîne conservatrice Daily Wike +, Elon Musk s’est livré à une longue confession. De l’intelligence artificielle à la philosophie, de la religion à l’aventure sur Mars, de la crise démographique au déclin de l’Occident, le génie sud-africain y expose ses opinions politiques et notamment les raisons qui l’ont poussé à quitter la gauche, devenue selon lui une police de la pensée maîtresse dans la censure et poussant aux divisions du corps social. Il a ensuite qualifié de nouveau racisme et de nouveau sexisme les « DEI » – Diversity, equality and Inclusion – l’anagramme visant à remplacer le terme de wokisme, fortement critiqué et trop politiquement connoté, mais dont il ne serait que le synonyme.
Pendant deux heures, l’invité s’attaque plusieurs fois au « virus mental du wokisme« (« woke mind virus ») qui mine la société américaine. Il y évoque son expérience personnelle, à travers le changement de sexe de son fils aîné, Xavier Musk. Ce qui lui a valu d’être immédiatement taxé de transphobe, plusieurs médias et commentateurs ayant dévoyé ses paroles, faisant croire qu’il avait dit « mon fils est mort pour moi » alors qu’il expliquait la portée symbolique du changement de nom, fréquent chez les personnes transgenres qui changent de prénom une fois leur transition réalisée. Voici ses mots exacts :
« J’ai perdu mon fils. On a appelé ça « dead-naming » pour une raison. La raison pour laquelle on appelle ça « dead-naming », c’est parce que votre fils est mort. Mon fils Xavier est mort, tué par le « virus mental du wokisme. » » (1)
« Tous les adolescents traversent une crise d’identité, cela fait partie de la croissance (…) C’est un âge où ils vont faire des choses qu’ils vont ensuite regretter.»
« J’ai été trompé. On m’a fait signer des documents, c’était avant que je comprenne ce qu’il se passait vraiment, on était en plein Covid, il y avait beaucoup de confusion. On m’a dit, « Xavier va se suicider. » »
Un chantage au suicide qui est hélas, une pratique bien rodée dans la mouvance transgenre, qui émeut les parents mais n’a aucun fondement scientifique, comme le rappelle le psychologue clinicien et professeur émérite de Harvard, Jordan Peterson.
Musk s’en prend ensuite aux inhibiteurs de puberté « ces médicaments de stérilisation », dont on lui aurait caché les véritables effets. Si ses partisans affirment qu’ils n’engendrent aucun problème de santé, qu’ils sont absolument nécessaires au bien-être des enfants et adolescents souffrant de dysphorie de genre et que leur effet est réversible, la réalité est tout autre. Car, en plus des problèmes avérés de fertilités induits, il n’est jamais fait mention de l’engrenage qu’ils génèrent.
Keira Bell, une jeune transgenre qui a entamé un parcours de détransition et a accusé les mauvais traitements auxquels elle a été soumise à la clinique Tavistock a dévoilé ce terrible cercle vicieux. Elle raconte comment ces inhibiteurs de puberté conçus pour bloquer la maturation sexuelle entraînent chez les patientes une ménopause artificielle, “avec des bouffées de chaleur, des sueurs nocturnes et un trouble mental. Il est alors encore plus difficile de réfléchir clairement à ce qu’il convient de faire”. Le mal-être physique qu’ils produisent rendant enviable le passage au stade supérieur : les jeunes patients désirent à la hâte l’ablation de leurs seins ou de leurs testicules pour ne plus se sentir mal. Un mécanisme pervers aux conséquences tragiques et irréversibles sur des enfants qui seront toute leur vie enchaînés à l’industrie pharmaceutique.
Le PDG de Tesla a enfin déclaré que sa triste expérience avec son fils Xavier, désormais appelé Viviane, lui aurait fait prendre conscience du danger du « virus mental woke. »
Raison pour laquelle il a promis de s’engager à la « détruire« .
Audrey D’Aguanno
(1) « I lost my son essencially. They called it dead-naming for a reason. So the reason it’s called dead-naming is because your son is dead, so my son Xavier is dead, killed by the woke mind virus. »
Crédit photo : Capture Daily Wire+
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7 réponses à “Elon Musk : mon fils transgenre « tué par le virus mental de l’idéologie woke »”
On peut penser ce qu l’on veut de cette alchimie contre-nature des siècles modernes qui permet de choisir son sexe, ou pire, le sexe de som enfant.
Mais la question fondamentale que l’on doit se poser c’est : De quel Droit puis-je changer le sexe de l’enfant qui doit naître ?…
quand elon musk dit quelque chose il va jusqu’au bout … a la différence de nos enarques aussi menteurs qu’arrogants
Quand on s’interroge sur « la fin du Monde », voici sans doute la route ouverte vers la réalisation de ce qui n’était que légende obscure des religions pendant si longtemps…
Le Monde, c’est à dire l’humanité, est en train de s’effondrer sur elle-même dans une immense implosion qui la fera disparaitre de la surface de la planète qui, elle, continuera de tourner encore très longtemps autour du Soleil…
Lisez transmania, vous comprendrez tout de cette abomination.
Nos enfants sont en grand danger.
À nous de nous battre tous ensemble pour eux, de toutes nos forces car ils veulent avec leurs nouvelles lois, nous les enlever.
Pour eux, un parent qui veut protéger son enfant est un maltraitant.
Terrible inversion des valeurs.
Ce virus transgenre est entré dans l’Education nationale qui n’enseigne plus mais endoctrine au mépris de l’âge des enfants à qui on explique dès le primaire qu’on peut choisir d’être homme ou femme indépendamment de l’identité biologique acquise à la naissance. Une Education nationale qui explique aussi que l’on peut, en cours de route, changer de sexe et de culotte. Les enseignants doivent enseigner et non éduquer, l’éducation est le rôle des parents, pas de l’école. Des parents sont en colère contre cette Education nationale qui se permet de pervertir les jeunes esprits et de les embrigader. On comprend pourquoi les parents qui en ont les moyens financiers veulent sortir leurs enfants de l’école publique qui a perdu le sens de sa mission : transmettre la connaissance et pas éduquer. Pourquoi croyez-vous que nos ministres mettent leurs enfants dans le privé grand chic? Ce système pourri qu’est L’Eduction Nationale, est devenu une « fabrique de crétins » dont certains ont besoin en 4eme de collège d’une calculatrice pour trouver 6 x 4 (90% de reçus au Bac!). On comprend pourquoi les enfants fragiles, en abandon de rigueur parentale, livrés à la décadence sociale et intellectuelle de la rue, deviennent les proies idéales d’un wokisme triomphant qui recrute ses victimes dans la crédulité et l’ignorance.
Parents, soyez plus que jamais vigilants. Nos enfants sont en danger entre les mains de fous !
Elisabeth Mansart
Ce n’est pas uniquement Musk qui doit combattre cette ideologie mortifère, mais nous tous adultes responsable , saint d’esprit ; nous devons mettre une fin a cela le plus rapidement possible en commençant par exclure du corps enseignant toutes les personnes , hommes ou femmes qui propagent cette idéologie mensongère , idem pour une partie du corps médical qui ce rend complice de cela , par la même occasion les privé de touts droits institutionnels,faire en sorte qu’ils elles ne puissent plus nuire définitivement a la société.
Il en va de notre civilisation millénaire .
Il y a un business sordide derrière qu’il faut dénoncer.
Éduquons nos enfants sur le tragique d’une situation irréversible dont ils ne peuvent mesurer l’abîme avec une lourde dépendance à vie et un massacre sur le corps sain mutilé.
C’est aussi dégueulasse que la pédo-criminalité.