La dernière fois qu’il fut question de football et d’islam sur Breizh-Info, c’était pour évoquer, au mois de mars dernier, l’ouverture des portes de plusieurs stades anglais aux pratiquants musulmans afin d’y accueillir l’iftar. Un terme qui désigne le repas qui est pris chaque soir par les musulmans au coucher du soleil pendant le jeûne du mois de Ramadan.
En France, l’islam se rapproche aussi, progressivement, des rectangles verts. L’affaire qui agite la ville de Sète depuis quelques jours en est un nouvel exemple. Il s’avère en effet que le 23 avril, le préfet du département de l’Hérault a annoncé qu’il avait « décidé de retirer l’agrément accordé à l’association sportive Sète Olympique Football Club résultant de son affiliation à la FFF (Fédération française de football) ».
🟥 Lutte contre le séparatisme et le communautarisme dans l’#Hérault ⤵️
Un contrôle des services de l’Etat a révélé des pratiques communautaires au sein l’association Sète Olympique Football Club :
❌ choix délibéré de ne pas développer la pratique féminine du football
❌… pic.twitter.com/8rlWt9sSZs— Préfet de l’Hérault 🇫🇷 (@Prefet34) April 23, 2024
« Un signe emblématique de la religion musulmane »
À l’origine de cette décision, la préfecture de l’Hérault indique que, dans le cadre de « la lutte contre le séparatisme et le communautarisme » dans le département, « un contrôle des services de l’Etat a révélé des pratiques communautaires au sein l’association Sète Olympique Football Club ».
Parmi ces pratiques, sont notamment pointés du doigt le « choix délibéré de ne pas développer la pratique féminine du football » ainsi que « l’ absence de neutralité liée à l’utilisation d’un signe emblématique de la religion musulmane comme logo du club, apposé sur le maillot des joueurs ».
« L’agrément permettant aux associations sportives de bénéficier de l’aide de l’Etat (…) est fondé sur l’exposition statutaire garantissant le fonctionnement démocratique de l’association, la transparence de sa gestion et l’égal accès des femmes et des hommes à ses instances dirigeantes et ainsi que la souscription d’un contrat d’engagement républicain », indique le préfet dans son décret officiellement publié le 18 avril mais signé le 14 février.
Un « croissant de lune et une étoile » sur le logo
Quant à la polémique concernant le logo du club, le quotidien Midi Libre précisait le 23 avril qu’il s’agissait d’un « croissant de lune et une étoile – sur le logo et les maillots ». Un logo qui a été changé au début de l’été 2023.
Faute d’agrément, « obtenu automatiquement lors de son affiliation à la Fédération Française de Football », le club de football sétois ne pourra donc plus percevoir l’aide de l’État ni celle de la mairie de Sète. Une municipalité qui a fait savoir que sa subvention annuelle au titre de la saison 2024 était pour l’instant « suspendue ».
Du côté du Sète Olympique Football Club, ce dernier s’est exprimé, par l’intermédiaire de son avocat : « C’est une décision disproportionnée et illégale. Nous avons des raisons de croire à une suspension de la décision. Elle a été prise en violation des règles de procédure », a déclaré Sefen Guez-Guez. L’épilogue devrait avoir lieu devant le tribunal administratif le 16 mai prochain.
🔴La Préfecture de l’Hérault attaque le Sète Olympique Club pour séparatisme. Communiqué du cabinet. pic.twitter.com/LSd7vboLDC
— Sefen Guez Guez (@Me_GuezGuez) April 23, 2024
À noter que, comme le rappelait l’hebdomadaire Marianne en mai 2022, Sefen Guez-Guez a notamment défendu par le passé le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France) et Baraka City…
Crédit photo : capture page Facebook Sète Olympique football club (photo d’illustration)
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4 réponses à “Islamisation. Le club de football de Sète (Hérault) sanctionné par le préfet pour des « pratiques communautaires »”
… pour résumer, autant dire qu’avec des imbéciles sans la moindre parcelle d’intelligence mais avides de pouvoir, et qui, pour des questions diverses, mais surtout de pognon, laissent la religion musulmanne s’infiltrer au depend de nos institutions et croyances, la France est foutue. Et autant le peuple et la religion judeo-chretienne.
Sur les affiches officielles pour les JO, la croix chrétienne sur le dôme des Invalides et même le drapeau tricolore ont été effacés. Et on voudrait mettre des symboles religieux musulmans sur des maillots sportifs, faire des pauses pour le ramadan, interdire aux femmes de jouer au foot en short, de porter une jupe, de se teindre les cheveux etc…
Putain, on marche sur la tronche !
Midi Libre, le mal nommé journal lèche-babouches du sud. En Bretagne vous avez Ouest-fange comme quotidien gauchiste, en Occitanie nous avons ce torchon au service de l’envahissement tranquille par l’islam. Et le maire de Sète, François de son prénom, ancien LR devenu macronien ne trouve rien à redire, ce sont ses électeurs.
tiens un préfet qui voit la réalité et sanctionne … va t-il être sanctionné pour avoir fait respecter la loi?