La nouvelle candidate démocrate à la présidence des États-Unis, ce sera elle : Kamala Harris. Face au bilan peu reluisant des quatre années d’administration Biden, les dem savent devoir pointer sur l’image vendeuse d’une femme de couleur, dans une nation où la spectacularisation de la politique est emblématique.
Peu importe qu’elle soit la fille d’une chercheuse universitaire indienne et d’un célèbre économiste afro-jamaïcain, qu’elle ait grandi dans l’un des meilleurs quartiers de San Francisco : pour la gauche, obnubilée par la race et maîtresse dans l’art de fabriquer les symboles, la couleur de peau suffira. Le candidat idéal doit être issu d’une minorité visible. Kamala Harris jouera elle-même sur ce registre, en déclarant :
« En tant que descendants d’esclaves et de personnes de couleur issues de la colonisation, nous avons un rôle particulier et qu’avoir une éducation nous donne une position particulière dans la société pour contribuer à provoquer des changements .»
Alors qu’à en croire des journalistes et une déclaration de son propre père, elle compterait parmi ses ancêtres d’un des plus grands propriétaires d’esclaves des Caraïbes…. information qui fait, certes, un peu tâche quand on entend surfer sur la vague de la minorité colorée oppressée par le vilain homme blanc.
L’obsession pour l’avortement de Kamala Harris fera le reste. Une défense acharnée incarnée dans sa tournée nationale « Fight for Reproductive Freedoms » [Lutte pour les libertés reproductives] et qui est ce que l’on retiendra de son mandat de vice-présidente… à côté d’une gestion pour le moins désastreuse de l’immigration, à mi-chemin entre impuissance et absence de volonté. Rappelons le record établi entre octobre 2022 et septembre 2023, quand 2,4 millions de clandestins franchissaient la frontière sud des États-Unis et qui lui vaut encore d’acerbes critiques outre-Atlantique.
Dans tous les pays occidentaux, la gauche – qu’elle se nomme démocrate, socialiste ou je-ne-sais-quoi populaire – a depuis longtemps abandonné le champ des idées (puisqu’elles ne portent à rien qui « marche »), des luttes sociales et de la politique intérieure pour se concentrer sur le sociétal et le spectacle qu’il engendre. Un spectacle qui donne aux électeurs l’impression que quelque chose est fait et dévie leurs regards des véritables problèmes sociaux et économiques. Kamala Harris n’y déroge pas, comme quand elle se présente de façon à séduire le monde LGBT :
« I am Kamala Harris. My pronouns are “she” and “her.” » [Je suis Kamala Harris, mes pronoms sont « elle » et « ma ».]
Un profil dans l’air du temps, idéal pour attirer les grands investisseurs qui, dès l’annonce de son nom se sont mobilisés, faisant réaliser à Kamala Harris le record de financement électoral (91 millions en 48 heures). Des soutiens tout ce qu’il y a de plus woke : Soros, Disney, Netflix et les magnats d’Hollywood Jeffrey Katzenberg et James Kostos.
Le spectacle peut commencer.
Audrey D’Aguanno
Crédit photo : capture YouTube (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
10 réponses à “Kamala Harris, la parfaite candidate démocrate. Femme, noire… et woke comme ses soutiens financiers : Soros, Disney, Netflix”
Un gravier dans la chaussure des démocrates:
Kamala Harris n’est pas noire mais d’origine
asiatique.
Fernand-Arthur Dujardin se trompe. Kamala Harris n’est pas d’origine « asiatique » comme il le laisse entendre, mais moitié Hindou, moitié negroïde africaine. Mais peu importe : Contrairement à ce qui se dit, elle est loin d’être le/la parfait(e) candidat(e) pour la Gauche US. Son bilan en tant que Vice-presidente est terne, sinon nul, truffé d’erreurs, d’omissions politiques volontaires, et surtout (Un sujet qui fâche aux USA) traîne un bilan nauséabond pour ce qui concerne « l’Invasion » du territoire US par les hordes de réfugiés venus des quatre coins des Ameriques. A mon sens, le presidence US sera décernée à Trump dans un fauteuil Grande Taille !
En réalité son parti est aussi démocrate que les LFI….c’est en fait un parti d’extrême gauche wokiste
pas de bol pour ginette les trans et autres lgbt veulent une femme oui mais …trans , de plus elle prend le train en marche là ou il faudrait un candidat de la trempe de bernie sanders pour rattraper le retard , je doute que cette bonne femme soit a la hauteur , maintenant reste pour la maffia en place la fraude électorale !
Kamala devra faire une petite révision de géopolitique profonde et ne plus dire que les États-Unis ont une alliance forte et durable avec la Corée du Nord.
Je me suis trompé : Kamala Harris est d’un père Jamaïcain et d’une mère indienne. Rien de noir donc
Kamala Harris hérite d’un délabrement financier sans pareil des USA. Plus de 16’000 milliards de nouvelles dettes durant l’épidémie de virus de laboratoire SARS COVS 2 US. Ce qui a permis néanmoins de rationaliser une certaine forme de population en surcharge pondérale aux USA. La dédollarisation par tous les pays des BRICS commercialement à 100% et financièrement à 70% commence à se faire sentir. Faire la guerre à la Russie contre la dédollarisation ira nul part. Plus la fin des petrodollars le tout diminuant la masse monétaire du dollars de 60 % cela va devenir extrêmement difficile à gérer. D’autant que le budget des USA est déficitaire de plus de 3’500 milliards les exportations déficitaire de même. Autant dire que les USA avec près de 50’000 milliards dettes irremboursables. D’autant que les souscripteurs de dettes deviennent difficiles à trouver. Et aussi 4 fois plus en hors bilans bancaires budgétaire qui sont des dettes. Comme le fait la France mouton des USA en moindre mesure, puisque juste 3’800 milliards d’engagement.En somme en conclusion nous sommes sur un volcan financier occidental suivi d’un effondrement des parois du volcan, avec une coulée de dettes financière qui va faire brûler tout sur son passage.
kamala Harris a un atout : elle est multiculturelle et créole par ses origines ethniques plurielles (Asiatique, Hindou et Africaine). Peut-être que si elle changeait de sexe comme l’encourage la philosophie woke, elle gagnerait des électeurs. Reste à savoir si elle va utiliser le changement de culotte ou de sexe comme argument de campagne.
Fernand-Arthur aucun problème. Tout au moins entre nous deux.
Au contraire, ayons une pensée envers les malheureux Gauchistes US, pour qui le choix de la Presidence est restreint, sinon extremement douloureux à plus d’un titre, avec à la clef une fatalité que tout le monde devine, et une bonne partie espère : La Victoire de Trump !
J’adore Kali Yuga cela me rappelle Guénon…Je déplore que l’armée britannique se soit contentée de donner une correction lors des fusillades de Lexington 1777 ! Il fallait les exterminer tous ces bouzeux de Yankees!