Le Fonds de dotation pour Dastum lance un appel à souscription pour financer la publication de la thèse de Patrick Malrieu, « La chanson populaire de tradition orale en langue bretonne ». Ce travail monumental, fruit de plusieurs années de recherche, constitue une ressource inestimable pour les chercheurs, les étudiants, les passionnés de la culture bretonne et tous ceux qui souhaitent découvrir la richesse et la diversité des chants traditionnels bretons.
Un travail de recherche unique et essentiel
Soutenue en 1998, la thèse de Patrick Malrieu est la première étude d’envergure à proposer une méthode d’analyse, de description et de classement des chansons populaires de tradition orale en langue bretonne. L’ouvrage recense et analyse plus de 5 000 chansons issues de 300 sources (livres, revues, manuscrits), permettant d’identifier 1 800 chants-types. Pour chaque chant, un résumé et des notes explicatives enrichissent le catalogue.
Plus qu’un simple catalogue, la thèse de Patrick Malrieu offre une plongée fascinante dans l’histoire et le contexte social des chants populaires bretons.
Un projet ambitieux porté par Dastum
Le projet d’édition, dirigé par Didier Bécam, comprend la publication du texte original de la thèse (environ 600 pages) ainsi que du catalogue complet des chants-types.
Votre contribution permettra :
- De financer la publication de la thèse et de la rendre accessible à tous.
- De soutenir les actions de Dastum pour la sauvegarde et la transmission du patrimoine culturel breton.
Pour en savoir plus : le dossier complet de Musique bretonne, Avril-mai-juin 2019, n° 259, pp.16-57.
Vous pouvez également adresser votre soutien par chèque libellé à l’ordre de Fonds de dotation pour Dastum, au 29 bis rue de la Donelière – 35000 Rennes.
Crédit photo : DR
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Une réponse à “Participez à la publication de la thèse de Patrick Malrieu : « La chanson populaire de tradition orale en langue bretonne »”
Une opération de crowdfunding (avec un livre, deux livres offerts en fonction de ce que l’on verse), je comprends. Une souscription, je comprends. Mais une « contribution » pour permettre l’édition, avec reçu fiscal (!), c’est du grand n’importe quoi : il suffit de regarder combien de personnes ont contribué pour comprendre que le truc est mal pensé. J’étais prêt à souscrire, mais à verser à fonds perdus (car la somme demandée ne sera jamais couverte), sans connaître le prix final du livre (!), non.