Nous évoquions ce matin dans nos colonnes les poursuites et la répression à l’encontre de jeunes femmes du collectif féministe Némésis, suite à un simple déploiement de pancarte réclamant l’expulsion des violeurs étrangers hors du pays, expulsion qui scandalise manifestement la maire de Besançon qui a porté plainte pour cette action d’agit-prop.
Le collectif Némésis a néanmoins reçu un soutien de premier plan, puisque Julien Odoul et son groupe RN à la région Bourgogne France Comté ont réalisé eux aussi une action de soutien au sein même du conseil régional. Une action courageuse lorsque l’on sait que depuis des années, le RN n’a pas beaucoup communiqué au sujet de la répression qui touche, de manière de plus en plus lourde, les dissidents et autres opposants politiques.
Parce que la gauche et l’extrême gauche de Bourgogne Franche-Comté financent l’immigration sauvage, parce que la maire de #Besançon veut censurer la parole des femmes qui refusent l’intolérable, les élus du @RN_BFC rappellent qu’un violeur étranger doit être expulsé ! pic.twitter.com/3D5wTe1c6l
— Julien ODOUL (@JulienOdoul) April 11, 2024
La police républicaine va-t-elle désormais recevoir l’ordre d’interpeller et de placer en garde à vue des élus ?
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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