Pour ce nouvel épisode du Club des idées du Figaro, Eugénie Bastié a convié trois invités de choix – la psychologue clinicienne Marie-Estelle Dupont, le pédopsychiatre Maurice Berger que nos lecteurs connaissent bien, et le psychanalyste Ruben Rabinovitch – pour débattre de la violence des jeunes.
À contre rebours des « théories » qui voudraient qu’elle ait toujours existé ou qu’elle ne soit due qu’à l’exclusion et à la pauvreté, ces experts dressent un tableau inquiétant fait de perte d’empathie et de jouissance de la cruauté.
Sans jamais se soumettre au politiquement correct, ils évoqueront les facteurs sociétaux, judiciaires, politiques qui nous ont amené où nous sommes, mais aussi les éléments culturels et anthropologiques qui expliquent une certaine violence : celle qui croît dans les milieux issus de l’immigration.
Émeutes de banlieue, délinquance ordinaire, harcèlement scolaire, agression de professeurs, de Crépol à Viry-Châtillon, tout y passe.
Pour pallier ce terrible constat, ils en appellent, entre autres, au retour de l’autorité « qui n’est pas la force mais l’inspiration et la confiance » et à l’application des peines « car ce n’est pas une chance pour un enfant de ne pas les appliquer, il faut apprendre que les actes ont des conséquences » ; mais aussi à la sanction des parents, comme dans le cas des mineurs assassins qui, sans cela, s’opposeront toujours plus à la société estimant que « la société me punit mais mes parents banalisent mon acte » ; et à la suppression du code pénal des mineurs « complètement inapte et déconnecté de la réalité« .
Crédit photo : Le Figaro TV (photo d’illustration)
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8 réponses à “Ensauvagement, ultraviolence, les jeunes d’aujourd’hui sont-ils plus violents que les précédents ? [Vidéo]”
A quoi servent ces inutiles de psychiatres, cessons de rembourser leurs consultations, on s’en passait voici 50 ans de leurs fumeuses conclusions!
Nos »Jeunes » ne sont pas punis quand ils sont violents! Ainsi les gauchistes pour exprimer leur opposition au R.N. ont saccagé des abribus et les vitrines des commerçants car ils savent que »TOUT LEUR EST PERMIS » ainsi que les »écolos » pastèques qui ont été violents pour montrer leur désapprobation à la construction de l’A69!..Les »Jeunes » de notre temps me paraissent plus c…que ceux d’autrefois!…
autre population = autres moeurs, on ne gagne pas au change :-(
Les jeunes d’aujourd’hui plus violents qu’autrefois ?… Je ne penses pas que ce sujet soit abordé de la bonne manière.
Moi qui, comme d’autres, avons vécus notre jeunesse, fin des années soixante, début soixante dix, les heures intenses des « blousons noirs » qui attaquaient à coups de chaînes de motos leurs victimes dans des soirées avinées, je peux vous certifier que la « violence » n’était pas un vain mot.
Mais aujourd’hui la violence a changée « culturellement ». Ce qui n’était que l’expression d’un débordement incontrôlé de la testostérone, est devenu aujourd’hui l’expression contrôlée d’une civilisation qui veut en remplacer une autre.
Et là, réside la différence qui fait que nous ne parvenons pas à en régler le problème, surtout tant que certains politicards insisteront à tenter de nous convaincre de convoler aux cotés de ces nouvelles populaces qui se comportent comme dans la savane où au bled… peut-être un changement se profile à l’horizon ?…
Quand nos médias disent »Des Jeunes »: nous traduisons des islamos-racailles!…
Ça depend. Les jeunes ou bien « les jeunes »?
Tout est extrêmement bien dit, merci !
Pour satisfaire Erwan Berric nous dirons « lod etre ar re yaouank » car tous les Jeunes ne sont pas mal éduqués!