Nantes. Un café-restaurant fracturé

Dans la nuit du 16 au 17 mars le café-restaurant le Bon Pasteur, situé sur la placette éponyme en bas de la rue du Calvaire dans le centre de Nantes, a été fracturé.

D’après les images de la vidéosurveillance, un homme a fracturé la porte vitrée à coups de pieds est entré dans l’établissement et a emporté le fond de caisse – un peu plus de 100 euros.

Ces dernières semaines, d’autres commerces situés dans l’hypercentre de la capitale bretonne, mais aussi quartier Graslin, ont été fracturés – presque toujours le préjudice lié au remplacement de la porte ou de la vitre dépasse et de très loin le montant du fond de caisse volé.

Cette insécurité lancinante dans le centre ville de Nantes conduit aussi ces derniers mois des familles à le quitter pour l’agglomération ou la campagne – les commerces, privés de leur clientèle et de son pouvoir d’achat, tirent la langue et ferment les uns après les autres. Selon nos informations près de cinquante pas de porte sont actuellement vides dans les voies autour de la rue du Calvaire, les abords des places Royale et Graslin.

Louis Moulin

Photo d’illustration : DR
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3 réponses à “Nantes. Un café-restaurant fracturé”

  1. Travis dit :

    C’est ici un aspect du Grand Remplacement, régulièrement chroniqué sur BI, mais pour quelles raisons n’abordez-vous jamais un autre aspect, tout aussi visible et spectaculaire : La multiplication des kébabs et assimilés, qui occupent de plus en plus d’espace et sur la gestion desquels il serait très productif de se pencher. Un bon travail en ce sens pourrait constituer un scoop permettant de relancer BI.

  2. Josiane dit :

    Si des familles qui n’en peuvent plus de cette délinquance quittent le centre pour l’agglomération ou la campagne, on pourra remplir les logements vides par des immigrés clandestins, histoire de faire baisser la délinquance. Ben oui, s’ils n’y a plus rien à voler !

  3. patphil dit :

    fèqueniouze évidente, il s’agissait simplement d’un sdf qui avait très soif et très faim, si le cafetier n’avait pas fermé, tout se serait passé normalement

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