Selon un sondage Odoxa* pour BFM Business, Agipi et Challenges, l’école privé remporte les suffrages dans presques toutes les catégories. Ce sondage exclusif révèle que 75% des Français jugent l’école privée meilleure que l’école publique en termes de résultats et de réussite des élèves.
Financement public : une question qui divise
Si l’école privée est plébiscitée pour son efficacité, son financement par des fonds publics fait débat. 52% des Français estiment qu’il est normal que l’Etat participe au financement de ces établissements, tandis que 46% jugent le contraire.
« Pointée du doigt pour son manque de transparence et de contrôle de la part de l’Etat, l’école privée connaît un regain de popularité depuis une dizaine d’années. La proportion des élèves dans le privé qui était stable durant plusieurs décennies est passée de 16,5% des effectifs totaux en 2011 à 17,6% en 2022, selon un rapport de 2023 de la Cour des comptes. Ce sont désormais 2,2 millions d’élèves qui sont scolarisés dans les quelque 7500 établissements sous contrat » indique BFM.
Seule critique de l’école privée, pas partagée par tous les sondés néanmoins, son manque de mixité sociale. La proportion d’élèves de milieux favorisés y est en effet plus importante que dans l’enseignement public.
Le coût d’un élève dans le privé est néanmoins moins élevé que dans le public. Selon le Secrétariat général de l’enseignement catholique (Sgec), l’Etat économiserait 9 milliards d’euros par an si tous les élèves étaient scolarisés dans le public.
En résumé, ce sondage met en lumière la fracture autour de la question de l’école privée en France alors qu’un rapport parlementaire rendu public ce mardi (et dirigé main dans la main par LFI et Renaissance) s’en prend au financement de l’école privée
Un rapport parlementaire très idéologique
Deux députés, Paul Vannier (LFI) et Christopher Weissberg (Renaissance), ont présenté un rapport parlementaire exigeant un renforcement des contrôles et de la transparence du financement public de l’enseignement privé sous contrat.
Le rapport pointe un manque de « visibilité budgétaire » et une « absence de lisibilité comptable » dans l’allocation des fonds publics aux établissements privés, qui scolarisent 17% des élèves en France.
Le rapport propose une cinquantaine de recommandations pour améliorer la gestion des fonds publics, notamment :
- Renforcer les contrôles budgétaires et pédagogiques
- Rendre publics les rapports d’inspection
- Moduler le financement en fonction de l’indice de positionnement social (IPS)
- Mettre en place un mécanisme de sanctions en cas de manquements
Le secrétaire général de l’enseignement catholique, Philippe Delorme, a dénoncé une « vieille guerre » contre l’école privée, tandis que les députés saluent un rapport « utile » et « nécessaire ».
En France, on compte plus de 2 millions d’élèves dans un peu plus de 7.500 établissements concernant le privé sous contrat, financés à hauteur de 75% par des fonds publics.
Mais pour les parents qui ne supportent plus que l’Etat veuille mettre le nez dans l’instruction de ses enfants, reste encore l’instruction à la maison (lorsqu’elle est autorisée) ou les écoles hors contrat.
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
12 réponses à “Education nationale. 75% des Français jugent l’école privée meilleure que l’école publique”
depuis Jack Lang ( déviant notoire et toujours en place par les gouverne-ments )l’école est foutue, cela à
cela à mis du temps,mais c’est là ! ce n’est plus renverser la table qu’il faut pour l’enseignement, mais bien virer tous les députés et les sénateurs, sans oublier tous les hauts responsables du corps enseignants qui préfèrent se laisser envahir et malmener par des immigrants, plutôt que se mettent en gréve illimitée pour protester ! manque de C…les à tous les étages !!!!
« l’Etat économiserait 9 milliards d’euros par an si tous les élèves étaient scolarisés dans le public. »
Vous volez dire dans le privé
Pouvez-vous rectifier ?Philippe Corre
Une guerre d’un autre temps qui semblait terminée en 1984. A croire qu’elle ne sera jamais tout-à-fait éteinte pour certains mauvais joueurs.
