Avec tout ce que Rennes compte d’associations, collectifs et personnalités gauchistes et pro-immigration installés dans de confortables locaux, il est tout de même curieux que ces groupes de migrants qui hantent la métropole haut-bretonne ne trouvent pas de point de chute fixe. Après la Halle Robert Launay aux Longs-Champs, Utopia 56 réclamait un endroit confortable pour ces ressortissants de pays étrangers alors que des milliers de Bretons ont du mal à se loger. Elle a finalement opté pour l’envahissement et l’occupation illégale des anciens locaux de la direction des voies navigables du Conseil régional de Bretagne sur les bords du Canal Saint-Martin,
La Ville de Rennes, le Département d’Ille-et-Vilaine et la Préfecture avaient pourtant été sommés par l’association immigrationniste et d’autres acteurs, lors de diverses réunions, de « trouver une solution ». Sachant que, contrairement au narratif déployé par ces collectifs et répété à l’envie par leurs soutiens, ce ne sont pas majoritairement des « familles avec enfants en bas-âge » qui sont concernées mais des adultes. Malheureusement, au regard de l’association, les choses n’allaient pas assez vite et l’expulsion de la Halle Robert Launay était jugée imminente, elle a donc décidé de loger des Congolais et autres Africains dans les bureaux de l’administration régionale.
Au total, la Ville de Rennes et la Métropole consacrent plus de 4 millions d’euros par an pour héberger un millier de migrants n’ayant jamais été invités chez nous. Ces personnes sont originaires de pays parfaitement indépendants et, bien souvent, en paix.
Sur les réseaux sociaux, la municipalité rennaise est raillée pour sa célérité à vouloir expulser les migrants de ses locaux alors qu’elle multiplie les déclarations pro-immigration. A la Région de se débrouiller désormais !
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