En Bretagne, 8 623 personnes meurent chaque année d’un cancer selon les dernières données de Santé Publique France. Si la mortalité tend à baisser, la région présente des disparités notables par rapport à la moyenne nationale pour certains types de cancers.
Hommes plus touchés et surmortalité pour certains cancers
Le taux de mortalité par cancer est plus élevé chez les hommes que chez les femmes en Bretagne, comme partout en France. La région présente une surmortalité pour les cancers de la lèvre, de la bouche et du pharynx (+32%), de l’œsophage (+54%) et du foie chez les hommes (+31%).
La consommation combinée d’alcool et de tabac est la principale cause de ces cancers. Le Finistère, les Côtes-d’Armor et le Morbihan font partie des départements les plus touchés en France.
Cancer de l’œsophage : deuxième cause de mortalité par cancer chez les hommes
Le Finistère est le deuxième département français où l’on décède le plus de ce cancer. La surmortalité en Bretagne s’expliquerait par des comportements à risque plus importants qu’ailleurs en France.
Le Morbihan et le Finistère font partie des cinq départements français où le cancer de l’estomac tue le plus. Un diagnostic plus tardif et des formes plus agressives pourraient expliquer cet excès de mortalité.
La mortalité par cancer du foie est supérieure de 31% en Bretagne chez les hommes par rapport à la moyenne nationale. Le Morbihan et les Côtes-d’Armor sont les départements les plus touchés.
La mortalité par cancer du sein est inférieure de 11% en Bretagne par rapport au reste de la France. Le Finistère est le département breton avec le taux de mortalité le plus bas.
En conclusion, la Bretagne présente des disparités importantes pour certains cancers. Des facteurs comme l’alcool, le tabac, les comportements à risque et l’accès aux soins peuvent jouer un rôle dans ces différences.
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Une réponse à “Cancers en Bretagne administrative : les chiffres clés et les disparités régionales”
Etrange en effets sur les cancers en bretagne plus importants qu’ailleurs. Mais rappelez vous plus de 140’000 futs de déchets radioactifs ont été immergés à environ 120 à 160 kms des côtes bretonnes à plus de 100 mètres de profondeur. Ces futs se désagrègent comme dans la mer du Nord ou on déconseille de manger du poisson plus d’une fois par semaine sinon conseiller tous les 15 jours. Une émission ARTE a fait une enquête sur la radioactivité à 40 cm de profondeur dans le sable sur les côtes. Les résultats sont édifiants. On trouve du césium 135 de Tchernobyl et d’ailleurs Fuschushima et tas d’autres molécule radioactives provenant des déchets. Et comme tous les coquillages absorbent ces particules radio actives comme des éponges et que les bretons mangent beaucoup de coquillages, ils absorbent aussi les molécules radio actives qui stagnent dans la bouche le larynx et le foi qui distille le tout.Les études de cette radioactivité officielles dérangeant l’économie et le gouvernement botte en touche. C’est exactement comme les faux vaccins du covid19 SARS COV 2 virus de laboratoire US qui occasionne aujourd’hui plus de 300’000 maladies cardio vasculaires et AVC. On botte encore en touche cela dérange trop le gouvernement responsable à 100%.