Pontivy, ville à la dérive, minée par l’immigration et le trafic de drogue. Le conseil municipal du 11 mars dernier fut animé par la discussion sur les nouvelles caméras de vidéo-protection. La municipalité souhaite ainsi lancer une « troisième phase » d’installation d’équipement de protection cette année. Cette fois-ci, le champ de surveillance devrait être étendu au « Poumon Vert », parc urbain de 12 hectares près du Blavet inauguré en juillet 2023 et déjà fort gangrené par le trafic de drogue. En complément, les caméras couvriront également la rue Marengo, la rue Louis-Julien, la rue de Lourmel, la rue Jean-Moulin, la rue Georges-Guynemer, la rue de la Cascade, la rue Général-Quinivet, la place Anne-de-Bretagne, la rue des Trois-Frères-Le Cornec et enfin la rue Nationale, les « Champs Elysées » de Pontivy.
Paul Le Guernic, adjoint à la sécurité et particulièrement sensible aux problèmes de délinquance, a défendu ce projet devant des élus de l’opposition aux points de vue fort différents. Pour la socialiste Marie-Christine Le Mouël, « la police et les caméras, c’est insuffisant ». Que faudrait-il de plus ? L’armée ? Venant d’une personne membre d’un parti qui a permis une immigration massive en Bretagne et en France et qui, pourtant, est dans le déni sur cette question, la remarque est particulièrement cocasse.
Pour le groupe LFI-écolo et compagnie (Demain Pontivy Ecologique et solidaire), le problème de la délinquance à Pontivy est à relativiser. « Pontivy ce n’est pas Harlem » et, de toute façon, « il faut développer les médiateurs de rue » car « c’est la pauvreté qui amène la délinquance ». En clair, le bréviaire gauchiste pour nier la réalité. Marie-Madeleine Doré-Lucas, porte-parole LFI, croit-elle vraiment à ce qu’elle dit ou a-t-elle peur des 50 commissaires politiques du Parti qui ne manqueront pas de rapporter et d’amplifier le moindre propos « tendancieux » hors de la ligne « bisounours-immigrationniste » chère à toute la gauche ?
Total de l’investissement : 201 824 euros HT. Aide de la Dotation d’équipement des territoires ruraux 2024 : 60 000€, la ville de Pontivy devra donc débourser : 141 824 €.
Une somme que le contribuable n’aurait pas à débourser si une certaine partie du personnel politique n’était pas dans le déni de réalité.
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4 réponses à “Pontivy : de nouvelles caméras pour lutter contre le trafic de drogue”
Les bretons n’ont toujours pas compris les risques à importer des extra-européens. Les élus bretons, naïfs, auraient du venir faire un tour et rencontrer leurs homologues à Bagneux, à Sarcelles, à Chanteloup-les-Vignes. Ils auraient vu comment transformer des cités ouvrières laborieuses en cité des cartels meurtrières.
“c’est la pauvreté qui amène la délinquance”…OOOOOhhhh, les pauvres choux, ils sont malheureux, la France malgrè ses prélèvements sociaux à 56% du PIB (record du monde: « 15% mondial pour 1% de la population ») n’en fait pas assez.
Question « pauvreté », j’ai connue, lorsque mon père fêtard invétéré se noya dans sa grosse bagnole (il aimait frimer…à crédit) alors qu’il allait de nuit « inaugurer » un nouveau bistro « La Cale » en janvier 1959, laissant sa veuve de 40 ans avec ses 4 enfants et…3,5 millions de dettes en Anciens francs et consécutivement des conditions de vie précaires aux 5 « rescapés » jusqu’à les priver de beurre au repas…Eh, je vais vous dire…j’en avais rien à F….! parceque j’aimais le travail et était sûr de m’en sortir.
Alors, à tous ces « pauvres » du TiersMonde et d’ailleurs: Prenez-vous en main et …bossez.
bof, les dileurs seront peut être condamnés à 35€ et du sursis, puis vite libérés. le cinéma habituel
Il n’y a qu’un moyen de mettre fin au trafic de drogue, c’est de pénaliser à la fois les délinquants dealers quand on peut le faire , mais aussi les consommateurs. Il faut assécher le marché. Comment pénaliser le consommateur en douceur sans mesure policière ? Augmenter automatiquement la cotisation de SS , la CSG, les impôts de ceux qui sont revonnus comme drogués à l’occasion d’une analyse médicale ou d’une visite médicale etc… Pareil pour les mineurs non salariés : c’est le parent responsable de l’assurance maladie de ce mineur qui vera sa cotisation augmentée comme si c’est lui-même qui s’était drogué.