La journaliste Pauline Condomines répond à de nombreuses questions d’Erik Tegner, plus personnelles sur son infiltration à l’extrême gauche, sa méthode, ses frayeurs et sa vision du journalisme d’enquête. Une plongée inédite et passionnante dans son quotidien des derniers mois.
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3 réponses à “Pauline Condomines : les dessous de son infiltration de l’extrême gauche”
ce n’est plus du courage , c’est de la témérité et elle est bien jeune pour se griller en racontant son infiltration ….ILS SONT PARTOUT , dans tous les rouages de la politique comme des médias
Je viens de lire son reportage sur les groupuscules de « goche » et j’ai appris beaucoup de choses sur leur financement, et sur l’emploi de l’argent de nos impôts par les services publics, lesquels, sous-couvert de subventions a des ONG ou associations a vocation humanitaires, détournent l’argent, au su et au vu de nos institutions, pour financer des mouvements violents qui n’ont que pour objet de détruire notre pays. On y retrouve, pèle-mêle, la Mairie de Paris, bien entendu, et il serait bon que chacun interroge sa propre mairie pour savoir a qui va l’argent de leur impôt . saluons le courage de cette journaliste, le risque qu’elle a pris, physiquement, mais aussi psychologiquement, pour avoir du fréquenter tous ces « ratés » de la terre que constituent ces déboussolés qui cherchent dans la dialectique de gauche, et les slogans faciles, un canal a leur désarroi personnel et leur impossibilité a orienter leur vie vers des objectifs constructifs et altruistes. Naturellement, ces organisations mortifères ne font jamais l’objet d’interdictions des pouvoirs en place. A qui profite le crime ?
Au premier rang des ratés : la droite, milieu dont je suis issu et qui me fait honte . À de trop rares exceptions.