En Bretagne le privé scolarise 44% des élèves alors pour l’argument du manque de mixité on repassera…
De plus récupérer les élèves du privé dans le public couterait plus cher aux finances de l’état déjà bien mal en point.
c’est sur que de voir la diversité se comporter de maniere criminelle comme a st louis aux usa ;ne rassurent pas les parents d’envoyer leurs cheres tetes blondes affronter les gangs des écoles publiques
L’école républicaine est au bord du chaos après plus de 30 ans de laxisme, de pas de vagues, d’irresponsabilité et d’incompétence des décideurs. Elle est devenue un lieu de violences et de crétinisme où les enfants et les enseignants ne sont plus en sécurité, un lieu où le niveau intellectuel est catastrophique, un lieu où le langage ordurier a pris le pas sur la langue de Molière, un lieu de contestations permanentes et d’irrespect, un lieu où l’éducation à la sexualité a plus d’importance que les savoirs élémentaires. Voilà pourquoi, nos ministres et autres politiciens qui nous mentent sans arrêt mettent leurs progénitures à l’école privée grand chic, ceux-là même qui voudraient imposer aux autres l’école du chaos.
Bien entendu que l’Ecole Privée est plébiscitée pour son efficacité ! C’est notoire !!!
Quant à parler de la mixité, c’est laisser les portes béantes au plus grand danger auquel le Pays doit faire face : L’INVASION. Et de toutes manières, pour être plus simple et surtout logique, parler de Mixité ou que ce soit, conduit forcement vers une reduction drastique de son efficacité. Ouvrir les portes du pays au tout-venant, ne conduit nulle part, sinon à la mort de la Patrie.
« Bakounine, dans un article sur Weitling, en 1843, écrit que la révolution à venir sera avant tout un combat mortel entre la religion de Dieu et la religion de la Liberté, de l’Egalité et de la Fraternité, le triangle maçonnique. » (Espace et labyrinthes-Vassili Golovanov-éditions Verdier)
En conséquence logique de quoi, qu’il le veuille ou non, qu’il fasse ou non partie de la secte, « Micron la truffe » (qui nous expliquait, il y a peu, si pompeusement, qu’il n’avait jamais vu l’art français… Vous pouvez vérifier…) est aujourd’hui, en France, à la tête de la maçonnerie… avec toutes les conséquences que cela implique : tout coule, la France dérive à vau l’eau, la liberté scolaire, la liberté tout court, sont attaquées de toutes parts (voir le texte de « sécurisation et régularisation de l’espace numérique » sur le point d’être voté par nos prétendus représentants parlementaires), et nous sommes entraînés, les Français, du moins ce qu’il en reste, vers un risque de déflagration mondiale, impulsé par notre docteur Folamour/Micron. Lire à ce sujet, ce très bon article, paru aujourd’hui : https://www.lifesitenews.com/news/intelligence-experts-warn-europe-is-leading-the-us-to-the-cusp-of-nuclear-annihilation/?utm_source=daily-catholic-2024-04-04&utm_medium=email
Les curseurs sont au plus bas, avec beaucoup de gens bien endormis, ou qui continuent de rêver fiévreusement…
Pourtant, avec Micron « la Bête de l’évènement » est, en effet, littéralement à nos portes. Cela va mal se terminer.
Pour autant, nous n’avons pas vocation, nous, les résistants, à baisser les bras. Jamais. Haut les coeurs (chouans !).
