Les gauchistes coalisés autour de Jean-Luc Mélenchon continuent de nier l’ensauvagement de la France quand, dans le même temps, des sous-préfectures de Vendée ou du Maine-et-Loire connaissent désormais le même niveau d’insécurité que les banlieues parisiennes ou lyonnaises 20 ans auparavant.
Aux Sables d’Olonne, deux hommes âgés d’une vingtaine d’années ont dû être transférés en hélicoptère vers l’hôpital de Nantes en urgence absolue dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 juin.
Peu de temps auparavant, après un différend survenu à l’intérieur de la boîte de nuit « Le Paradise », située sur le remblai des Sables d’Olonne, les deux victimes ont été poignardées à la sortie de l’établissement.
Selon le JDD, la tension a débuté vers 2 h du matin, lorsqu’un « groupe de jeunes de banlieue de La Roche-sur-Yon » aurait commencé à invectiver un groupe de jeunes locaux pour des « mauvais regards ».
Un groupe de banlieusards composé de « cinq jeunes de type maghrébin et africain », selon une source policière cité par le Journal du Dimanche. L’un des individus a alors frappé l’un des jeunes locaux (parmi lesquels de nombreux joueurs du club de rugby des Sables RCS) avant que la bande en provenance de la Roche-sur-Yon ne soit expulsée du Paradise.
La soirée se poursuivra sans encombre pour les jeunes Sablais, qui quitteront l’établissement vers 5 h. Sans se douter que la bande de racailles avec laquelle ils avaient eu maille à partir un peu plus tôt les attendrait à l’extérieur.
Après que les rugbymen se soient dispersés pour rentrer chez eux, des individus courent vers eux couteaux en mains. L’un des jeunes Sablais frappé à l’abdomen a dû se faire retirer la rate à l’hôpital de Nantes. Son ami était quant à lui toujours dans le coma artificiel dimanche 30 juin.
Une enquête menée par la police judiciaire est actuellement en cours après que les agresseurs aient été identifiés grâce aux caméras de vidéosurveillance et à la perte d’effets personnels dans l’établissement de nuit.
Autre ville de taille moyenne, autres faits divers : des émeutes urbaines ont eu lieu deux soirs de suite, jeudi 27 et vendredi 28 juin, dans le quartier Jean Monnet de Cholet.
🔴 SÉCURITÉ – Communiqué du Préfet de Maine-et-Loire sur les violences dans le quartier Jean Monnet de Cholet pic.twitter.com/nOcExmINFb
— Préfet de Maine-et-Loire 🇫🇷🇪🇺 (@Prefet49) June 29, 2024
Selon Gilles Bourdouleix, maire de la ville du Maine-et-Loire, ces deux soirées de violences seraient liées au « triste anniversaire de l’affaire Nahel et des émeutes qui ont suivi. Une espèce de message doit passer dans certains groupes qu’on est un an après les tristes évènements de l’année dernière ».
Un « anniversaire » qui s’est concrétisé, à Cholet, par des tirs de mortier et des jets de projectiles sur les forces de l’ordre. Six voitures ont également été incendiées dans ce quartier Jean Monnet. Des renforts policiers en provenance d’Angers de Nantes ont même dû y être déployés.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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3 réponses à “Les Sables d’Olonne, Cholet : chronique d’un « ensauvagement » ordinaire”
Je ne sais pas, je ne comprends pas !… Une fois de plus je me pose la question : Quant est ce que les Francais comprendront que l’Arabe et le négrillon africain ne seront JAMAIS assimilés, et resteront toujours les ennemis du Peuple de souche Judeo-Chrétien Français ?…
Chronique de la vie ordinaire en France.
Bonjour, ce sont justement avec des personnes comme vous, racistes que nous allons droit à la guerre civile, ne mettez pas tout le monde à la même enseigne, j’ai honte de voir autant de haine dans votre bouche.Je comprends mieux pourquoi le RN arrive au pouvoir