Le tribunal correctionnel de Nantes a récemment été confronté à un nouveau cas de « vivre ensemble » et d’enrichissement culturel impliquant un jeune homme accusé d’agression sexuelle répétée contre une femme à la sortie de son lieu de travail en septembre de l’année dernière. Au terme du procès, la décision de non-responsabilité pénale a été prononcée pour le prévenu.
Dans les détails de l’affaire, le 27 septembre 2023, aux alentours de 1 heure du matin, une barmaid quitte son travail à Nantes et ressent une présence inquiétante. Elle est abordée par un jeune homme dans la vingtaine qui, malgré ses demandes répétées de le laisser en paix, persiste à la suivre et à l’agresser physiquement à deux reprises. Le désarroi de la jeune femme, seule et apeurée, s’est intensifié lorsqu’aucun secours n’a répondu à son appel d’urgence. Finalement, un voisin intervient, au moment où les forces de l’ordre arrivent pour appréhender l’agresseur et le transférer à l’hôpital, compte tenu de son état troublant.
Le profil judiciaire du prévenu révèle une condamnation antérieure pour exhibitionnisme, tandis qu’une évaluation psychiatrique indique des symptômes de paranoïa, des hallucinations et un comportement hautement psychotique, incluant des croyances en des entités surnaturelles. Bien que le rapport d’expertise confirme une altération significative du jugement du jeune homme, il ne constate pas une absence totale de discernement, suggérant l’impact de substances toxiques sur son état mental.
L’affaire, décrite par le procureur comme se situant à la frontière entre la justice pénale et la nécessité de soins psychiatriques, souligne la gravité de l’agression subie par la victime, qui a résulté en une incapacité temporaire totale de quinze jours. « Le jeune homme évoque des hallucinations et un esprit habité par des djinns (esprits maléfiques des légendes arabo-musulmanes) » indique Ouest France.
Le procureur a demandé une peine de prison avec une période de sursis impliquant une obligation de soins et une interdiction de tout contact avec la victime.
En fin de compte, le jeune homme a été déclaré irresponsable pénalement et a été placé en hospitalisation forcée. Il sera donc pris en charge par l’argent public, votre argent, et pas expulsé sur la terre des djinns maléfiques.
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4 réponses à “Vivre ensemble à Nantes. Il justifie ses agressions sexuelles en indiquant être sous l’influence de « Djinns maléfiques »”
Comme quoi il n’y a pas que les korrigans
Encore un poltergeist en liberté !
» le jeune homme a été déclaré irresponsable » merci les juges, ne sortez pas seuls la nuit, ou un gorille (de Brassens) pourrait vous donner du plaisir
C’est curieux comme ces entités ou spectres maléfiques les poussent toujours à tuer, à voler et à violer ! Je me suis fait flasher au radar en auto et malgré ma déclaration comme étant sous l’ emprise d’un diable qui m’a obligé à rouler plus vite, j’ai été condamné…..ya plus de justice !