La crise couvait depuis des mois, elle vient d’exploser avec la diffusion d’un communiqué ce jeudi 21 mars signé « Nantes en Commun-e-s » ou plutôt l’une des différentes factions qui se disputent désormais le sigle.
Groupe de la gauche radicale, candidat malheureux aux élections municipales, Nantes en Commun coche toutes les cases de la gauche woke actuelle, tendance +++ : Manifs contre la loi immigration, féminisme exacerbé, indigénisme à tous les étages, sans oublier les « conférences gesticulées ». Un véritable petit zoo urbain dont la gauche radicale a le secret ! Mais même les plus clownesques entreprises finissent par se déchirer quand elles viennent de la gauche. Une fraction des militants s’insurge, en effet, depuis des mois sur la leader du mouvement Margot Medkour et le rôle de son compagnon Clément Barailla. Et comme pour LFI et la plupart des mouvements gauchistes, la question de la verticalité du pouvoir, est au centre de la crise, sans oublier quelques histoires d’argent… Le local de Nantes en Commun, le café du Chapeau Rouge, et son contrôle cristallisant toutes les passions.
Margot Medkour, et ses partisans ont réussi à reprendre les rênes du mouvement, mais attention au retour de bâton, les prochains jours devraient voir un déballage public en règle de toute cette belle « solidarité de gauche ».
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2 réponses à “« Nantes en Commun » (gauche radicale) explose”
on a les zélus qu’on mérite
que les nantais s’en souviennent au moins jusqu »en juin
Merci Breizh info le journal des fachos comme il faut