Une grande collecte de déchets est prévue à St Malo, plage des bas sablons, le Samedi 6 avril 14h et le dimanche 7 avril à 11h au centre-ville de Rennes pour le lancement de la 30e saison des collectes de déchets de Surfrider Foundation.
L’occasion d’appeler tous les bretons à sortir de l’hiver en participant à cette grande collecte de déchets. Plus que jamais, deux mots d’ordre : sensibiliser les citoyens sur la vulnérabilité de l’Océan et faire évoluer les lois grâce au tri et au comptage des déchets.
Un appel à la mobilisation Ille et Vilaine et ailleurs
Si les collectes de déchets peuvent bien se faire toute l’année, le début du printemps est le moment idéal pour rappeler à chacun.e qu’il/elle peut se retrousser les manches pour participer à la protection de l’Océan, des lacs et des rivières Ainsi, Surfrider Foundation 35 organise deux collectes de déchets avec un tri une quantification et une sensibilisation du grand public
Le week-end du 6 et du 7 avril, est le lancement des Initiatives Océanes, plusieurs antennes locales de Surfrider organisent des collectes de déchets à travers l’Europe, auxquelles le grand public est convié, comme à : • Le samedi 6 avril de 14h à 17h plage des bas sablons à St Malo. Page de l’évènement • Le dimanche 7 avril de 11h à 12h30 centre-ville de Rennes, Place Honoré Commeurec, prêt du marché à manger.
Crédit photo : DR
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2 réponses à “Saint-Malo. Grande collecte de déchets par Surfrider pour le lancement de la 30e saison des Initiatives Océanes”
Si les gens étaient mieux « élevés », nous n’aurions pas besoin de ces associations, qui je le rappelle sont subventionnées par nos impôts (enfin, ceux qui en payent) !
Une association subventionnée avec l’argent public qui, comme la LPO, est très favorable à l’installation d’éoliennes géantes en mer. Absolument contradictoire avec le souci de protection de l’Océan et de la faune marine quand on sait combien ces saloperies de machines à fric sont nuisibles pour le climat, désuètes pour la production d’électricité, dramatiques pour la faune marine et catastrophiques pour les pêcheurs. Mais ces associations acceptent volontiers l’argent octroyé par les promoteurs éoliens car on ne mord pas la main qui nourrit.