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Drag-queens à Saint-Senoux (35). Trainé dans la boue par la presse mainstream et des élus, le militant relaxé en appel

Il y a des victoires judiciaires qui sonnent comme des jolis bras d’honneur adressés à la fois aux gauchistes, et à ceux qui jettent en pature, lynchent, et trainent devant les tribunaux, pour un oui ou pour un non.

Condamné en première instance à quatre mois de prison ferme pour plusieurs infractions liées à une manifestation dénonçant un atelier lecture pour enfants animé par des drag queens à Saint-Senoux en mai 2023, un membre du groupe « L’Oriflamme » a été relaxé en appel le 17 avril 2024.

La cour d’appel de Rennes a fondé sa décision tout simplement sur le droit (et non pas sur l’idéologie et le gauchisme), et sur le principe de la liberté d’expression, estimant que les poursuites engagées par le parquet ne pouvaient être caractérisées. Les juges ont rappelé qu’il existe un « droit essentiel à la liberté d’expression » qui doit permettre « d’exprimer des opinions ou des idées qui heurtent, choquent ou inquiètent dans les limites fixées par la loi ».

Absence d’éléments constitutifs des infractions reprochées

Provocation à la haine ou à la violence : les propos tenus par le prévenu, bien que relayés par un mégaphone et choquants, n’ont pas été considérés comme incitant directement à la haine ou à la violence.

Injure publique : les propos visant le maire de Saint-Senoux n’ont pas été retenus comme constitutifs d’injure.

Diffamation : le parquet n’a pas poursuivi le prévenu pour diffamation.

Dissimulation de son visage : l’accusation n’a pas apporté la preuve suffisante d’un trouble à l’ordre public associé au port d’une cagoule.

A noter le conseil de la presse mainstream, que l’on est pas habitué à voir pour chaque affaire  : «Dernière solution pour l’accusation : envisager un recours en cassation ». Le parquet a en effet 3 mois pour le faire. Mais ça n’est bien évidemment pas du tout une phrase militante, tout comme le journaliste du Télégramme qui précise en introduction que ce jugement en appel est « Une question de droit, pas de fond »

Il n’a visiblement pas compris que la justice française était là pour servir le droit, pas l’idéologie, justement. C’est son fondement.

Reste à savoir si désormais, tous les journaux de la presse régionale et nationale, qui avaient sali le militant en première instance, révélant des détails sur lui qu’on a pas l’habitude de lire (y compris son nom) dans d’autres affaires judiciaires, vont évoquer cette victoire en appel. En attendant on vous laisse découvrir le communiqué de l’Oriflamme, ci-dessous

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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6 réponses à “Drag-queens à Saint-Senoux (35). Trainé dans la boue par la presse mainstream et des élus, le militant relaxé en appel”

  1. gautier dit :

    y’en aurait certains qui sentent le vent de la colère qui se tourne ! car ça va tourner !!il faut du temps, mais !!!

  2. Catherine Pechat dit :

    On vit dans une société pervertie par le wokisme, la bêtise, l’abrutissement, le bourrage de crânes et le gauchisme dégénéré.
    Pauvres enfants qui ont à subir tous ces outrages. Les parents doivent les protéger. Bravo à toutes celles et ceux qui dénoncent de telles dérives.
    Que le bons sens et la clairvoyance guident les juges sur le chemin de la Raison et du Droit !

  3. Mémé dit: dit :

    Tout à fait , tout à fait d ‘ accord ! Voyez , on peut arriver à faire triompher le bon sens et le bon droit , dans une société qui chérit le vice sous toutes ses formes ! Où sont les lois d ‘ incitation de mineurs à la débauche ?

  4. clovis dit :

    ne jamais desespérer ni baisser les bras….le soleil revient toujours apres la pluie

  5. Ludal dit :

    « celles et ceux » en lieu et place du seul grammaticalement correct « ceux » (masculin neutre) c’est déjà du wokisme Madame PECHAT.

  6. Catherine Pechat dit :

    @Ludal : « celles et ceux » volontairement pour mettre à l’honneur les Femmes en les citant en premier (tiens, voilà encore une majuscule à Femme qui est grammaticalement un nom commun, ne vous en déplaise). Et pour cause, parce que nombre d’entre elles, contrairement à beaucoup d’hommes, ont suffisamment de B***** dans le pantalon pour s’élever contre la sottise et la répression.
    Les femmes et les enfants d’abord: si le bateau venait à couler seriez-vous le premier, Monsieur LUDAL, à bousculer les gens pour vous précipiter comme un goujat dans le canot de sauvetage?
    N’ayez crainte, je suis encore une femme, ils n’ont pas réussi à m’enlever ça.

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