Préférez-vous vous retrouver en pleine forêt face à un homme ou face à un ours ? Telle est la question qui a agité les réseaux ces dernières semaines. Sans grande surprise, les internautes de sexe féminin ont répondu en majorité se sentir plus menacées par la présence d’un homme que d’une bête sauvage. Une réponse qui en a surpris plus d’un. Pourtant, inutile de s’offusquer, c’est tout à fait normal. Mais pas pour les raisons que l’on pense…
La première est d’ordre, dirons-nous, statistique : qui, selon-vous fréquente en majorité les réseaux et suivent les comptes qui posent ce genre de question ? C’est un peu comme aller demander aux gens lors d’une manifestation du RN s’ils préfèrent se retrouver dans un ascenseur avec Jordan Bardella ou Mélenchon et titrer le lendemain : « 99% des Français préfèrent se retrouver en tête-à-tête avec Bardella plutôt qu’avec Mélenchon ! » La pertinence et la même et en dit long sur la validité des sondages.
De plus, les jeunes-femmes subissent un lavage de cerveau au quotidien, par tous les canaux possibles. La culpabilisation du mâle est partout, et en premier lieu dans les universités. On leur ressasse encore et encore que l’homme est un violeur en puissance, un assassin qui s’ignore, que les femmes sont des opprimées depuis la nuit des temps et qu’être une féministe 2.0 c’est super cool et à l’avant-garde (de celles qui ne réfléchissent pas et se contentent de hurler « patriarcat ! » dès qu’elles flairent – ou inventent – quelque problème). En parallèle, depuis belle lurette l’école n’enseigne plus aux élèves à réfléchir et on les a gavés depuis leur plus tendre enfance de réseaux sociaux. Pas étonnant, donc, qu’on en arrive là où nous sommes, à des générations de filles et de femmes qui prennent pour argent comptant toutes les conneries d’hystériques qui haïssent les hommes, portées sur le devant de la scène par les médias de masse.
La réponse a été donnée aussi parce qu’elles savent pertinemment, qu’au fond, elles ne se retrouveront jamais seules face à une bête sauvage dans la nature (une nature qu’elles idéalisent d’ailleurs complètement à l’instar du « bon sauvage »). Et le cas échéant, il est fort à parier qu’elles sauteraient plutôt dans les bras du premier inconnu musclé pour se protéger de l’ours, mais passons. Passons, car tel n’est pas le ressenti que ces internautes ont en ce moment. Si une grande partie d’entre elles surfent sur le lynchage facile et qui rend cool du mâle, d’autres ont toutes les raisons d’avoir peur.
Car, malheureusement, l’ensauvagement et la recrudescence des agressions sexuelles de rue par des inconnus, ce n’est hélas pas un mythe. Et cela n’ira pas en s’améliorant, du fait de l’anonymat que procurent les grandes villes, de l’immigration de masse incontrôlée, du laxisme judiciaire (peines de prison et OQTF non -appliquées), et de l’immunité dont jouit la racaille qui insulte, agresse et viole sans que personne (à part quelques courageuses, comme les militantes de Némésis) n’ose le dénoncer. Et à part les chiffres, quand ils nous parviennent :
Normal aussi, vous me direz, tel est l’état de nos sociétés urbaines et multiculturelles. Et si en France, on est si attentif à « ne pas faire d’amalgame », qu’on « débunque » les maigres statistiques à portée de main, les femmes, elles, savent. Même celles qui le nient avec le plus de véhémence. Donc, oui, peut-être vaut-il mieux se retrouver face à Michka plutôt qu’à Mo….. le soir, dans une rue déserte.
Mais encore une fois, pardonnez le leitmotiv : c’est un peu normal ! Comment penser importer des millions d’hommes jeunes (18-34 ans), donc au pic de l’excitation sexuelle, sans aucun débouché sexuel et croire que tout ira bien ? Qui plus est, quand ils proviennent dans la grande majorité des cas, de cultures qui ne partagent pas notre vision et notre respect de la femme. Si les autorités françaises se bouchent les oreilles, dans d’autres pays le phénomène porte un nom, comme en Italie où « l’emergenza stupri » [urgence viol] avait été déclarée dans plusieurs agglomérations. Dès 2016, on s’y inquiétait. Il Giornale titrait : « 90% des migrants sont des hommes, nous risquons le terrorisme sexuel » reprenant des données de The Economist.
Et pendant ce temps, on n’a de cesse de castrer nos petits mâles dès la maternelle. On n’a de cesse de vouloir les déconstruire et de leur interdire bonnement et simplement l’usage de la force, selon une équation fausse et malsaine : force = virilité = agression… Pourtant, cette force est nécessaire, et le sera de plus en plus puisque nous avons importé le Tiers-monde et avec lui la jungle. Ce qui nous attend n’est donc pas la fraternité joviale et l’amitié entre les peuples, mais la loi de la jungle. On en voit les prémisses et Mesdames savent déjà qu’elles seront en première ligne. Un retour de la force est donc nécessaire, une force protectrice, canalisée, ce que notre culture avait réalisé comme aucune autre.
