Voilà le témoignage de Jules Lecompte, 18 ans, qui aurait été exclu de son lycée pour avoir posé une question à son enseignante sur le génocide vendéen.
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4 réponses à “Exclu de son lycée pour une question posée sur le génocide vendéen et pour son engagement politique ?”
Ce pauvre garçon ne savait pas qu’il est formellement interdit de s’attaquer aux vaches sacrées de gauche. Le panthéon des profs laïcards résonne des noms Robespierre, Marat, Danton, Saint-Just ou autre Carrier, adeptes de la terreur mais qu’on doit adorer. Le massacre des Vendéens ou les noyades de Nantes sont des blasphèmes pour les chastes oreilles gauchos.
Bravo . Les ignares et les incultes sont maintenant les maîtres de l’instruction et les moutons les croient .
La France jacobine refuse de voir la vérité de la révolution.
Les massacres vendéens, les mariages républicains à Nantes, le champ des martyres à Auray… Il faut continuer à maquiller la vérité ou au moins à l’occulter.
Vous gobez tout , benêts