L’attractivité des villes françaises en 2024 : Un panorama digital

L’attractivité des villes françaises est un sujet d’importance croissante, surtout à l’ère du numérique où les recherches en ligne peuvent révéler beaucoup sur les préférences et les aspirations des individus à travers le monde. Le rapport de Bloom Consulting, « France Digital Places Report ’24« , offre une analyse détaillée de cette attractivité à travers l’étude des requêtes sur les moteurs de recherche concernant 203 villes de France métropolitaine et 11 territoires d’Outre-mer.

Méthodologie

Bloom Consulting utilise une méthodologie basée sur l’analyse de big data pour comprendre les dynamiques de l’attractivité des territoires. L’étude repose sur plus de 1,5 milliard de requêtes internet effectuées en 2022 et 2023, réparties sur 24 langues et provenant de 215 pays. Ces requêtes couvrent trois domaines principaux : le tourisme, les projets résidentiels et le business. L’analyse se concentre sur les 200 plus grandes villes de France et les territoires d’Outre-mer, en se basant sur des mots-clés spécifiques et des catégories thématiques.

Résultats Globaux

En 2023, plus de 720 millions de requêtes ont été effectuées dans le monde concernant les villes françaises, marquant une augmentation de 13% par rapport à 2022. La majorité de ces recherches (65%) provient de l’Hexagone, tandis que les 35% restants sont générés à l’international, principalement des États-Unis, d’Allemagne, du Royaume-Uni, d’Italie et d’Espagne.

Les Villes de Métropole les Plus Attractives

Paris domine largement le classement des villes les plus attractives, avec environ une recherche sur six concernant la capitale française. Lyon et Nice suivent, mais à une distance significative, capturant respectivement 26,7 et 25,5 millions de recherches. Paris se distingue non seulement en matière de tourisme, mais aussi pour les projets résidentiels et les opportunités d’affaires.

Analyse Régionale

  1. Île-de-France : Paris et Versailles dominent les recherches en Île-de-France, avec des pics de requêtes principalement en juillet et novembre. Les villes comme Nanterre, Saint-Denis et Évry-Courcouronnes se distinguent par leur attractivité universitaire et résidentielle.
  2. Nord-Est : Strasbourg et Lille sont les locomotives de la demande dans cette région, particulièrement pour leurs marchés de Noël et leur patrimoine architectural. Colmar, Reims et Nancy complètent le top 5 régional.
  3. Sud-Est : Lyon, Nice et Marseille captent presque la moitié des recherches totales pour cette région, avec une forte saisonnalité en été. Annecy et Cannes se démarquent également par leur attractivité touristique.
  4. Sud-Ouest : Bordeaux et Toulouse dominent les recherches, suivies de Montpellier, La Rochelle et Bayonne. Bordeaux se distingue particulièrement pour les projets résidentiels, tandis que Montpellier excelle en matière de business.
  5. Nord-Ouest : Nantes et Rennes sont les villes les plus recherchées dans cette région, avec une forte saisonnalité en été. Tours, Saint-Malo et Angers complètent le top 5, avec une notable attractivité touristique et résidentielle.

Focus sur le Nord Ouest

L’étude de Bloom Consulting révèle une diversité dans l’attractivité des villes françaises, influencée par des facteurs comme le tourisme, les opportunités résidentielles et économiques. Paris, en tant que capitale, continue de dominer largement, mais d’autres villes comme Lyon, Nice, Bordeaux et Toulouse montrent également une forte attractivité.

Illustrations  : DR
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2 réponses à “L’attractivité des villes françaises en 2024 : Un panorama digital”

  1. Jennyfer du MESNIL dit :

    Un article délirant de comptages et technocrassouille patronale…Jadis Rennes et Nantes me dit l’ami Pierre étaient des paradis bourgeois…ça ronronnait entre notables bien pensants mais aujourd’hui??? Ma soeur aînée loge à la Croix de la Mission avec vue sur la ZI Ouest donc elle assiste et entend les rave parties interdites mais…Capitulation de la démocrassouille!!! et elle craint les coups de couteau! A Cherbourg je sors avec un ancien SAS. A Caen je loge à deux pas de la Préfecture, immeuble hyper sécurisé mais pour aller au travail j’évite la mini jupe. Et tout est comme cela. Même les autres petites villes…des voilées à Laval et bientôt une mosquée. Et les églises brûlent.

  2. kaélig dit :

    Bien d’accord avec Jennyfer pour Rennes et Nantes…des « paradis Bourgeois ». A Rennes de 1968 à 1978, la ville était tellement calme de jour comme de nuit que moi habitué des ports finistériens je m’y emm…ais. Aucun « sentiment d’insécurité », Minijupe et panty divers étaient la règle et çà me plaisait bien.
    Depuis la « Morale » des talibans de la vertu islamiste a fait son oeuvre, au besoin à coups de couteaux et les autochtones s’y sont soumis. Fini l’élégance, la grâce, la féminité…

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