Une récente étude a révélé une augmentation alarmante des cas de cancer chez les jeunes à travers le monde, y compris aux États-Unis. Les statistiques montrent que les diagnostics de cancer chez les personnes de moins de 50 ans ont grimpé à 107,8 pour 100 000 en 2019, marquant une hausse significative par rapport aux 95,6 cas en 2000. Cette tendance inquiétante a été particulièrement notable en Amérique du Nord, en Australie et en Europe de l’Ouest.
Les professionnels de la santé s’interrogent sur les causes de cette augmentation. Ils évoquent des changements dans les modes de vie, comme la réduction de l’activité physique, la consommation accrue d’aliments ultra-transformés et l’exposition à de nouvelles toxines, comme des facteurs potentiels affectant les jeunes générations.
Publiant leurs conclusions dans la revue en libre accès BMJ Oncology, les chercheurs estiment que le nombre mondial de nouveaux cas de cancer à début précoce et de décès associés augmentera encore de 31 % et 21 % respectivement d’ici à 2030, les quadragénaires étant les plus exposés. Selon eux, les facteurs génétiques jouent probablement un rôle, mais les régimes alimentaires riches en viande rouge et en sel, et pauvres en fruits et en lait, ainsi que la consommation d’alcool et de tabac sont les principaux facteurs de risque de bon nombre des cancers les plus courants chez les personnes de moins de 50 ans. Le manque d’exercice, l’embonpoint et l’hyperglycémie sont également des facteurs contributifs, selon les données.
Le Dr Andrea Cercek du Memorial Sloan Kettering Cancer Center de New York souligne que les patients atteints de cancer sont de plus en plus jeunes. Elle suggère que des facteurs environnementaux, liés à l’alimentation, aux médicaments ou à d’autres éléments encore inconnus, pourraient être en cause.
L’étude, basée sur des données mondiales, indique que le nombre de cas de cancer chez les jeunes a augmenté depuis les années 1990. En 2019, 1,82 million de nouveaux cas ont été diagnostiqués chez les moins de 50 ans, soit une hausse de 79 % par rapport à 1990.
Les chercheurs de BMJ Oncology prévoient que le nombre de nouveaux cas de cancer à début précoce et de décès associés augmentera de 31 % et 21 % respectivement d’ici 2030. Ils pointent du doigt des facteurs de risque tels que les régimes alimentaires riches en viande rouge et en sel, et pauvres en fruits et en lait, ainsi que la consommation d’alcool et de tabac.
En 2019, le cancer du sein a été le plus fréquent chez les personnes de moins de 50 ans, suivi par les cancers de la trachée et de la prostate, qui ont connu les augmentations les plus rapides depuis 1990. Les chercheurs ont utilisé les données de l’étude Global Burden of Disease 2019 pour analyser 29 types de cancers dans 204 pays.
Ils ont constaté que plus d’un million de personnes de moins de 50 ans sont décédées d’un cancer en 2019, marquant une augmentation de près de 28 % depuis 1990. Les taux les plus élevés de cancers précoces ont été observés en Amérique du Nord, en Australasie et en Europe occidentale.
Les auteurs de l’étude soulignent les limites de leurs résultats, notamment en raison de la qualité variable des données des registres du cancer. Ils appellent à des mesures de prévention et de détection précoce, ainsi qu’à l’élaboration de stratégies de traitement adaptées aux jeunes patients.
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Une réponse à “Le cancer frappe de plus en plus de jeunes, les médecins sont alarmés et déconcertés”
Le constat est alarmant et encore bien en dessous des vrais chiffres dont les autorités cachent le phénomène. Surtout avec la mise sur le marchés de nouveaux virus comme SARS COV 2 pour le business de la big pharma et le profit pour la concurrence économique. On sait que depuis la vaccination des occidentaux Europe et USA à 95% que le nombre de cancers à augmenté de 30% comme les problèmes cardio vasculaires. De nombreux professeurs dénoncent cette folie en citant qu’il y a déjà beaucoup de virus sur terre sans en inventer d’autres pour la suprématie. La folie et l’imbécilité humaine est donc sans limites. Il faut souligner aussi que les faux vaccins diminuent la fécondité en dérèglant le système endocrinien et immunitaire. Depuis en Europe les naissances ont diminué de 27%, dû certes à un raz le bol général, mais pas que. Le malaise est beaucoup plus grave et surtout caché par les gouvernants.