Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Escroqueries immobilières : quand le rêve tourne au cauchemar

Cette affaire scandaleuse qui a démarré il y a déjà 12 ans, se passe à Honfleur, en Normandie. L’escroquerie à l’immobilier ?, « c’est l’enfer que vivent les artisans-commerçants ». Pour une affaire de vices cachés dans un hôtel-restaurant qu’elle venait d’acheter, elle gagne une forte somme devant les tribunaux, mais contre toute attente, l’appareil judiciaire se retourne contre elle.

Aujourd’hui, Estelle Cauvin n’a plus rien. Non seulement, elle a perdu son hôtel, mais son avocat est devenu l’avocat du liquidateur… Comment est-ce possible ? Dans ce dossier de 47 minutes, Armel Joubert des Ouches, reporter au pôle vidéo du magazine Nexus, revient sur une affaire aussi révoltante que scandaleuse, aux côtés d’Estelle Cauvin et Michel Chanu, ancien membre de la coordination nationale des entreprises à taille humaine. Ce dernier dénonce l’enfer subi par les artisans-commerçants, souvent victimes d’escroqueries à l’immobilier.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

8 réponses à “Escroqueries immobilières : quand le rêve tourne au cauchemar”

  1. NEVEU dit :

    Quand on vous affirme que cette Caste des Juges doit être férocement épurée tout comme les épiciers ces parasites qui se servent au passage!

  2. Desbuissons Denise dit :

    C’est scandaleux d’être ainsi dépossédée de ses biens immobiliers. De nos jours les escrocs sont partout et il est très difficile d’être une femme d’affaires.Je compatis au désarroi de cette professionnelle.

  3. Desbuissons Denise dit :

    C’est scandaleux d’être ainsi dépossédée de ses biens immobiliers. De nos jours les escrocs sont partout et il est très difficile d’être une femme d’affaires.Je compatis au désarroi de cette professionnelle.. au moment où j’envoie ce commentaire l’on me répond que j’ai déjà envoyé ce commentaire, c’est faux, il y a censure dans un pays démocratique.

  4. Gaï de Ropraz dit :

    Il y a de quoi faire un film d’épouvante !

    Qui plus est, on dira au realisateur qu’il a de l’imagination !
    Ors, c’est en France, dans Nôtre France, que cela se passe !!! …

  5. Henri dit :

    Cf. le film d’André Cayatte « Des yeux pour pleurer » (1982)

  6. Verdier dit :

    Merci Armel Joubert des Ouches, Nexus et Breizh Info, pour ce reportage sur l’abomination du monde des liquidations judiciaires, et toutes les ramifications de ceux qui profitent et animent ce marais putride…

    Quelle abomination subie et combattue avec un courage extraordinaire par Estelle Cauvin, abomination remarquablement décortiquée par Michel Chanu, qui nous démontre comment des ministres, jusqu’au cols blancs et aux cols noirs des avocats marrons, et aux bandits patentés, nous avons raison de douter de la justice française, et d’entrer en résistance.

  7. kaélig dit :

    J’ai connu de près une liquidation judicière consécutive aux frasques dépensières de mon père qui eu la mauvaise idée de se noyer dans sa grosse voiture alors que alcoolisé comme d’hab, il allait inaugurer nuitamment le nouveau « Café de la Cale », laissant une veuve de 40 ans, 4 enfants et 3,5 millions d’AF de dettes en 1959.
    Il n’y a pas de doute, la liquidation judiciaire, c’est la curée, tout le monde s’y met: de la Mairie qui préempte le terrain de 3 000 m2 (un ancien cimetière allemand jouxtant celui français) et l’achète au prix acquis 10 ans plus tôt (normalement, c’est interdit, il doit s’aligner sur la valeur foncière environnante), les opportunistes en tout genre qui acquierent des véhicules, voitures, camions, outillage, matériaux et métaux à prix cassés sans compter le bois d’une haie de 150 de grands cyprès…et bien sûr le liquidateur judiciaire boosté par les banques débitrices, qui prend part au butin.
    Comme celà ne suffisait pas, les grands pères s’y mettent pour anticiper les successions en mettant la main à la poche…Par charité, les meubles sont laissés à la famille ainsi qu’une assurance-vie de 0,5 M d’AF intouchable quand même…La Mairie, repentante, brocardée par d’honnètes citoyens consentira à une rente de 1 000 AF/mois qui durera jusqu’à ce qu’il soit viré aux élections.
    Rayon de soleil quand même: les nombreux vêtements apportés par les familles des officiers de Marine (P….!, comme leurs filles étaient belles !: Francine, Mireille…re Mireille…)

  8. NEVEU dit :

    J’ai toujours pensé et dit que les officiers de Marine donc de la Royale c’était « la Classe »!!!

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

Immobilier

Comment calculer la rentabilité d’un investissement locatif ?

Découvrir l'article

Tribune libre

Comment la députée Le Meur va achever l’immobilier en France ? [L’agora]

Découvrir l'article

Economie, Tribune libre

Les résultats des législatives 2024 et l’immobilier en France : un parallèle inquiétant

Découvrir l'article

Economie, Immobilier

Pourquoi le marché de l’immobilier est paralysé par les législatives 2024 ?

Découvrir l'article

Economie, Immobilier

Immobilier. 60% des propriétaires réfractaires aux travaux pour des raisons économiques

Découvrir l'article

Economie, Immobilier

Immobilier. Le groupe Réalités en crise ?

Découvrir l'article

A La Une, Economie, Immobilier

Frappé de plein fouet par l’inflation et la hausse des taux, l’immobilier neuf en crise

Découvrir l'article

Economie, Immobilier

Immobilier à Rennes : les rues les plus chères à l’achat et à la location

Découvrir l'article

International

Fraude fiscale et sociale en Belgique. Des propriétés au Maroc ou au Congo massivement dissimulées

Découvrir l'article

Economie, Immobilier

La Bretagne administrative est la 3è région où les prix ont le plus augmenté en France en 2023

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky