Semaine après semaine, les conséquences de l’immigration d’origine extra-européenne massive en France se manifestent à travers l’Hexagone. Présentée depuis plusieurs décennies comme une « richesse », cette immigration s’affiche pourtant bien souvent à travers les rubriques faits divers et les chroniques judiciaires.
Plus récemment, avec l’arrivée dans le débat public de la question des « métiers en tension », plusieurs figures de premier plan, à commencer par le président du Medef (Mouvement des entreprises de France), se sont faits les promoteurs d’une « immigration économique ».
Concernant ces « métiers en tension », la récente loi sur l’immigration du 26 janvier 2024, bien que jugée trop restrictive par certains employeurs et par les habituelles voix pro-migrants, prévoit tout de même l’attribution d’un titre de séjour d’un an à certains salariés en situation irrégulière travaillant dans des secteurs éprouvant des difficultés de recrutement. Un titre de séjour qui sera accordé à titre « exceptionnel » et à la discrétion des préfets.
Immigration économique : Amazon et ses OQTF
Cette sorte « d’entre-deux » législatif semble ainsi avoir tenu compte, en partie du moins, d’une certaine hostilité des Français concernant une potentielle régularisation des clandestins employés dans les métiers en tension. Au mois de septembre 2023, un sondage révélait que 55 % des Hexagonaux s’opposaient à une telle mesure.
Entre-temps, si Patrick Martin, président du Medef, estimait pour sa part au mois de décembre 2023 que « d’ici à 2050, sauf à réinventer notre modèle économique et social, nous aurions besoin de 3 900 000 salariés étrangers », hors de l’Union Européenne, certains de ces travailleurs immigrés se sont distingués dans l’Hexagone. Et pas de la meilleure des manières !
Le 20 décembre dernier, un individu était interpellé par les forces de l’ordre à Vélizy-Villacoublay, dans les Yvelines, à proximité du site du géant américain Amazon. Il s’avérait que l’homme en question était un transporteur travaillant pour un sous-traitant de la célèbre plateforme e-commerce.
Précédemment alertés par les responsables de la sécurité du site ayant constaté des disparitions de colis, les policiers saisirent plusieurs consoles PS5 neuves et d’autres objets derrière les sièges de la cabine du camion de cet homme de 28 ans pour un butin avoisinant les 30 000 €.
Au total, après une perquisition réalisée à Grigny (Essonne) par les forces de l’ordre au domicile du transporteur, le préjudice estimé atteignait les 100 000 €. Puis un deuxième individu était interpellé. Concernant le profil des deux suspects, il s’agissait de deux Tunisiens. Dénommés Walid S. et Mohamed E. selon une information du journal Valeurs actuelles, ils étaient sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Un préjudice d’un million d’euros pour Hermès
Un peu plus d’un mois plus tard, c’est cette fois la marque de luxe Hermès qui est à son tour confrontée aux conséquences de cette « immigration économique ». Mercredi 7 février, la radio Europe 1 rapportait que des préparateurs de commandes travaillant pour le compte de l’entreprise française avaient été placés en garde à vue après avoir été interpellés à Bobigny, en Seine-Saint-Denis.
Présentés comme étant de nationalités marocaine, sénégalaise ou encore centrafricaine, les six mis en cause sont accusés d’avoir modifié ou ajouté des articles dans les colis de trois complices féminines (et quant à elles clientes de la marque).
Après avoir passé commande en ligne, les trois femmes recevaient des colis contenant davantage d’articles qu’elles n’en avaient payés. Les préparateurs de commandes suspectés ayant ajouté des produits de taille similaire mais beaucoup plus chers.
Au total, le préjudice causé à Hermés a été estimé à un million d’euros avec quelque 19 sacs de luxe volés.
Crédit photo : Flickr (CC BY-ND 2.0 Deed/jacket lee) (photo d’illustration)
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10 réponses à “Immigration économique. Hermès se serait fait voler 1 million d’euros de produits par des employés africains”
Comme par hasard…voilà la richesse de l’immigration……..
ils leur faut bien un sac pour mettre la drogue et l’argent de la drogue, au moins c’est représentatif des hauts salaires qu’ils enregistrent tous les jours, comment font t’il quand ils vont s’acheter des voitures neuves à 80 000 euros en liquide !! et que personne ne vient regarder les bulletins de salaires ! au moins avec un vuiton ! c’est le respect total !
C’est assez marrant mais dans la mythologie Hermès, le fils de Zeus en plus d’être son messager, était considéré comme le protecteur des voyageurs, des marchands et des voleurs. Tout s’explique donc !
Bien fait !
Je ne vais pas pleurer sur le sort de ces entreprises, par ailleurs florissantes. Dommage que ces vols, que je n’approuve pas, ne les aient pas conduites à la faillite; Cela leur aurait servi de leçon, ainsi qu’à d’autres qui utilisent cette main d’oeuvre bon marché, au détriment des citoyens Français.
MDR,,no comment ,elements au rabais ,, »le bon marché coute cher «
Ces » chances pour la france » ont quand même bien droit aux grandes marques , elles aiment tout ce qui brille .
des entreprises préfèrent employer des migrants à bas cout, qu’elles en subissent les conséquences
Au lieu de payer leurs employés correctement et de trouver une main d’oeuvre autochtone sur place, Amazone comme Hermes préfèrent des « travailleurs » immigrés bon marché et exploitables.
Ils paient les conséquences de leur cupidité en se faisant voler par les « chances pour la France ».
C’est bien fait pour leur gueule!
Je vais pleurer, hein ??
Un sac hermes se vend à X fois le salaire minimum. Une fortune car il faut bien se distinguer des gueux ( comme brizitte). Les petites mains qui tannent les peaux, qui assemblent les sacs, donc les indispensables du luxe reçoivent un salaire de misère. Tout comme les etrangers qui envoient ces » signes exterieurs de richesse ».
Si l on veut des gens honnête, on les paie de façon correcte.