En ce qui concerne le financement du public et de tout financement public ne viendrait-il pas du privé? En effet qui paie les impôts tout un chacun et que je sache nous ne sommes pas publics. L’Etat nous pique à la fois par les impôts et les taxes diverses et variées etc . Le problème serait vite réglé si nous avions des dirigeants qui en auraient dans le pantalon, je ne vois pas pourquoi certains reçoivent de l’état plus que d’autres: par ex si vous êtes dans le public la cantine ne coûte qu’un euro, si vous êtes dans le privé 5 ou 6 euros autrement dit les parents du privé paient deux fois par leurs impôts et pour leurs enfants ne parlons pas de ceux qui sont dans le hors contrat. L’état devrait donner à chaque famille pour chaque enfant une certaine somme(on sait combien coûte un enfant dans le public et dans le privé, on fait une moyenne ) qui servira à sa scolarité dans l’école de leur choix pour leurs enfants et la l’égalité est respectée et je pense qu’à ce moment-là le niveau s’élèverait parce que chaque école voudrait être meilleure que l’autre
ils réussissent , donc la goche veut les éliminer, tout le monde doit être médiocre! drole de pays
Violences verbales et physiques, manque de respect, contestations, refus de l’ordre et de la laïcité: l’école est un lieu de tous les dangers où perdre la tête, au sens propre comme au figuré, est une réalité.
Les élèves qui sortent du cadre de la bonne conduite, du respect de la laïcité et des valeurs républicaines doivent être sévèrement sanctionnés. Cela n’a jamais été le cas et encore moins aujourd’hui où les paroles de ministres ne sont que du vent, jamais suivies d’action.
L’un des moyens efficaces pour rétablir la sérénité à l’école c’est d’agir après 2 rappels graves à l’ordre. Comme on ne peut pas « mettre à la rue » ceux qui pourrissent la vie des autres, puisque la scolarisation est obligatoire, il faut :
– Créer des centres spécialisés pour remettre les racailles (n’ayons pas peur des mots) dans le droit chemin. Ces centres qui permettraient de protéger le plus grand nombre contre les malfaisants seraient dirigés par des administratifs et des enseignants spécialement formés à la tâche. Et ces centres seraient éloignés de 300 à 500 km du lieu de résidence des éléments incontrôlables, pour éviter l’emprise des quartiers, des « grands frères », du radicalisme religieux, des fréquentations malsaines. Ce serait des « internats » où l’apprentissage de la citoyenneté ferait partie des programmes.
Il n’y a pas d’autres solutions que la vraie fermeté si l’on veut préserver nos enfants de la décadence qui mine l’école de la République et la société en général.
On peut aller plus loin : pour les prisons d’adultes qui sont actuellement bourrées de délinquants exotiques ou non, il faut en ouvrir d’autres. Mais pas proches des villes et villages où les gens n’en veulent pas (ce qui est tout à fait compréhensible) mais loin, très loin de la vie « civilisée ». La Guyane au coeur de l’Amazonie est une possibilité. La Terre Adélie en est une autre pour refroidir les fortes têtes et désengorger les prisons de France.
On peut s’en donner les moyens mais encore faut-il que les décideurs et les juges ne pataugent plus dans l’humanisme à toutes les sauces, l’idéologie et le laxisme.
Bien sûr, l’école privée (sous-contrat) a meilleure réputation. J’ai longtemps travaillé comme instituteur de l’école publique (laïque). Le travail était sérieux, les élèves gardaient un certain respect de l’enseignant. Par contre, de nombreux collégiens de l’école privée faisaient baisser « la moyenne », ils étaient mis dehors. D’où les « bons résultats » de l’école privée.
Vous vous en souvenez ?
Ségolène Royal a mis ses mômes dans le privé.
Amélie Oudéa-Castéra a aussi scolarisés ses 3 garçons dans un établissement catholique du 6è arrondissement de Paris.
Pap Ndiaye, a mis ses deux gosses dans le privé à l’École alsacienne, un établissement, prestigieux et élitiste.
«Il y a des moments qui, dans le développement de l’enfant, peuvent être compliqués, avait-il déclaré. C’est le choix de parents d’enfants pour lesquels à un moment, les conditions d’une scolarité sereine et heureuse n’étaient plus réunies.»
On ne peut pas mieux dire. C’est un aveu que l’Ecole de la République est tellement « merdique » qu’il ne faut surtout pas y mettre les pieds, mais qu’il faut la recommander aux autres et en faire l’éloge.
Quant à Attal en couple avec Séjourné, il n’a pas d’enfant à scolariser. mais, lui même a fait sa scolarité dans le privé.
On tous bien compris, c’est pas la peine de faire un dessin !