Jean-Marc Jancovici est intervenu dans le cadre des Controverses de l’agriculture et de l’alimentation. L’occasion de présenter les enjeux pour le secteur agricole autour de la réduction des émissions de carbone, de leurs conséquences économiques, sociales et politiques et de quelques pistes de solutions pour une agriculture décarbonée et plus résiliente.
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11 réponses à “Jean-Marc Jancovici interroge l’agriculture et son bilan carbone”
le carbone, c’est la vie. Jancovici n’est qu’un pipeauteur.
Je ne vois en Jancovici qu’un usurpateur .
laissez les paysans produire sans pesticides, sans antibiotiques, une nourriture saine, voila l’avenir
Il y a un vrai sujet sur les apports énergétiques externes à l’agriculture moderne, oar rapport à une agriculture sans apport externe d’avant les années 50.
La productivité s’est déportée sur la chaîne amont avec les fournisseurs de matériels qui consomment les gains de la profession, au détriment de la richesse des agriculteurs eux-mêmes
Pouvez-vous argumenter ?
Tu peux développer ?
Tu peux expliquer ?
IL FAUT lui trouver une place dans les ordres « les moines hauts »
Viva
Les écoles fachos
Les culs-terreux.
Même s’il leur préférait les voleurs de pommes
« J’lance la patte et, pourquoi le taire ,
Le cul-terreux se retrouve par terre. » ( la mauvaise réputation)
Brassens leur a quand même rendu un inoubliable et poignant hommage : « Pauvre Martin »
Le labourage du champ des autres.
Jusqu’aux années 1960 en France subsistait le système de métayage. Les propriétaires fonciers se comportaient en « Barine » et traitaient les métayers comme des « moujiks ». C’était un système mauvais et cruel qui maintenait les petits paysans dans la misère et le malheur.
Aujourd’hui, pendant que « les paysans s’en vont trimer aux champs par tous les temps, pour labourer la terre du levant jusqu’au couchant » et souvent du couchant jusqu’au levant « pour ne pas déranger les gens », des fonctionnaires de la Haute Administration oeuvrent dans l’ombre à leur fin à coups d’importations d’Ukraine ou d’ailleurs, de traités internationaux, de normes toujours plus contraignantes, . . .
« … » = plagiat ou emprunt aux paroles de la chanson.
Combien de temps notre société acceptera-t-elle un système qui fait que tant de paysans se suicident
, seuls, dans l’intimité et l’obscurité d’une grange, parce qu’ils aimaient leur métier et qu’ils ne pouvaient plus y arriver ?
Bon sang mais c’est bien sûr.
.3 grand Est / Yves Quemener / le 04/03/2024
Des castors ravagent plusieurs exploitations agricoles dans la Meuse, » c’est l’écologie contre l’agriculture. »
Déplaçons les castors vers le Sud où les champs souffrent de sécheresse. Avec les applaudissements des soulèvements de la terre, ils construiront des réserves d’eau que les agriculteurs pourront utiliser pour irriguer leurs parcelles.
Plus sérieusement, à titre d’exemple, si l’Etat arrêtait de subventionner la fondation de F. hollande, La France s’engage qui n’en a pas besoin, il disposerait du financement pour indemniser les préjudices subis par ces agriculteurs.
Une fois de plus il semblerait que l’argent ne soit pas dans les bonnes poches.
A qui se reconnaîtra.
Les playboys de Jacques Dutronc. Bonne écoute.