Un quatrième suspect a été écroué dans l’affaire de séquestration et de tortures survenue en septembre 2023 dans un appartement du quartier Malakoff à Nantes. Les victimes, séquestrées pour une dette de 10 000€, ont subi des violences effroyables, dont des viols. Le profil inquiétant du dernier suspect, condamné récemment pour une fusillade à Rennes, met en lumière la dangerosité de ce réseau criminel.
L’horreur découverte dans un appartement
Le 16 septembre 2023, la police découvre l’horreur dans un appartement de la rue de Madrid à Nantes. Quatre personnes, âgées de 34 à 54 ans, ont été séquestrées et torturées pendant trois jours par deux individus. Les victimes, ligotées et bâillonnées, ont subi des violences physiques et psychologiques intenses, dont des simulacres d’exécution et des violences sexuelles.
L’origine de ce drame se trouve dans un trafic de drogue. L’appartement servait de « nourrice » pour stocker de la drogue et de l’argent. 10 000€ auraient été dérobés, provoquant la colère des dealers et déclenchant une spirale de violence inouïe.
Le dernier suspect interpellé est un homme de 26 ans, Sousounou Sall, récemment condamné à Rennes pour des faits de violence avec arme. Son profil inquiétant, associé à la gravité des actes commis, souligne la dangerosité de ce réseau criminel.
L’enquête, menée par la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS), vise à déterminer le rôle précis de chaque individu impliqué. Le juge d’instruction devra « affiner le rôle de chacun » et faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame.
Les autorités françaises (et ceux qui font les lois depuis des décennies et qui sont en charge de la sécurité des habitants) assumeront-elles un jour d’avoir permis à ce type d’individus, ici de rentrer sur le territoire, là d’y naître et d’y rester ?
Photo : DR
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Une réponse à “Séquestration et tortures à Nantes. Sounounou, 26 ans, quatrième suspect écroué avec un profil inquiétant”
Les autorités françaises (et ceux qui font les lois depuis des décennies et qui sont en charge de la sécurité des habitants) assumeront-elles un jour d’avoir permis à ce type d’individus, ici de rentrer sur le territoire, LÀ D’Y NAÎTRE et d’y rester ?
(3 mots en majuscule choquant)