Car ce que ces femmes, et en général les progressistes endoctrinés de Rousseauisme, n’ont pas compris, c’est que l’homme à l’état sauvage, sans culture, sans éducation est un ours. C’est la société avec son corollaire la culture, qui fait que le mâle devient un Homme. Et la nôtre a porté aux nues le modèle par excellence de l’homme complet : le chevalier, puis le gentilhomme. La nôtre crie en cas de danger « les femmes et les enfants d’abord ! » Oui, c’est la culture qui fait un certain type d’hommes, raison pour laquelle il y a des sociétés où il fait bon vivre pour les femmes et d’autres qui sont, pour elles, un enfer.
Alors Mesdames, il faudrait ne pas oublier que si quelques hommes – et nous sommes tous d’accord, nous les gens « normaux » pour dire qu’ils sont trop nombreux et qu’il faudrait s’en débarrasser de la façon la plus expéditive possible – si des hommes violent et tuent, la grande majorité d’entre eux protègent et respectent. Et si vous n’êtes pas d’accord avec ce constat, c’est que vous ne fréquentez pas les bons milieux : changez-en !
Audrey D’Aguanno
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
8 réponses à “Des femmes affirment préférer se retrouver face à un ours plutôt qu’à un homme. Délire ou réalisme ? Le point de vue d’une non-féministe [L’Agora]”
Comme d’hab bien dit bien construit. Avsd sur les plateaux avec Eugenie bastie.
D’un point de vue pratique , se retrouver face à un ours au cours d’une promenade en foret, pâr exemple , est une situation sinon courante , du moins possible dans les pays de l’est , ou en AMERIQUE du nord …J’ai connu dans ma famille , des gens à qui s’est arrivé , l’attitude dansces cas la plus adaptée semble etre de ne pas bouger, de se laisser renifler par la bete, qui finira par s’en aller:ne pas courir , ne pas grimper aux arbres, ne pas crier, rester calme .L’ours n’est pas un viandard !
Et « l’honnête homme » qui cultive son jardin pour faire référence au XVIIIe. En effet la précaution la plus élémentaire est d’éviter les endroits où pullule la canaille et j’ai la conviction les les jeunes filles bien éduquées évitent les cloaques nocturnes!
Audrey, sûr, j’aimerai mieux me retrouver en face de vous que d’un ours ! Un peu d’humour ne fait pas de mal. Et je suis totalement d’accord avec ce que vous écrivez !
Effectivement Voronine, je pense que la meilleure attitude face à un animal énervé tel un chien berger ou autre briard (il a une tête de lion !), c’est de garder son calme, « pas bouger » comme on dit au chien, et je pense surtout ne pas exhaler la peur. J’ai pu vérifier cette méthode lors d’un déplacement de potaches pancus entre le lycée et le pensionnat à Brest. Nous étions 200 plus les pions, un chien berger énervé a sauté la cloture d’un pavillon, débandade générale, il reste kaélig au milieu de la route, son cartable à main gauche, son imper à main droite, je n’aime pas courir, je ne bouge pas, prèt à décocher un coup de tatane au chien-chien…il me tourne autour, renifle mes pompes, mordille mon imper (en tergal SVP)…n’abime pas mon imper, gast!…Il s’en va, tout péteux.
Une autre fois, bien plus tard, c’était plus chaud, puisque j’étais entré sans permission (forcément pas de sonnette) dans une propritété pour faire un relevé topo. Le clébard, un briard à sale gueule braillait à la fenètre quasiment encouragé par sa maîtresse tenant un bébé dans les bras, méfiant, je me mets sur le coté de la porte d’entrée…Le chien en furie sort en bondissant sur les marches du perron pour littéralement s’écraser sur le portail 5 m plus loin.La patronne loin de calmer son fauve qui me mord les fesses consent à me causer, mains occupées avec crayon et planchette, je vois le moment où je vais saisir une bûche sur le tas de bois voisin pour « taper dans le tas ». J’ai ouï dire en sourdine que d’aucuns se réjouïssaient de ma mésaventure, à ceux-là j’aurais répondu: « Oui effectiveent, le chien à eu chaud! ».
Les femmes qui se méfient des hommes, ne se méfient que des Blancs. Elles sont prêtes, en revanche, à se donner corps et âmes, à des quadrumanes priapiques, à des hyènes puantes et sournoises, à des camélidés caractériels et déséquilibrés.
Si elles survivent à de tels comportements suicidaires, elles gardent une haine tenace de l’homme qui ne connaît plus de distinction. Le feminisme militant est une maladie mentale.
Très belle prose pour décrire le comportement de certaines femmes envers une population de primates (nous sommes nous humains des primates) extra européens alors que la personne blanche avec le quelle elle vive ce tue au travaille sans savoir qu’il en porte de magnifique sur le haut du crane et n’a droit qu’au strict minimum syndical une fois par mois et encore , puisque certaines n’hésite pas a enfermé ce que tout le monde pense dans un dispositif interdisant sont « développement ».
De la sorte la « belle » peux butinée autant une de ces semblable que l’extra européen sans aucune crainte et cracher a tout va avec sa confrérie féministe sa haine de l’homme blanc.
A-t-on pensé à des russophiles camouflées genre poutinolâtres ?